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John Maynard Keynes

John Maynard Keynes
John Maynard Keynes en 1933. Signature Jeune, il rencontra aussi le succès en tant qu’auteur, avec l'écriture d'un livre sur le traité de Versailles intitulé Les Conséquences économiques de la paix, publié en 1919, et la rédaction d'articles pour des journaux et des revues. La force de John Maynard Keynes réside dans le fait qu'à la différence de ses prédécesseurs, il élabore une théorie nouvelle ainsi que les outils conceptuels nécessaires à la mise en place de politiques économiques alternatives. Sa pensée, notamment le courant keynésien dit de la synthèse néoclassique qui prédomina longtemps aux États-Unis[Note 3], perdit, de l’aveu même de ses partisans, une grande partie de son influence à partir du début des années 1980 avec la montée en puissance du monétarisme et de la nouvelle économie classique, qui promouvaient alors la dérèglementation financière. Jeunesse et vie culturelle[modifier | modifier le code] Famille et milieu d'origine[modifier | modifier le code] Livres M.

La face cachée du boom « made in Germany » Marché monétaire Le marché monétaire désigne le marché informel où les institutions financières et les grandes entreprises (marché des billets de trésorerie) placent leurs avoirs ou empruntent à court terme (moins d'un ou deux ans). Les institutions financières recouvrent un grand nombre d'acteurs parmi lesquels les Trésors nationaux, les banques centrales, les banques commerciales, les gestionnaires de fonds, les assureurs, etc. Avec l'adoption des changes flottants, la monnaie est devenue une commodité comme les autres, un bien qui s’achète et se vend. Le marché monétaire est un élément essentiel au fonctionnement des marchés de capitaux. Mécanismes[modifier | modifier le code] Les interventions de la banque centrale sur ce marché correspondent au « refinancement ». Les opérations de la banque centrale sur les taux d'escompte et les opérations d'open market, conjointement avec les règles de mises en pension de certains actifs monétaires, sont censées réguler ce marché. Politique monétaire

untitled Karl Marx Karl Marx en 1874. Signature Il est connu pour sa conception matérialiste de l'histoire, son analyse des rouages du capitalisme et de la lutte des classes, et pour son activité révolutionnaire au sein du mouvement ouvrier. Il a notamment été un des membres dirigeants de l'Association internationale des travailleurs (Première Internationale). Des courants de pensée se revendiquant principalement des travaux de Marx sont désignés sous le nom de marxisme. Marx a eu une grande influence sur le développement ultérieur des sciences humaines et sociales. Biographie Famille Études Il entre au lycée Frédéric-Guillaume de Trèves (de) en 1830. Engagement À Berlin, il appartient au cercle des « hégéliens de gauche », dénommés aussi « jeunes hégéliens » (avec Bruno Bauer et d'autres) qui cherchent à tirer des conclusions athées et révolutionnaires de la philosophie de Hegel[10]. Le journal d'opposition Rheinische Zeitung Mariage et famille Annales franco-allemandes Rencontre avec Engels Révolutions de 1848

Recourir à l'emprunt public LE MONDE | | Par Eric Toussaint Damien Millet, respectivement président et porte-parole du Comité pour l'annulation de la dette du tiers-monde (CADTM) France Un Etat doit pouvoir emprunter afin d'améliorer les conditions de vie des populations. Certains de ces travaux peuvent être financés par le budget courant grâce à des choix politiques affirmés, mais des emprunts publics peuvent en rendre possibles d'autres de plus grande envergure, par exemple pour passer du "tout automobile" à un développement massif des transports collectifs, fermer les centrales nucléaires et leur substituer des énergies renouvelables, ou construire des bâtiments publics et des logements sociaux en réduisant leur consommation d'énergie et en leur adjoignant des commodités de qualité. Une économie capitaliste sans endettement n'a donc pas de sens. La revendication primordiale est la socialisation sous contrôle citoyen de tout le secteur des banques et des assurances.

