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Guillaume Herbaut Photography

Guillaume Herbaut Photography
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Assistant Magazine Tirage quadrichrome au procédé charbon direct Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il s'agit d'une application en couleur du tirage au charbon inventé par Alphonse Louis Poitevin en 1855. Il fut mis au point par Pierre Fresson en 1952, à partir des techniques développées par son père pour les tirages monochromes. Cette méthode, uniquement réalisée sur commande par l'atelier Fresson dans la région parisienne, commence par une décomposition des couleurs de l'image par tirage contact sur des plans films noir et blanc, avec un filtrage RVB qui permet la sélection successive de chacune des trois couleurs complémentaires, et accessoirement des noirs. Chaque plan film est ensuite tiré par agrandissement sur un papier cartoline préalablement émulsionné avec une couche de pigments sensibilisés, dans l'ordre suivant : Entre chaque tirage, le papier est dépouillé puis séché, puis les pigments de la couleur suivante sont couchés et émulsionnés.

La Chambre - Galerie photo à Strasbourg jef klak Un couple chinois habite au milieu d'une route L'obstination d'un couple de sexagénaires chinois à refuser de quitter leur appartement promis à la démolition, les a amenés à demeurer coûte-que-coûte dans un immeuble partiellement détruit qui se dresse désormais, totalement isolé, au milieu d'une route 2 fois 2 voies. L'image de cette nouvelle "maison clou" -- ainsi que sont appelées en Chine les demeures habitées par des résistants aux expropriations, qui se retrouvent perdues dans des immenses chantiers de construction -- était publiée vendredi par de nombreux médias et sites internet. Situé dans la province orientale du Zhejiang, l'immeuble de 5 étages a été rongé de tous les côtés par les pelleteuses, sauf au niveau des fondations au-dessus desquelles se trouve l'appartement de Luo Baogen, 67 ans, et de sa femme de 65 ans. Les voitures frôlent leur immeuble. Photo ci-dessus Luo Baogen, 67 ans, montre l'immeuble d'où il refuse de partir avec sa femme et qui se retrouve au milieu d'une route, le 22 novembre 2012 "Quelle vision.

Fenêtres sur Athènes / ΑΘΗΝΑ ΘΕΑ Découvrir Athènes à travers des milliers de fenêtres, c’est ce que propose l’artiste plasticienne Ianna Andréadis dans un projet participatif qu’elle mène depuis trois ans. Elle a convié les Athéniens à photographier la ville depuis leurs fenêtres et diffuse quotidiennement sur la page Facebook du projet, une image qu’elle a sélectionnée. Cette mosaïque de regards s’enrichit au fil des jours. D’Athènes, nous découvrons des images insoupçonnées, comme si nous étions invités par ces centaines d’habitants / co-auteurs à partager, depuis chez eux, leur vision intime de la ville. Pour son exposition à la Cité de l’architecture & du patrimoine, Ianna Andréadis a choisi 400 photographies qui seront diffusées dans des projections immersives, tandis que le projet se poursuit en révélant l’extraordinaire poésie d'Athènes. AƟHNA ƟEA, qui se lit « Athina thea » en français, est un jeu sur le double sens du mot « thea », qui peut signifier "vue", mais aussi "déesse" et "très belle".

Photographie de rue Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La photographie de rue ou photographie sur le vif (« Street Photography » en anglais) est une branche en photographie dont le sujet principal est une présence humaine, directe ou indirecte, dans des situations spontanées et dans des lieux publics comme la rue, les parcs, les plages, les grands magasins ou les manifestations. L'origine du terme « rue » se réfère plus à une époque qu'à un espace : une époque où les femmes étendirent leurs libertés, où les travailleurs étaient récompensés par du temps libre, et où la société quitta l'intimité des foyers, rendant publiques les interactions entre individus au profit du photographe. Cadrage et déclenchement sont deux composantes décisives de cet art, dans le but de créer des images à un moment décisif ou percutant. Origines[modifier | modifier le code] Europe[modifier | modifier le code] États-Unis d'Amérique[modifier | modifier le code] Quelques photographes célèbres[modifier | modifier le code]

Surreal Dreams – Les superbes montages argentiques de Thomas Barbèy Une sélection des magnifiques photomontages argentiques de l’artiste Thomas Barbèy, basé aujourd’hui à Las Vegas, qui nous entraîne dans un joli monde surréaliste et poétique sans jamais utiliser la retouche numérique ! Thomas Barbèy assemble ses propres photographies, prises durant les 20 dernières années, en combinant avec talent et précision les négatifs de ses clichés, avant de les fixer grâce à un agrandisseur dans une chambre noire. Un travail impressionnant ! Simon & Tom Bloor Haussmanhattan : et si un projet artistique inspirait la réalité ? Et si nous mélangions les villes ? C’est l’idée qu’a eu le photographe et architecte Luis Fernandes avec son projet Haussmanhattan, dans lequel il mélange les images d’archive de Paris et de Manhattan. Le travail de qualité effectué donne une ville hybride intéressante et surprenante. Une combinaison dans l’air du temps L’urbanisation galopante de la planète (70% de la population mondiale habitera en ville en 2050) mélangée à la nécessité d’émettre de moins en moins de gaz à effets de serre font cependant que cette hybridation n’est pas qu’anecdotique. Quand la nature inspire de plus en plus les villes En regardant les photos de luis Fernandes on s’aperçoit qu’aujourd’hui Paris manque cruellement d’espaces verts naturels. Cette idée de nature dans la ville n’est pas nouvelle et avait déjà été pensée par Haussmann lors de la conception du Paris d’aujourd’hui mais avec l’idée d’une nature domestiquée par l’homme, au service de l’homme. La végétalisation de l’espace urbain

Hiroshi Sugimoto | leehassall Hiroshi Sugimoto’s seascapes are a peaceful vision. Very simple photographs made up of just water, air and a horizon the divides the image in two, this is the entirety of the image. “Water and air. In this quote Sugimoto talks about the seascape having a calming secure affect on the viewer. The part ‘I feel a calming sense of security, as if visiting my ancestral home’ refers to the seascape as being fixed in time. I have recently visited the North East of England, staying in a place not far from the coast. This seemed appropriate to include in my own work, as advances are being made in our society where it has become easier to live openly gay. This report from The Guardian shows anti-gay activist celebrating the passing of anti-gay laws in Uganda. This is why in the seascapes I have taken (shown below), I have included a disturbance upon the horizon.

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