LA LEGITIMITE DU REVENU MINIMUM D’EXISTENCE Pour un nouveau contrat social revenudexistence.info Le site a rencontré l'erreur ci dessous. Relancer l'application (revenudexistence) Le champ 'ZR_REQ_INFOS_DERNIERE' n'a pas pu s'initialiser, car il a rencontré l'erreur HyperFileSQL suivante : ============================= L'accès au serveur vous est refusé. Vérifiez que le nom d'utilisateur <alternatives> et le mot de passe sont corrects. ============================= L'accès au serveur vous est refusé. Dump de l'erreur du module <WD140PAGE.DLL><14.00Dgd>. - Niveau : erreur fatale (EL_FATAL) - Code erreur : 310085 - Code erreur WD55 : 4001 - Pas de code d'erreur système - Pas de message d'erreur système - Que s'est-il passé ?
Réinventer le système monétaire par le dividende universel Pour prolonger les débuts de réflexion que j’effleurais dans plusieurs de mes derniers articles Pourquoi le système financier est un château de cartes ; Pour un retour de la « finance utile », ainsi que dans 10 (mauvaises) raisons de ne pas croire au revenu de vie, je vous propose aujourd’hui de réfléchir à ce qui pourrait être un système monétaire optimal. Commençons par un petit retour en arrière sur un de mes articles précédents, que je concluais en écrivant : le système financier et monétaire n’est qu’un château de carte dont la dette est la clé de voute. En substance, il faut comprendre que la très grande majorité de la monnaie en circulation l’est sous forme de dette. Note de contexte : la faillite est imminente La « crise des dettes souveraines » place actuellement à la croisée des chemins de ces questions. En plus des états, les banques commerciales sortent difficilement la tête de l’eau suite à la crise des subprimes de 2008. ). Vers une création monétaire centrale contrôlée ? .
Allocation Universelle Revenu garanti: « la première vision positive du XXIe siècle » » Article » OWNI, Digital Journalism Selon Mona Chollet, plus qu'une utopie de plus, le revenu universel est un véritable projet de société qui répond à de nombreuses problématiques du XXIème siècle. Après avoir vécu douze ans dans une roulotte de cirque, pour être libre et pour économiser un loyer, Susanne Wiest s’est installée à Greifswald, dans le nord de l’Allemagne. Elle travaille comme maman de jour, sans gagner suffisamment pour joindre les deux bouts : elle doit accepter l’aide de ses parents. Quel travail feriez-vous si votre revenu était assuré ? Derrière la carte – et la question -, il y a Enno Schmidt, un artiste allemand établi en Suisse alémanique, et Daniel Häni, qui dirige à Bâle Unternehmen Mitte, une ancienne banque reconvertie en centre social et culturel (une exception notable à la règle qui veut que seules les usines désaffectées connaissent ce destin). Susanne Wiest, Enno Schmidt et Daniel Häni Une “valeur travail” plus ancrée en France qu’en Allemagne ou en Suisse Une utopie élitiste ? Susanne Wiest
Non, le revenu de vie n'est pas une utopie. Après avoir écrit l’article provocateur “Le problème, ce n’est pas les riches, c’est les pauvres” sur le revenu de vie, de nombreux commentaires m’ont incité à me pencher plus sérieusement sur cette idée. Voici une présentation plus “sérieuse” de ce concept révolutionnaire. Qu’est-ce que le revenue de vie ? Connu également sous de nombreux noms, le revenue de vie, ou aussi dividende universel, dotation inconditionnelle de citoyenneté, allocation universelle, revenu de base, revenu forfaitaire, revenu garanti, revenu de citoyenneté, revenu social de solidarité semble au premier abord totalement utopique. “Ce revenu serait inaliénable, universel, inconditionné, insaisissable, cumulable avec les autres rentrées d’argent, professionnelles ou patrimoniales. Comment le financer ? L’infâme gauchiste que je suis proposait un brin sardoniquement de prendre aux riches pour donner aux pauvres. Principales objections : Le risque de créer une population d’assistés. Mais qui ferait le sale boulot ?
Allocation universelle Livre de référence: L'allocation universelle par Yannick Vanderborght et Philippe Van Parijs (Repères 402, Paris: La Découverte 2005, téléchargeable gratuitement avec l'aimable autorisation de la maison d'édition), également publié en traduction allemande (Campus), italienne (Bocconi), espagnole (Paidos) et portugaise (Record). Réseau mondial: Basic Income Earth Network (BIEN) Revue internationale: Basic income studies (BIS) C'est au 3 Place Montesquieu, à Louvain-la-Neuve, que l'expression "allocation universelle" a été utilisée pour la première fois (1982). Lors de son congrès de Barcelone (2004), le BIEN s'est mondialisé sous le nom de Basic Income Earth Network, Yannick Vanderborght (FUSL et UCL, Chaire Hoover) en est devenu le newsletter editor, David Casassas (Universitat de Barcelona et Hoover Fellow en 2005-06) le secrétaire, et Philippe Van Parijs président de son International Board.
