Comprendre les faiblesses des étudiants pour les aider à éviter les erreurs Quoi de neuf? Comprendre les faiblesses des étudiants pour les aider à éviter les erreurs Publié le 13 mai 2013 par Carolann Claveau Plusieurs s’entendent pour dire qu’il est important d’adapter l’enseignement aux besoins spécifiques de chaque étudiant et du groupe. Une étude récemment rendue publique présente des résultats encourageants en ce sens. L’étude Philip Sadler, directeur du département de l’enseignement des sciences au Centre d’astrophysiques de Harvard-Smithsonian , a étudié la question avec des collègues. 181 enseignants de sciences et près de 10 000 étudiants ont participé à l’étude en répondant à un questionnaire. Les résultats Les données recueillies grâce aux questionnaires ont permis de constater que les étudiants s’amélioraient davantage lorsque leur enseignant était en mesure de prévoir leurs mauvaises réponses. [ Consulter l’article ] Pour plus d’informations Les effets théoriques et réels de l’évaluation standardisée (EACEA) Bibliothèque virtuelle (RIRE) albertogp123
Jeu et pédagogie ou pédagogie par le jeu : pourquoi il faut jouer toute l’année en classe (et ailleurs) | LudoVox Vaste sujet me direz-vous ? Et vous auriez raison. Je pense qu’on pourrait y consacrer quelques livres. Pour me présenter en quelques mots sur le plan professionnel : enseignante en élémentaire et intervenante en orthopédagogie (quel mot bizarre…). J’ai créé une structure d’accompagnement pédagogique portant le nom d’HeuréCAP. Autrement dit, mon truc à moi, c’est d’accompagner les enfants en difficulté voire même en souffrance scolaire, avec ou sans trouble(s) des apprentissages. Sur Ludovox, on aime jouer, on aime partager, on aime découvrir, on aime inventer… Et bien si je vous disais, qu’en classe ou en cours individuel, les enfants et les ados adorent ça aussi ! Jouer en classe, c’est possible « Jouer aux dés n’a aucun intérêt en soi. A l’heure de la rentrée des classes, nous pouvons voir fleurir sur un bon nombre de blog d’enseignants divers jeux de leur création. Le jeu intelligent (smartgame) Temps d’atelier Et concrètement, on joue à quoi ? Jouer en séance de remédiation pédagogique
Apprendre a apprendre : comment étudier avec le mindmapping Comment étudier avec le mindmapping ? En quoi les cartes mentales correspondent-elles aux principes d’étude confirmés par les neurosciences ? Dans cet article, j’opère des correspondances avec les contenus du MOOC « Apprendre à Apprendre ». Article mis à jour le 10 mai 2021. Le point de départ : le MOOC « Apprendre à apprendre« Ce texte est l’adaptation d’un travail réalisé en anglais pour le MOOC « Learning How to Learn » sur Coursera. En réalité, mon objectif était multiple : voir si les principes proposés dans ce MOOC correspondait peu ou prou à ceux que je prôneformaliser mes propres idées, les mettre en ordre, en vue d’écrire un livre sur le sujetapprendre de nouvelles choses, mettre mes connaissances à jour Je n’ai pas été déçu. Ensuite, quelques 85 à 90 % du contenu du cours correspondaient à ce que je présente dans mes formations. Pourquoi la comparaison entre apprendre à apprendre et le mindmapping ? Pour clôturer la formation, nous devions rendre deux travaux. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7.
Favoriser la motivation de l’élève dans un processus de formation par une approche transmedia | Chroniques du lièvre de Mars Une des caractéristiques essentielles d’un contenu transmedia est de faire appel à l’engagement du public. En cela, il peut intéresser les enseignants pour proposer à leurs élèves de nouveaux dispositifs d’apprentissage. La psychologie des apprentissages nous apprend qu’il existe plusieurs ressorts de motivation. Ceux-ci diffèrent d’un élève à l’autre et peuvent même varier selon la situation de formation. C’est pourquoi, il est bon de les connaître et de mettre en œuvre une gamme étendue de ressorts afin d’engager avec efficacité les élèves dans leurs activités. En m’intéressant depuis un certain temps aux productions transmedia, j’ai découvert que des spécialistes comme Melanie Bourdaa en France ou Henry Jenkins aux Etats-Unis s’intéressent à l’engagement du public pour ce type d’œuvre à travers le comportement des fans. Profils d’élèves et ressorts de motivation Paul trouve beaucoup de plaisir à étudier avec des camarades. Lucie a un mantra qu’elle répète à l’envie « c’est fun ».
