Communautés de pratique : un partage des connaissances idéal
La compétitivité d'une enteprise dépend directement de la qualité des connaissances auxquelles ses employés ont accès : être mieux informé que la concurrence est un objectif majeur pour chaque firme. Ce qui explique le succès des outils de partage des connaissances - ou KM. Pour Etienne Wenger cependant - l'un des gourous du collaboratif -, les managers ont une idée bien trop restrictive du partage des connaissances, qui se cantonne souvent à des bibliothèques statiques, des répertoires de documents écrits. Pourtant, "ce sont les savoirs dynamiques qui font la différence - explique posément E.Wenger dans une article de Systems Thinker. Ce qui requiert la participation de personnes totalement immergées dans le processus de création, raffinement, communication et utilisation des connaissances". Un mystérieux lieu d'échange Ces acteurs échangent leurs savoirs - sans même que l'entreprise en soit consciente - au sein de "communautés de pratique".
Organiser et animer une communauté de pratiques
Qu'est-ce qu'une communauté de pratiques ? Les communautés de pratiques prennent forme soit autour d’experts investiguant une même problématique (communauté « experte »), soit autour de professionnels exerçant le même métier (communauté « métier »), soit encore autour de collaborateurs exerçant au sein d’une même entité (service, département, entité géographique : communauté « structurelle »), soit enfin autour des participants à un même projet (communauté « projet »). Ces dimensions sont cumulatives, avec des segmentations plus ou moins fines selon la taille, la vocation et la structure de l’organisation. Plus grande est sa taille, plus diversifiés sont ses métiers, plus matricielle est sa structure, plus nombreuses seront ses communautés. Cette définition amène à reconnaître la diversité de leurs parties prenantes. En quoi est-ce un sujet d'actualité ? Les communautés de pratiques ne constituent pas une figure organisationnelle nouvelle. Comment passer à l'action ? La phase de définition
L'intranet est mort, vive l'intranet!
Cette semaine j'ai préparé les Rencontres annuelles des responsables communication interne qui auront lieu sur Paris du 7 au 9 Juin 2010. Que ce soit chez Sodexo, Alcatel Lucent, Bouygues Telecom, ou la MACSF, le constat est unanime, les outils de la communication et au coeur du dispositif, le "roi Intranet", sont en train de se métamorphoser sous la pression de son principal acteur: l'utilisateur! J'ai pensé que c'était le bon moment pour réactualiser un article ancien de GreenSI et aider les responsables intranet à se projeter avec l'évolution de cette application. La tendance d'évolution des intranets ces 5 dernières années est l'ajout de services pour rendre le salarié plus efficace, lui rendre service justement. Mais à l'heure des révolutions populaires et des réseaux sociaux, l'utilisateur se trouve cantonné à un rôle individuel où d'autres ont pensé et produit pour lui ses lectures et son efficacité, sur un poste de travail vissé à son bureau avec un intranet non mobile.
Entreprise 2.0
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Entreprise 2.0 est un terme dérivé de Web 2.0 pour décrire combien un logiciel peut être social, et est employé actuellement pour transformer l'intranet d'entreprise en une plateforme plus organique, collaborative et gérée par l'utilisateur. Le terme fut inventé par Andrew McAfee de la Harvard Business School dans le MIT Sloan Management Review du printemps 2006[1]. La notion d'"Entreprise 2.0" est souvent utilisée pour décrire des modifications sociales et en réseau des intranets d'entreprise et d'autres plateformes logicielles traditionnelles, ce qui implique une structure préalable à utiliser, le logiciel entreprise 2.0 encourage l'utilisation auparavant d'une architecture. L'entreprise 2.0, schéma inspiré du travail de Fred Cavazza L'entreprise 2.0 version 2012, schéma de Fred Cavazza Définitions[modifier | modifier le code] Indus Khaitan propose une définition plus laconique du concepte : “Enterprise 2.0 = Writable Intranet“.
Communauté de pratique
Qualité: à finaliserDifficulté: intermédiaire 1 Définitions Dans son ouvrage La théorie des communautés de pratique (2005), Wenger développe le concept de communauté de pratique comme un groupe de personnes qui travaillent ensemble et qui sont en fait conduits à inventer constamment des solutions locales aux problèmes rencontrés dans leurs pratiques professionnelles. Une communauté de pratique virtuelle groupe, à travers une plate-forme Internet constituée d'outils d’information et de collaboration (courriels, forums, vidéoconférences, CSCW, etc.), des employés ou professionnels disséminés géographiquement sur un territoire plus ou moins vaste (bureaux, bâtiments, départemental, régional, inter-régional, national, européen, international). Nous avons vu que l’approche des communautés de pratique développée par Wenger (2005) se place en ligne droite de la notion de « pratiques collectives ». 2 Un parallèle 3 Les dimensions d’une pratique 4 La pratique comme apprentissage 7 Références