« Je ne suis pas allé voter, et je vous emmerde » Entre les deux tours des régionales, la réponse d'un abstentionniste à Enthoven : "Je ne suis pas allé voter, et je vous emmerde !" Entre les deux tours des régionales, la réponse d’un abstentionniste au prof de philo animateur de radio Raphaël Enthoven. Raphaël Enthoven prétend faire la morale aux abstentionnistes en déclarant « Abstention, piège à con ». Les abstentionnistes seraient d’abord des ingrats, qui « négligent les acquis que d’autres ont payé de leur vie ». « Suspendre son vote à la coïncidence improbable de ses désirs et des propositions que font les politiques » serait une attitude « d’enfant gâté ». Les abstentionnistes ne sont pas « fainéants et malhonnêtes ». Voter n’est pas un devoir. Alors que l’animateur vous invite à considérer que de nombreux abstentionnistes souhaitent que le vote blanc soit comptabilisé, vous affirmez que « c’est tout à fait autre chose ». En somme, pour vous, monsieur Enthoven, il faudrait cesser de trouver des excuses aux abstentionnistes.
Consultation sur la démocratie - Sénat Allez au contenu, Allez à la navigation Une mission d’information sur le thème : « Démocratie représentative, démocratie participative, démocratie paritaire. Comment décider avec efficacité et légitimité en France en 2017 » a été créée fin 2016 à l’initiative du groupe UDI-UC. Elle est placée sous la présidence de Henri CABANEL (Socialiste et républicain - Hérault), avec pour rapporteur Philippe BONNECARRÈRE (UDI-UC - Tarn). Ses travaux portent sur les moyens de renforcer le lien de confiance entre les élus et les citoyens et d’améliorer la légitimité de la décision publique pour faire aboutir des réformes ou projets structurants. Soucieux d’associer à cette réflexion l’ensemble des citoyens et, plus largement, chaque membre de la société civile qui souhaiterait s’exprimer sur les modalités d’exercice de notre démocratie, le rapporteur et le président vous invitent à adresser votre contribution à la mission d’information grâce à cet espace participatif.
Suffrage censitaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Théorie[modifier | modifier le code] Emmanuel-Joseph Sieyès considérait que le vote est une fonction et que par conséquent seuls les individus ayant les capacités (intelligence, niveau économique) d'exercer cette fonction doivent y participer. Selon cette théorie, seuls « les actionnaires de la grande société » seraient suffisamment légitimes pour exercer l'activité de vote. Ce mode de suffrage est à mettre en perspective avec la théorie de la souveraineté nationale. Applications pratiques[modifier | modifier le code] Belgique[modifier | modifier le code] En Belgique, le suffrage censitaire a été utilisé depuis l'indépendance (1830) jusqu'en 1894. France[modifier | modifier le code] Entre 1833 et 1848, les conseils généraux sont également élus au suffrage censitaire. Italie[modifier | modifier le code] Prusse[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]
Suffrage capacitaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le suffrage capacitaire est un mode de scrutin dans lequel le droit de vote est accordé aux citoyens en fonction de leurs capacités intellectuelles, par exemple la faculté de lire et écrire[1],[2]. En pratique, seuls les détenteurs de certains titres (diplômes) ou ceux qui exercent certaines fonctions auront le droit de vote. Le suffrage capacitaire ne doit pas être confondu avec le suffrage censitaire, qui conditionne le droit de vote au paiement d'un impôt. Suffrage capacitaire dans le monde[modifier | modifier le code] France[modifier | modifier le code] Le suffrage capacitaire a été utilisé en France sous la Monarchie de juillet, combiné au suffrage censitaire. Belgique[modifier | modifier le code] Le suffrage capacitaire a survécu partiellement à l'abolition du suffrage censitaire en 1893. Amérique latine[modifier | modifier le code] Jusqu'à très récemment[Quand ?] États-Unis d’Amérique[modifier | modifier le code]
Retour sur le jugement majoritaire (et l’élection présidentielle) Alors ça y est, cette fameuse élection présidentielle est enfin terminée ! Je n’ai pas l’habitude de parler politique sur ce blog, mais comme vous le savez peut-être, j’ai publié il y a quelques mois une vidéo sur les différents modes de scrutin envisageables pour élire un(e) président(e). Cette vidéo n’est pas loin d’être la plus vue de la chaîne (plus de 500 000 vues à l’heure où j’écris ces lignes), et je me suis donc dit que c’était intéressant de revenir sur son contenu. Autre raison d’écrire aujourd’hui : dans cette vidéo, je faisais notamment la promotion de la méthode dite « du jugement majoritaire », or les deux créateurs de la méthode, Rida Laraki et Michel Balinski, m’ont fait la gentillesse de me communiquer les résultats de l’expérience qu’ils ont mené sur le site jugementmajoritaire2017.com. Si vous connaissez le jugement majoritaire, passez directement à la suite, pour les autres, je vous la remets : Le vainqueur de Condorcet Le jugement majoritaire Et les résultats alors ?