[Montessori] La pédagogue qui voulait révolutionner le système éducatif français Basta ! : Quelles compétences ont été développées par les enfants de votre classe de Maternelles, à Gennevilliers, entre 2011 et 2014 ? Céline Alvarez [1] : Dès la première année, tous les enfants, suivis par le CNRS, ont progressé plus vite que la norme, sauf un qui était l’enfant le plus absent. Ils sont entrés très facilement dans la lecture, ont fait des mathématiques, des divisions, des soustractions. Un développement social s’est aussi mis en place. Ces résultats ne sont pas là parce que je suis une enseignante merveilleuse ou parce que les enfants sont extraordinaires ou à haut potentiels. En vidéo : du côté des enfants Comment a démarré cette expérience d’enseignement ? Je n’ai jamais souhaité être enseignante. J’ai souhaité mener ce travail de recherche au sein de l’éducation nationale. Sur quels grands principes repose votre enseignement ? C’est le deuxième grand principe : l’enfant est dans une période sensorielle. Par exemple, le problème de illettrisme est un non sujet.
LearningApps - interactive and multimedia learning blocks Dix constats clés de la recherche cognitive sur l'apprentissage (Schneider & Stern, 2010 1. L’apprentissage est une activité exercée par l’apprenant L’enseignant ne peut pas intervenir dans le cerveau de ses élèves pour y insérer de nouveaux éléments de savoir. Les connaissances que chacun possède ne sont accessibles qu’à lui seul. C’est donc l’apprenant qui doit créer lui-même de nouvelles structures de connaissance. Dès lors, l’enseignant ne doit pas se contenter de bonnes connaissances pédagogiques et de bonnes connaissances du contenu de la discipline qu’il enseigne, mais il doit aussi avoir une bonne connaissance du contenu pédagogique, c’est-à-dire comprendre comment les apprenants construisent leurs savoirs dans un domaine donné (Schulman, 1987). 2. L’enseignant ne peut aider ses élèves que s’il connaît leurs acquis. Dans l’exemple donné en introduction, l’enseignant n’a pas tenu compte des connaissances de ses élèves. 3. 4. Il est important d’établir des liens entre les concepts et les procédures pour favoriser l’intégration des structures de connaissances. 5.
Partager la classe inversée Du 25 au 29 janvier se déroulera la semaine de la classe inversée, une occasion de montrer, de partager des expériences qui se propagent, tout près du concret et loin des idées reçues. Rencontre avec Christophe Le Guelvouit, un des porteurs du projet, qui voit dans sa découverte de la classe inversée une porte qui s’est ouverte sur une permanente réflexion pédagogique. L’histoire de cette découverte est une histoire de coïncidences entre ses interrogations d’enseignant de mathématiques pour accroître l’intérêt de ses cours et un court reportage entendu à la volée sur France Inter au sujet de la classe inversée. Le hasard de la concordance se transforme en opportunité, attise la curiosité du professeur qui illico fait des recherches sur Internet pour en savoir plus. Il voit là une alternative aux cours magistraux pour ses classes de 3e composées de 29 et 30 élèves dont l’intérêt et l’attention sont variables. Réflexion permanente © S. Cours et travail à la maison Ni gadget ni mode
Les étudiants ne sont pas des mutants ! | Unisciel Par Laure Endrizzi, Chargée d’étude et de recherche au service Veille et Analyses, Institut français de l’Éducation (ENS de Lyon) Il ne suffit pas d’être pratiquant des technologies pour développer des usages experts quand on enseigne ou quand on apprend. Cela vaut pour les enseignants qui ont aujourd’hui, peu ou prou, adopté la bureautique et sont devenus des grands consommateurs de technologies standard (diaporama et courriels), mais dont les usages en matière d’informatique connectée restent le plus souvent cantonnés à la sphère privée. Cela vaut aussi pour les étudiants qui ne sont pas les mutants numériques que l’on se laisse aller à imaginer parfois, lorsqu’on les assimile à des « agents » d’une révolution sociétale à l’œuvre. Au fondement de ces discours, on retrouve toutes les analyses sur cette génération d’abord dite Y (parce qu’elle succédait à la génération X, qui elle même suivait la génération W), maintenant couramment nommée C parce qu’elle Crée, Communique et Collabore.