Libéralisme économique Les partisans du libéralisme économique se rangent en deux grandes familles. Pour les libéraux classiques (John Locke, Anne Robert Jacques Turgot, Adam Smith ou Étienne Bonnot de Condillac), le libéralisme économique est l'application au domaine économique des principes fondateurs du libéralisme : liberté, responsabilité, propriété. Ils contestent à la fois la légitimité et l’efficacité de l’action étendue de l’État, et, selon les doctrines, demandent la limitation plus ou moins grande voire totale de ses actions dans le champ de l'économie. Ils considèrent notamment que la puissance publique n'a ni la légitimité, ni l'information nécessaire pour prétendre savoir mieux que les consommateurs ce qu'ils peuvent ou doivent consommer ou pour prétendre savoir mieux que les producteurs ce qu'ils peuvent ou doivent produire. Histoire de la liberté économique[modifier | modifier le code] Révolution française[modifier | modifier le code] Royaume-Uni[modifier | modifier le code]

La BCE et la politique monétaire européenne Émissions obligataires: la ruée vers l'or La BCE a annoncé que les obligations d'entreprises seraient éligibles à son programme d'assouplissement quantitatif (QE) l'été prochain. Une décision qui incite les grandes entreprises à lever des millions sur les marchés. Sans pour autant favoriser l'investissement. Zone euro: la BCE se montre plus optimiste La Banque centrale européenne s'est montrée jeudi plus optimiste sur les perspectives économiques en zone euro cette année. Pourquoi la BCE a vraiment frappé fort cette fois-ci En abaissant ses taux directeurs, en augmentant ses rachats de dette et en lançant un nouveau prêt à long terme pour les banques, la BCE donne tout ce qu'elle a. Face aux émeutiers, la BCE joue les boucs émissaires Les manifestants anticapitalistes de Blockupy ont assiégé le nouveau siège de la BCE à Francfort pendant son inauguration.

Max Weber Max Weber [maks vebɛʁ][1] (en allemand [maks ˈveːbɐ][2]), né le 21 avril 1864 et mort le 14 juin 1920, est un économiste et sociologue allemand originellement formé en droit. Considéré comme l'un des fondateurs de la sociologie, il porte ses interrogations sur les changements opérés sur la société avec l'entrée dans la modernité. On lui doit notamment des analyses complexes du capitalisme industriel, de la bureaucratie et du processus de rationalisation en Occident. Contrairement à Émile Durkheim, considéré lui aussi comme un père de la sociologie, Weber a peu enseigné et n'a pas fait école de son vivant. En marge de son travail de recherche, Weber s'est engagé dans l'action politique, contribuant notamment à la rédaction de la Constitution de Weimar pour la république de même nom en 1919. Introduction[modifier | modifier le code] « Ce qui importe donc, en premier lieu, c'est de reconnaître et d'expliquer dans sa genèse la particularité du rationalisme occidental […].

Inflation : le retour ? Entreprise / Emploi Après une période d’inflation basse et même des périodes de déflation, l’inflation revient au devant de la scène. Les facteurs qui avaient permis de connaître une longue période de désinflation sont en train de s’estomper. Parmi ces facteurs, on peut citer : le faible prix des matières premières, la déréglementation du marché du travail, la hausse de la part de marché des pays émergents et les politiques monétaires de lutte contre l’inflation. Même si l’emballement ne semble pas de mise en 2011, une progression plus sensible commence sérieusement à être envisagée pour l’avenir. Ce n’est pas sans raison que les banques centrales des pays émergents tels que la Chine, le Brésil et l’Inde ont pris les devants en augmentant leur taux. Pour le moment, dans les pays développés, la hausse reste modeste avec un niveau de 2,6 % dans la zone euro. Quels sont les facteurs qui peuvent expliquer cette hausse de l’inflation ?

Euro En usage sous sa forme scripturale le 1er janvier 1999, il est mis en circulation le 1er janvier 2002 à 0 h sous sa forme fiduciaire. Il succède à l'ECU, « l'unité de compte européenne » mise en service en 1979. L'euro est la deuxième monnaie au monde pour le montant des transactions[4], derrière le dollar américain et devant le yuan chinois. Depuis octobre 2006, elle est la première monnaie au monde pour la quantité de billets en circulation[5]. Au 1er janvier 2022, 28 187 546 465 billets en euro étaient en circulation dans le monde, pour une valeur totale de 1 544 370 485 175 €, ainsi que 141 184 192 506 pièces de monnaie pour une valeur totale de 31 233 475 945 €, l'ensemble représentant la somme de 1 575 603 961 120 €[6]. Fonctionnement[modifier | modifier le code] L'euro est géré par la Banque centrale européenne (BCE) qui siège à Francfort et par l'Eurosystème, composé des banques centrales des États de la zone euro. Émission et contrôle[modifier | modifier le code] Notes : J.

