Volkswagen - autopartage - Hanovre
La ville de Hanovre et le constructeur ont conclu un accord pour la mise en place du concept. « Les points forts de ce projet, en plus d’utiliser la très économe Golf BlueMotion, résident dans la forte disponibilité des véhicules et la facilité d’utilisation. Nous mettons ce concept à disposition aussi bien de clients privés, d’étudiants, de collectivités ou d’utilisateurs professionnels », a commenté Christian Klingler, responsable des ventes et du marketing pour la marque Volkswagen. Le premier modèle de la flotte d’autopartage sera la Volkswagen Golf BlueMotion Le moteur de 1.6 TDI 105 ch de la Volkswagen Golf BlueMotion présente une consommation moyenne de carburant de 3,8 litres pour 100 kilomètres, ce qui correspond à des rejets de 99 grammes de CO2 par kilomètre.
Comment Rifkin est trop fan de l’économie collaborative
Le dernier ouvrage du célèbre économiste m’a rendue fort enthousiaste ! Parmi les raisons de cet enthousiasme : la façon dont il prend en compte l’économie collaborative. Explications.
Comment l’économie du partage crée du lien social
Alors que les échanges marchands créent de plus en plus d'exclusion sociale et de défiance, l'économie du partage, par le don, transforme les relations grâce à la reconnaissance et l'inter-dépendance. Le XXème siècle aura été incontestablement celui de l’échange marchand. Jamais l’humanité n’avait autant commercé, exporté, importé. Jamais les transactions n’avaient été aussi simples et rapides. Le volume du commerce mondial a triplé depuis la chute du mur de Berlin et a connu une croissance presque exponentielle [en] jusqu’à la crise économique de 2008.
Internet: l’immigration réussie de l’extrême droite
Face à une presse qu'ils disent muselés par l'hégémonisme culturel, les militants d'extrême droite se sentent libres et s'installent de plus en plus confortablement sur Internet, depuis les groupes de discussions jusqu'aux pages Facebook. Face à la stratégie de diabolisation qu’opèrent les médias grand public vis à vis de l’extrême droite, il est difficile pour ses leaders de se faire entendre, et de faire entendre leurs causes. C’est en substance le cadre de l’intervention de Jean-Yves Le Gallou le 25 octobre 2008. Ancien cadre du FN puis du MNR et fondateur du think-tank Polemia, il s’inspire du théoricien communiste Antonio Gramsci pour inciter les militants d’extrême-droite à investir massivement le web.
Partager, la tendance cool du moment - Lifestyle
Promouvoir le partage des objets plutôt que leur possession, tel est le principe du co-sharing. En vogue depuis environ un an, il se décline sous différentes appellations, telles que co-dressing, bookcrossing ou cloo, pour désigner des pratiques originales et parfois farfelues (lire encadrés). «L’aspect financier et la dimension sociale motivent les gens à partager leurs biens, commente Antonin Léonard, créateur du blog consocollaborative.com.
Les "bricothèques" enfoncent le clou
UtopLib avait évoqué début 2010 les "bibliothèques d'outils". Depuis, les "bricothèques" ou "outillothèques" se multiplient (ou étendent leur territoire), portées notamment par les régies de quartier, soutenues elles-mêmes financièrement par les municipalités. Il y en aurait "officiellement" une vingtaine en France, sans parler de celles proposées par les CE de certaines grosses entreprises ou par des écoles, et il s'en crée à un rythme régulier. Une façon de faire des économies, d'éviter le gaspillage (pour des outils qui ne serviront peut-être qu'une ou deux fois dans une vie) en mutualisant le matériel, de créer du lien social, d'échanger conseils et expériences, de partager, tout simplement... Une bricothèque, c'est simple comme un coup de marteau !
La montée de la consommation collaborative
“La consommation collaborative correspond au fait de prêter, louer, donner, échanger des objets via les technologies et les communautés de pairs”, explique le site éponyme lancé par Rachel Botsman et Roo Rogers, les auteurs de What’s mine is yours, the rise of collaborative consumption (Ce qui est à moi est à toi, la montée de la consommation collaborative). Ceux-ci affirment d’ailleurs que cette pratique est en passe de devenir un “mouvement”. Un mouvement qui va des places de marchés mondiales comme eBay ou Craiglist à des secteurs de niches comme le prêt entre particuliers (Zopa) ou les plates-formes de partage de voitures (Zipcar). “La consommation collaborative modifie les façons de faire des affaires et réinvente non seulement ce que nous consommons, mais également comment nous consommons”, affirment ses défenseurs.
L'économie du "juste ce qu'il faut"
Les incertitudes sur la dette grecque, le sur-développement du crédit en Espagne, le développement du crédit aux Etats-Unis, l'émergence d'une classe moyenne en Inde et en Chine pèsent sur les certitudes de développement à long-terme. Les incertitudes sur la stabilité du système financier international et sur l'utilisation durable du capital environnemental nous amène à un constat certain: « juste ce qu’il faut » doit être le mot d’ordre des nouveaux modèles de développement. Les pays en développement n’ont pas besoin d’une voiture avec climatisation et GPS.
Transmédia (2/2) : le marketing de l’attention
La convergence des outils et des technologies conduit-elle à la convergence des contenus ou à leur divergence ? C’est peut-être ainsi qu’on pourrait résumer l’enjeu qui sous-tend la question du transmédia, sujet coeur des Masterclass internationales du Transmédia qui se tenaient à Marseille la semaine dernière. Après avoir observé ce qu’est le transmédia, intéressons-nous à ces enjeux.
Pour une société du partage
“Les consciences changent quand se produisent, conjointement, une révolution de la production d'énergie et une révolution des communications. Quand les deux se combinent, c'est bien tout notre rapport à l'espace et au temps qui change, notre modèle de civilisation. Et notre empathie qui s'élargit.” Jérémy Rifkin, Vers une civilisation de l'empathie. Dans un monde de partage, des projets comme le partage de voitures, le troc de vêtements, les vélos en libre-service, les crèches parentales, l’habitat partagé rendent la vie moins chère à vivre, ravivent le lien social et diminuent notre empreinte écologique.
Faire sa propre ville : comment les gens prennent-ils le pouvoir
Robin Chase (blog) est une serial entrepreneuse reconnue. Après avoir fondé Zipcar, la plus grande entreprise d’autopartage du monde, et GoLoco, une communauté autour du covoiturage, elle a lancé Buzzcar, un service de partage de voitures. Invitée dans les plus grandes conférences (TED), elle a reçu de nombreuses récompenses dans le domaine de l’innovation, du design et de l’environnement. Pendant longtemps les villes ont été construites de manière très chaotique, sans structure… Il a fallu attendre le baron Haussmann et ses grands travaux pour que la ville change. Mais accepterions-nous encore facilement des travaux à cette échelle ?