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L'éducation des femmes et des filles dans le monde © E. Thion / Un, deux... Quatre Editions / Aide et Action Mais malgré d’importants progrès accomplis depuis le début des années 2000 en termes de parité entre les sexes dans l’éducation, la situation reste alarmante. En effet, si l’on constate une participation croissante des filles et des femmes à tous les niveaux du système éducatif, il n’en demeure pas moins que 54% des enfants non-scolarisés sont des filles et 64% des adultes analphabètes sont des femmes (Rapport mondial de suivi sur l’Éducation pour tous, Unesco, janvier 2010). Le droit à l’éducation se restreint encore avec l'âge dans de nombreux pays. Au total, 41 millions de filles sont exclues de l’éducation dans le monde et 515 millions de femmes sont analphabètes. Le déni du droit à l’éducation maintient les femmes dans une situation de dépendance vis-à-vis de leur famille comme de la société.
L'esclavage dans le monde - francetv éducation En partenariat avec Retrouvez chaque semaine une infographie de notre partenaire cFactuel. cFactuel est un média qui décrypte chaque jour une info, sans parti pris, à travers infographie, vidéo ou quiz. Grâce à cFactuel, l'actu devient claire et captivante ! A retrouver sur web et application mobile. L’ombre de l’esclavage Le 14 novembre, la chaîne américaine CNN diffusait un reportage tourné en Libye sur un marché aux esclaves. Zoom sur les principaux chiffres de l'esclavage dans le monde en 2017 1/ L’esclavage, c’est quoi ? Définition Larousse : Fait pour un groupe social d'être soumis à un régime économique et politique qui le prive de toute liberté, le contraint à exercer les fonctions économiques les plus pénibles sans autre contrepartie que le logement et la nourriture. L’ONU distingue deux grandes familles d’esclavage : => Le travail forcé : essentiellement dans les usines, les chantiers, les fermes et le commerce du sexe. 2/ L’esclave, c’est qui ? Sur les 24,9 M de travailleurs forcés :
Sécurité ou libertés publiques : faut-il choisir ? Depuis les attentats du 13 novembre, le gouvernement a adopté des mesures d’exception. Mais pour protéger la démocratie, la France doit-elle abandonner les valeurs qui la fondent ? LE MONDE CULTURE ET IDEES | • Mis à jour le | Par Anne Chemin Au lendemain des attentats, François Hollande a endossé sans hésiter les habits du chef de guerre. Cette posture martiale est massivement plébiscitée par les Français – par peur, par colère, mais aussi parce que ces mesures semblent s’adresser à l’« autre ». « Si les Américains, très attachés à leur Constitution, n’ont pas contesté le Patriot Act, qui instituait une détention sans limite et sans jugement, c’est parce qu’il s’appliquait aux terroristes venus de l’étranger, pas à eux, constate Antoine Garapon, secrétaire général de l’Institut des hautes études sur la justice (IHEJ). Le doute, pourtant, s’instille peu à peu dans les esprits. Lire aussi Comment la législation antiterroriste s’est durcie en trente ans Tout est affaire d’équilibre
Agora, Les piliers de la République « Agora, les piliers de la République » est une série de 10 mini épisodes ayant pour vocation de préciser les fondements de notre pays. Depuis 1905, la laïcité est la règle en France, ce qui signifie que chacun dispose d’une entière liberté de croyance et que nul n’a besoin de se cacher pour pratiquer sa foi. Cette liberté est garantie par la Constitution qui établit les principes et le fonctionnement de notre République qui est indivisible, laïque, démocratique et sociale et qui se définit par la devise « liberté, égalité, fraternité ». La liberté individuelle n’est limitée que par celle des autres, l’égalité implique la lutte contre les discriminations et la fraternité est l’état d’esprit nécessaire pour que les citoyens puissent vivre dans l’esprit de la République et de sa devise, jouir de leurs droits civiques, accomplir leurs devoirs et participer à la vie publique, y compris au niveau européen. Qu'est-ce que l'État ? Qu'est-ce que la démocratie ? C'est quoi le racisme ? La laïcité
L'esclavage, toujours d'actualité ? - Decod'actu L’esclavage moderne est un fléau qui touche 46 millions de personnes dans le monde selon l’ONG Walk Free. Et la majorité des victimes sont des femmes et des enfants. Mais qu’entend-on par esclavage exactement ? Il s’agit d’une situation d’exploitation où une personne est privée de sa liberté et est considérée comme la propriété d’une autre. Aujourd’hui, une victime sur trois est un enfant. 58 % des victimes se concentrent dans 5 pays d’Asie et c’est l’Inde qui tient le haut du classement avec 18 millions d’esclaves, suivi par la Chine (3,4M), le Pakistan (2,1M), le Bangladesh (1,5M) et l’Ouzbékistan (1,2M). Mais l’esclavage ne se cantonne pas qu’aux pays dits « du Sud ». Le rapport de l'ONG Walk Free souligne aussi que les pays les plus touchés par l’esclavage sont ceux qui fournissent de la main d'oeuvre bon marché. A ce jour, la France n’est quant à elle toujours pas dotée d'une politique publique pour lutter contre l’esclavage moderne et l'exploitation des êtres humains.