crise financiere 2007 2008 les raisons du desordre mondial La faillite de Lehman Brothers en septembre 2008 marque un tournant dans la crise financière apparue pendant l’été 2007 aux États-Unis. Comment expliquer un tel effondrement du système financier mondial ? Wall Street : le New York Stock Exchange. © D.R. Depuis l’été 2007, le système financier international traverse une des plus graves crises depuis 1929. Le premier signal en est lancé le 17 juillet par un établissement financier américain, Bear Stearns, qui annonce alors la forte perte de valeur de ses fonds du fait des subprimes. Ce court résumé illustre la fragilité d’un système financier internationalisé, où l’effet de contagion est fort. Mais que s’est-il passé exactement ?

Raymond Boudon Raymond Boudon en 2008. Raymond Boudon, né le 27 janvier 1934 à Paris et mort le 10 avril 2013 à Saint-Cloud, est un philosophe et sociologue français. Chef de file de l'individualisme méthodologique en France, c'est l'un des plus importants sociologues français de la seconde moitié du XXe siècle et du début du XXIe siècle. Dans son livre L'Inégalité des chances (1973), il a étudié la question de la mobilité sociale, dont on s'étonne, à cette époque, que cette dernière ne soit pas accélérée par la démocratisation scolaire. Il enseigne pendant trente-cinq ans à l'université Paris-Sorbonne, et est professeur invité dans de nombreuses universités étrangères, notamment Harvard, Genève ou Oxford. Membre de nombreuses sociétés savantes internationales, il est élu à Académie des sciences morales et politiques en 1990. Biographie[modifier | modifier le code] Il meurt le 10 avril 2013 à Saint-Cloud[10]. Œuvre[modifier | modifier le code] Inégalité des chances[modifier | modifier le code]

Les mesures d'austérité sont une supercherie” Actualité Docteur en sciences politiques des Université de Liège et de Paris VIII et président de la branche belge du Comité pour l’annulation de la dette du tiers-monde (CADTM), Eric Toussaint a coécrit et codirigé (avec le Français Damien Millet) un ouvrage intitulé “La dette ou la vie”. A l’aune de l’expérience de la problématique de la dette des pays du Sud, les auteurs livrent une analyse critique de politiques mises en œuvre au Nord, notamment dans la zone euro. Selon vous, telle qu'elle a été conçue, la zone euro était condamnée à connaître une telle crise… Le drachme, la peseta, l’escudo ont été surévalués par rapport aux autres monnaies, et notamment au deutsche mark, lors de la conversion en euro. On en est arrivé à une situation où la BCE a prêté à un taux de 1 %, jusqu’avril 2011, aux banques privées. Vous estimez que la Grèce serait en droit de remettre en cause le remboursement d’une partie de sa dette souveraine... Le politique a perdu la main? C’est très inquiétant.

Économie sociale de marché D'après Alfred Müller-Armack, inventeur de la formule, « son caractère social réside dans le fait qu’elle est en situation de proposer une masse diversifiée de biens de consommation à des prix que le consommateur peut contribuer à déterminer par la demande[1]. » Naissance en Allemagne[modifier | modifier le code] On doit la première utilisation de ce terme à l'économiste allemand Alfred Müller-Armack dans un ouvrage de 1946, Wirtschaftslenkung und Marktwirtschaft [2]. Le nom que les ordolibéraux donnent à leur doctrine est l'économie sociale de marché, qui donne l'idée que le libre-marché est naturellement social. Ce système s'oppose à l'économie planifiée, à l'économie de marché complètement libre[4] et à l'économie mixte[3]. Il cherche à obtenir et maintenir à la fois une croissance élevée, une faible inflation, un faible chômage, de bonnes conditions de travail et une protection sociale. La réforme est un succès, qui abolit le marché noir. Royaume-Uni[modifier | modifier le code]

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