10 (mauvaises) raisons de ne pas croire au revenu de vie Marc Vasseur a tristement raison : le « revenu citoyen de Villepin fait pour l’instant quasi lettre morte. Pourquoi ? Parce que le revenu de vie n’est pas une idée de loi de plus pour législateur ennuyé. Le revenu de vie est un véritable levier pour un changement de société. C’est une idée puissante dans un sens, mais également complexe à aborder car elle nécessite d’avoir une vision globale des problèmes de notre société. Bref, afin de mieux expliquer tout cela, je me suis lancé dans une petit « FAQ » visant à répondre aux 10 objections que j’entends le plus souvent. 1. Pour certains, le revenu universel est une idée libérale qui vise uniquement à se débarrasser de l’état providence. Face à l’échec de l’état providence dans sa forme actuelle, le revenu universel s’impose donc comme une évidence aux yeux de certains libéraux. 2. Selon le point de vue de l’interlocuteur, tandis que certains y voient une idée libérale, d’autres y voient une affreuse idée communiste. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.
Revenu de base pour tous - Allocation universelle A Universal Basic Income, Economic security for all Canadians Mode d’emploi pour démarrer une civilisation Et si l'esprit du libre qui est déjà en place dans la société de la connaissance et de la créativité pouvait se propager à l'univers du matériel, des outils du fermier, de l’ouvrier, de l’entrepreneur ou du producteur. Dans un récent billet intitulé Open Source Ecology ou la communauté Amish 2.0 nous nous faisions l’écho d’un projet assez extraordinaire consistant à placer sous licence libre les spécifications d’une cinquantaine de machines agricoles permettant théoriquement à un village d’accéder à l’autosuffisance. Un projet qui méritait bien les honneurs d’une conférence TED que nous avons choisi de vous reproduire ci-dessous. Soit dit en passant, les conférences Ted, au format court caractéristique et de plus en plus souvent sous-titrées en français, constituent avec le temps une véritable mine d’or pour tout internaute curieux de mieux comprendre et appréhender les enjeux d’aujourd’hui et de demain. Leur slogan est : « des idées qui méritent d’être diffusées ». Merci.
Après l’échec du Bank Run, quatre idées pour s’éloigner des banques Plutôt que de courir vider son compte, OWNIpolitics vous propose quelques solutions concrètes pour réduire votre dépendance bancaire. Article publié initialement sur le site OWNIpolitics sous le titre : Quatre alternatives au Bank run de Cantona. Mardi 7 octobre, même si des centaines ou des milliers de Français avaient été clôturer leur compte ou simplement en retirer le maximum de cash autorisé, les banques n’auraient pas tremblé. Si l’initiative lancée par Eric Cantona a donné l’illusion sympathique qu’il suffisait de s’armer de sa carte bleue pour entamer les fondations du système bancaire, elle n’eu aucun effet, sinon, peut-être celui de priver une poignée d’épargnants de leur capacité à recevoir des virements, ainsi qu’un nombre considérable d’autres désagréments qu’avaient énuméré nos collègues de rue89. Il faut appeler bien un chat un chat : les banques mettent à genoux les peuples, et elles sont d’autant plus féroces maintenant qu’elles ont vu le couperet de près il y a peu.
Napster de la banque: prochain cauchemar des gouvernements ? Selon le fondateur du parti pirate suédois, nous n'avons encore rien vu de la révolution internet. Le pire reste à venir pour les États : les monnaies chiffrées et décentralisées. La vraie bataille pour l’internet et les énormes changements que le réseau apporte ne fait que commencer. Une des règles générales du progrès technique, c’est que ce n’est pas nécessairement la techno la plus riche en fonctionnalités, la moins chère, ou la plus accessible qui atteint la masse critique d’utilisateurs. Je cite fréquemment Youtube en exemple, car Youtube n’était pas le premier site à proposer de la vidéo sur le net. À ce jour, l’histoire nous apprend que cela prend environ dix ans, depuis la conception d’une technologie, ou de l’application d’une technologie, avant que quelqu’un trouve la recette miracle qui rend cette technologie assez simple à utiliser pour que ça prenne. Il serait indélicat de ne pas mentionner Napster dans ce contexte. Voici ce qui est sur mon radar : le système bancaire.
Monnaie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La monnaie est définie par Aristote[1] par trois fonctions : unité de compte, réserve de valeur et intermédiaire des échanges. Depuis la suppression de toute référence à des matières précieuses et la dématérialisation des supports monétaires, et après l’intervention des économistes « nominalistes »[2], les aspects légaux de l'usage de la monnaie (et notamment les droits juridiques qui sont attachés au cours légal et au pouvoir libératoire) sont plus apparents. Ces droits sont fixés par l’État et font de la monnaie une institution constitutionnelle en de multiples pays. La monnaie est l'instrument de paiement en vigueur en un lieu et à une époque donnée : du fait de la loi : on parle de cours légaldu fait des usages : les agents économiques l'acceptent en règlement d’un achat, d’une prestation ou d'une dette. La monnaie est censée remplir trois fonctions principales : Histoire[modifier | modifier le code] Usages[modifier | modifier le code] Notes