Élections Régionales 2015 | Programme-candidats | Ministère de L'Intérieur Qu'est ce que la démocratie ? Présentation de l'auteur Édith Fuchs, normalienne et agrégée de philosophie, est professeur honoraire de philosophie en première supérieure et maître de conférence à l’Institut d’études politiques de Paris. Elle fut également, en 2011, lauréate du Prix Osiris de l’Institut de France pour son ouvrage Entre Chiens et Loups. Dérives politiques dans la pensée allemande du XXe siècle, Paris (Le Félin), 2011. « La démocratie consiste dans l’exercice, soit direct, soit indirect, du pouvoir par le peuple. Qui proclamerait son admiration et sa préférence pour un régime totalitaire ? Si on n’oppose plus guère « absolutisme » – « théocratie » – « despotisme » – « tyrannie » – « monarchie » à « démocratie », en revanche « dictature » et « dictateur » font retour dans le langage répandu, tandis que recule « totalitarisme » ; le succès de ce vocable en guise de seul et unique antonyme à « démocratie » durant toute la guerre froide dut beaucoup aux écrits de Hannah Arendt1.
Les drapeaux et la «Marseillaise» ? Un cri du coeur, une solidarité qui s'exprime Il y a encore quelques jours, avant les tueries du vendredi 13, pavoiser, arborer le drapeau tricolore ou pire, entonner une «Marseillaise» dans un lieu public, ouvert ou fermé, n’était pas considéré comme un acte normal, sinon un rituel exceptionnel et occasionnel. En outre c’était souvent la marque d’un engagement partisan, au sein du Front national bien sûr, ou de ce qu’on appela l’UMP et depuis LR. Ces partis avaient coloré la campagne présidentielle de 2012 d’une débauche de drapeaux français, une façon de proclamer « les Français, les vrais, c’est nous ! Cependant d’autres y virent un accaparement illégitime et s’en indignèrent. On peut noter aussi le regard étonné ou narquois des Français face au pavoisement étoilé des domiciles privés aux Etats Unis, depuis le 11 Septembre. Mais le 13 novembre, bien plus que le 11 janvier, marque un tournant. Plus nouveaux sont des gestes spontanés ou adoptés spontanément. Aussi ces manifestations spontanées étonnent-elles.
Sénat Junior Problem loading page Isidore Pils – 1849, Huile sur toile (H. 74 x L. 91 cm), Dépôt du Musée du Louvre à la Préfecture du Bas-Rhin puis au Musée Historique de la Ville de Strasbourg en 1929 Quand débutent les guerres révolutionnaires en 1792, Strasbourg, par sa situation géographique, devient une étape importante sur la route des armées et des diplomates. Plaque stratégique pour l’approvisionnement des soldats, la ville frontière participe aussi à la propagation des idées révolutionnaires vers l’étranger. Le 20 avril 1792, désireuse d’imposer les idées de la Révolution en Europe, la France déclare la guerre au « roi de Bohême et de Hongrie ». Isidore Pils est le premier peintre à imaginer, 57 ans après les faits, le cadre de la première interprétation du Chant de guerre pour l’armée du Rhin à Strasbourg. La scène se déroule dans ce qui doit être le salon du maire Frédéric de Dietrich, représenté assis dans un fauteuil au centre du tableau.