Le brin d'herbe - Blog philosophique et politique
N°106 - Le Silence
N° 106 - Hiver 2012 Thème : Le Silence Sommaire 3e millénaire : Un fil d'Ariane dans les pas du silenceViator : Le silence est une musiqueGangaji : La soumission du mental au silencePaul Pujol : Le silence et le chant de la vieNicole Montinéri : Le silence, espace de la rencontreVimala Thakar : Explorer la dimension du silenceJohn Martin Sahajananda : Le silence ou comment naître à la plénitudeJean-Marc Mantel : Etre silenceMonique Virelaude : La peur et son double : le silenceSerge Pastor : Le Veilleur SilencieuxDavid Ciussi : L'Impensable présence au milieu du silence créateurBetty : L'indéfinissable silencePeter Fenner : Silence naturel et impensabilité profondeDocument : Miguel Molinos : Les trois sortes de silencesRâmana Maharshi : L'enseignement du silenceRudolf Steiner : La voie du silenceApproches de la méditation : La voie de l'épochèTémoin d’éveil : David Anza : La clé de la vieLittérature et Spiritualité : J. N°106 - Fil d'ariane sur les pas du Silence - Hiver 2012 Le Silence
Léviathan (Thomas Hobbes)
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le frontispice du « Leviathan » est l'œuvre du graveur Abraham Bosse. Hobbes discute la thèse d'un contrat social (au profit de celui de « pacte social ») et de règles venant d'un souverain. Outre cet argument, la première partie développe, de façon plus large, une anthropologie ainsi qu'une théorie du langage, conçu sous une forme expressive [1]. Le dernier chapitre (1, 16, « De la personne ») élabore une théorie de la représentation et de la personne morale en s'inspirant à la fois de l'étymologie du terme (persona, ou masque) et d'une théorie de l'acteur au théâtre. Dès lors, chaque individu étant présupposé rationnel, et poursuivant en priorité son propre intérêt, il en ressort que les hommes souhaitent naturellement sortir de cet état de nature mortifère, où personne ne peut gagner. La troisième partie est consacrée à la religion chrétienne. Léviathan, traduction Gérard Mairet Paris, Gallimard, 2000, coll. Léviathan.
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Métaphysique, ontologie, esprit | François LOTH
» La perfectibilité. Rousseau.
« Mais quand les difficultés qui environnent toutes ces questions laisseraient quelque lieu de disputer sur cette différence de l'homme et de l'animal, il y a une autre qualité très spécifique qui les distingue, et sur laquelle il ne peut y avoir de contestation, c'est la faculté de se perfectionner ; faculté qui à l'aide des circonstances développe toutes les autres et réside parmi nous tant dans l'espèce que dans l'individu, au lieu qu'un animal est au bout de quelques mois, ce qu'il sera toute sa vie et son espèce au bout de mille ans, ce qu'elle était la première année de ces mille ans. Pourquoi l'homme seul est-il sujet à devenir imbécile ? N'est-ce point qu'il retourne ainsi dans son état primitif, et que, tandis que la bête, qui n'a rien acquis n'a rien non plus à perdre, reste toujours avec son instinct, l'homme, reperdant par la vieillesse ou d'autres accidents tout ce que sa perfectibilité lui avait fait acquérir, retombe ainsi plus bas que la bête même ? Introduction :
Méditation
Après vous avoir chaleureusement recommandé de lire ou de relire "Un ermitage dans la neige" , le livre sur la vie de Tenzin Palmo voici un extrait tout simple, et si important : "Quand on veut se détendre, on allume généralement la télévision, on sort et en prend un verre. Mais cela ne nous procure pas un vrai repos. Les gens prétendent qu'ils n'ont pas le temps de méditer. La méditation ne consiste pas simplement à s'asseoir dans une grotte pendant 12 ans. La transformation de l'esprit et du coeur ne peut s'opérer si on se contente de s'asseoir et de méditer sans intégrer le dharma dans notre vie quotidienne." page 228 et 229 Vicki Mackenzie Un ermitage dans la neige NIL éditions
Alkemie - Revue semestrielle francophone de littérature et philosophie
» Le travail.
Le travail a une triple dimension : cosmologique, sociologique et humaniste. Voyons ce qu'il faut entendre par là. A) Le travail est un acte qui de prime abord se passe entre l'homme et la nature » Marx. Si, comme le décrit le mythe de l'Âge d'or ou de l'Eden, la nature était un jardin des délices où le lait et le miel coulaient à flots, l'homme n'aurait pas besoin de mobiliser son énergie pour lui arracher les produits utiles à sa vie. Il vivrait dans une harmonie paisible avec son milieu, étranger au manque, à la peine, à la peur. Car la nature est si peu bienveillante, si peu terre d'abondance et l'homme y est si peu chez lui qu'il est condamné à travailler pour produire ses conditions d'existence. Avant de considérer le travail sous une forme qui n'appartient qu'à l'homme, Marx s'arrête « à cet aspect primordial du travail » concernant aussi bien l'animal que l'homme. Et cette nouvelle donne est conçue comme une vocation. Le travail ne met pas en rapport que l'homme et la nature.
Philosophie, religion, science et conscience - Dieu, Platon, Darwin et l'avenir
spinoza.fr › Une lecture continue de l’Ethique de Spinoza
» Nature et civilisation. Freud.
« L'homme n'est pas cet être débonnaire, au cœur assoiffé d'amour dont on nous dit qu'il se défend quand on l'attaque mais un être, au contraire qui doit porter au compte de ses données instinctives une bonne somme d'agressivité. Pour lui, par conséquent, le prochain n'est pas seulement un auxiliaire et un objet sexuel possibles mais aussi un objet de tentation. L'homme est en effet tenté de satisfaire son besoin d'agression aux dépens de son prochain, d'exploiter son travail sans dédommagements, de l'utiliser sexuellement sans son consentement, de s'approprier ses biens, de l'humilier, de lui infliger des souffrances, de le martyriser et de le tuer... Cette tendance à l'agression, que nous pouvons déceler en nous-même et dont nous supposons à bon droit l'existence chez autrui, constitue le facteur principal de perturbation dans nos rapports avec notre prochain ; c'est elle qui impose à la civilisation tant d'efforts. Introduction : Développement : 2) Agressivité et civilisation.
30 choses que vous devez commencer à faire pour vous-même
Marc et Angel sont les auteurs de « 1000 petites choses que les gens heureux réussissent à faire différemment. Voici leur liste incroyable de 30 choses qu’il faut commencer à faire pour vous-même. N’hésitez pas à visiter leur site pour avoir des conseils et des astuces pour avoir plus d’inspiration dans votre vie (site en anglais). 1) Passez du temps avec les bonnes personnes. Ces personnes avec qui vous aimez être, qui vous aiment aussi et qui apprécient qui vous êtes, et qui vous encouragent à vous améliorer de façon intéressante et saine. 2) Affrontez vos problèmes de face. 3) Commencez à être honnête avec vous-même.Soyez honnête avec tout ce qui est juste et bien, ainsi qu’avec tout ce qui doit être changé. 4) Faites de votre propre bonheur une priorité. 5) Soyez vous-même, véritablement, fièrement. 6) Vivez au présent. 7) Apprenez les leçons de vos erreurs. 8) Soyez plus poli avec vous-même. 9) Profitez des choses que vous avez déjà. 10) Créez votre propre bonheur. Crédits:
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