Abstention, vote blanc et vote nul : quelles différences ? - Le droit de vote, depuis quand et comment Voter : toutes les autres questions <p class="video_texte"> L'utilisation de javascript est obligatoire sur cette page pour voir l'animation.</p> L’abstentionAbstentionNon participation à un scrutin consiste à ne pas participer à une élection ou à des opérations de référendumRéférendumProcédure de vote permettant de consulter directement les électeurs sur une question ou un texte, qui ne sera adopté qu’en cas de réponse positive.. Elle traduit soit un désintérêt total pour la vie publique, soit un choix politique actif consistant à ne pas se prononcer afin d’exprimer son désaccord. Le vote blancVote blancConsiste pour un électeur à déposer dans l’urne un bulletin dépourvu de tout nom de candidat. Le vote nulVote nulBulletins déchirés ou annotés qui ne peuvent pas être pris en compte lors du dépouillement. correspond à des bulletins déchirés ou annotés, qui ne peuvent pas être pris en compte dans les résultats de l’élection.
Le deuil de la démocratie représentative D’abord, un chiffre pour remettre les pendules à l’heure : 91%. C’est le pourcentage de français qui n’a pas voté pour le FN1. Moins d’un français sur 10 a donné une voix à ce parti. Et de fait, que le FN soit « le premier parti de France » n’est pas en soi le symbole d’une droitisation ou d’une radicalisation rampante de la société français. C’est le symbole de la mort de la démocratie représentative, le signe ultime que celle-ci ne représente plus rien ni personne. Hier, je n’ai pas voté. Les étapes du deuil Tu connais peut-être les 5 étapes du deuil de Elisabeth Kübler-Ross. DéniColèreMarchandageDépressionAcceptation Ami votant, je sais déjà que tu as dépassé le stade du déni : tu sais pertinemment que la démocratie représentative est morte. En fait, tu oscilles entre les étapes 2 et 3. Encore une fois, je comprends le principe, j’étais au même point lors des dernières élections présidentielles. Les derniers coups de pelle Je ne pourrais jamais assez remercier François Hollande. 1. 2.
Orange se lance dans la blockchain avec un système de vote en ligne La blockchain fait partie des technologies à surveiller dans les années à venir. Elle pourrait révolutionner plusieurs secteurs de l'économie, à commencer par la banque et l'assurance. [Mise à jour le 12 décembre 2018 à 17h00] Orange lance un système de vote électronique basé sur la blockchain Ethereum. Lors du "Hello Show", qui s'est déroulé le 12 décembre 2018, Stéphane Richard a annoncé que cette solution baptisée Le Vote était destinée aux entreprises et collectivités territoriales. Pour l'instant, l'opérateur télécom a testé son service avec plusieurs clients dont la Région Normandie, le département du Val d'Oise et le Crédit Agricole. La blockchain est le nouveau buzzword dans le monde des technologies. Définition de la blockchain La blockchain (dont la traduction en français est chaîne de blocs) est une technologie qui permet de stocker et transmettre des informations de manière transparente, sécurisée et sans organe central de contrôle. La blockchain bitcoin La blockchain Ethereum
Vous prendrez bien un peu de démocratie liquide? Depuis que les membres du Parti Pirate allemand s’y sont mis en 2010, la démocratie liquide fait des émules. Cette forme de décision par vote continu a notamment été reprise en une plateforme open source facile d’accès par Democracy OS, une association née à Buenos Aires en avril 2012 et qui a depuis fait des petits un peu partout dans le monde, dont une section locale en France. C’est cette branche qui organisait le 9 juin son second meet-up à Paris. Après avoir invité le 21 mai Pia Mancini, directrice et fondatrice de Democracy OS, la deuxième rencontre entendait donner une tribune aux initiatives cherchant à rendre la démocratie plus accessible. Nul n’est censé ignorer la loi La première partie de la soirée était consacrée à quelques initiatives de vulgarisation du droit. Délibérer en ligne La seconde partie de la soirée, consacrée aux projets de consultation et de délibération en ligne, a été lancée par Our Cities. Democracy OS débarque en France La plateforme Democracy OS France
Chercheurs US: les Etats-Unis ne sont plus une démocratie Société (mis à jour 16:32 27.04.2015) URL courte Ce verdict est celui de Martin Gilens, de l’université de Princeton, et Benjamin Page, de l’université Northwestern, au terme d’une étude intitulée "Qui dirige l’Amérique?". Selon eux, le système politique du pays s'est transformé ces dix dernières années en oligarchie, où le pouvoir est concentré entre les mains d'une élite. Les chercheurs ont compilé les données relatives à plus de 1.800 décisions politiques prises entre 1981 et 2002. Ils ont comparé ces décisions aux préférences exprimées par les Américains à revenu moyen et par les 10% des Américains les plus riches. "Les Américains ont accès à de nombreux avantages du système démocratique, comme des élections régulières, la liberté de parole… Cependant, à notre avis, si le processus de conception de la politique se trouve sous le contrôle d’un cercle étroit de businessmen, alors la prétention de l’Amérique à une société démocratique est menacée", estiment les chercheurs.