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À lire la plupart des projets d'écoles ou des projets d'établissements, à consulter les instructions ministérielles, à entendre les parents et les enseignants, on découvre que l'"autonomie" est au centre de tous les discours. On veut former des élèves autonomes, des enfants autonomes, former à l' "autonomie requise pour l'exercice d'une citoyenneté responsable", etc. Or, à regarder de près les pratiques scolaires et les comportements des élèves, on découvre que, en réalité, ce n'est pas l'autonomie qui est développée mais bien plutôt quelque chose comme la débrouillardise. Certes, l'Ecole n'est pas, à elle seule, responsable de cette confusion entre l'autonomie et la débrouillardise : il existe une multitude de pratiques sociales qui invitent à aller dans ce sens. La définition d'un champ de compétences d'abord : tout le monde peut se former à l'autonomie mais n'importe qui n'est pas capable de promouvoir cette autonomie dans tous les domaines. Philippe MEIRIEU

L'autonomie de l'élève en EPS Résumé du cours Cours portant sur l'autonomie de l'élève en EPS. Sa construction doit faire l'objet d'un réel apprentissage, dans un contexte élaboré et basé sur la volonté des élèves et de l'enseignant. Il est important de rendre l'élève acteur de ses apprentissages et de lui faire confiance (responsabilités, initiatives), pour cela, l'attrait vers les APPN semble être judicieux, tant les élèves lors de la confrontation au risque développe un comportement autonome pour assurer leurs intégrités. Sommaire du cours I) Définitions et citationsII) Références institutionnellesIII) Réflexions d'auteursIV) Tableau récapitulatif Extraits du cours [...] À propos de l'auteur Nicolas F.Etudiant Niveau Grand public Etude suivie droit des... Ecole, université Descriptif du cours Date de publication Date de mise à jour Langue français Format Word Type cours Nombre de pages 5 pages grand public Téléchargé 32 fois Validé par le comité de lecture Current View sur 6 Enter the password to open this PDF file:

Autonomie Philippe Meirieu La question de l'autonomie a le mérite de ne pas nous laisser indifférents. Elle suscite même chez les professeurs de vives polémiques : - Les uns invoquent l'autonomie "naturelle" des enfants, leur capacité spontanée à se prendre en charge, leur don d'initiative et leur sens des responsabilités... Cette foi justifie à leurs yeux la mise en place d'un enseignement moins directif : ils laissent chacun organiser leur travail et prennent le risque de la confiance... - Les autres, au contraire, se plaignent du fait que les élèves sont incapables du moindre travail autonome, qu'ils se dispersent, chahutent, en profitent pour ne rien faire dès qu'ils n'ont plus la bride sur le cou. Ceux-là justifient ainsi le recours à des méthodes autoritaires, l'exclusion définitive du travail de groupe - insurveillable ! Ce n'est pas un hasard si ce mouvement de balancier est si fréquent et, à la réflexion, il n'est pas si curieux. Car, c'est bien là le noeud : l'autonomie n'est pas un don.

Pédagogies de l'autonomie (de l'élève) Empowerment Au plan individuel, Eisen (1994) définit l'empowerment comme la façon par laquelle l'individu accroît ses habiletés favorisant l'estime de soi, la confiance en soi, l'initiative et le contrôle. Certains parlent de processus social de reconnaissance, de promotion et d'habilitation des personnes dans leur capacité à satisfaire leurs besoins, à régler leurs problèmes et à mobiliser les ressources nécessaires de façon à se sentir en contrôle de leur propre vie (Gibson, 1991 p. 359). Les notions de sentiment de compétence personnelle (Zimmerman, 1990), de prise de conscience (Kieffer, 1984) et de motivation à l'action sociale (Rappoport, 1987, Anderson, 1991) y sont de plus associées ACP (approche centrée sur la Personne) quelques principes de fonctionnement d’une approche centrée sur la Personne, ainsi qu’a pu la développer Carl Rogers, relayée en France par André de Peretti : · Les émotions sont constitutives de la Personne · La motivation est conçue comme autonome. Trois facteurs:

Autonomie - Définition Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Étymologie[modifier | modifier le code] Du grec autos : soi-même et nomos : loi, règle.Droit que les Romains avaient laissé à certaines villes grecques, de se gouverner par leurs propres lois.Par extension : indépendance.hétéronomie : Fait de ne pas être autonome, d'obéir à des lois extérieures.anomie : Absence d'organisation sociale résultant de la disparition des normes communément acceptées. Entreprise[modifier | modifier le code] Voir : Elliott Jaques Philosophie[modifier | modifier le code] En philosophie morale, l’autonomie (du grec αὐτονομία, autonomia) est la faculté d'agir par soi-même en se donnant ses propres règles de conduite, sa propre loi. Cependant, une proposition d'autonomie peut se construire à partir de l'éducation (éducation à l'autonomie, écocitoyenneté). Dans la suite des champs disciplinaires, cette idée se comprendrait mieux dans la relation entre autonomie et hétéronomie et avec l'anomie. avant l’action pendant l’action

Développer des pratiques pédagogiques renforçant l’autonomie des élèves Télécharger la fiche imprimable (2 pages) au format PDF Cette question se pose dans le cadre d’une institution scolaire marquée historiquement par une division progressive du travail : le temps du cours où le professeur enseigne et le temps de l’étude où l’élève apprend. Si, au début du XXe siècle, ces deux temps étaient pris en charge par l’institution (répétiteurs, études) dans le cadre de l’enseignement secondaire fréquenté essentiellement par les enfants des milieux favorisés, la massification à l’œuvre depuis les années 60, l’augmentation du nombre de disciplines enseignées s’est traduite par un processus d’externalisation du travail personnel demandé aux élèves sous la forme des “devoirs à la maison”[1]. L’accompagnement et l’aide de ces devoirs ont donc été majoritairement sous-traités à l’extérieur par les familles, les cours particuliers ou les dispositifs d’aide aux devoirs mis en place par les communes et les structures associatives. Pour aller plus loin : [5] J.

Présentation du socle commun - L'autonomie et l'initiative A. - L'autonomie L'autonomie de la personne humaine est le complément indispensable des droits de l'homme : le socle commun établit la possibilité d'échanger, d'agir et de choisir en connaissance de cause, en développant la capacité de juger par soi-même. L'autonomie est aussi une condition de la réussite scolaire, d'une bonne orientation et de l'adaptation aux évolutions de sa vie personnelle, professionnelle et sociale. Il est également essentiel que l'école développe la capacité des élèves à apprendre tout au long de la vie. Connaissances La maîtrise des autres éléments du socle commun est indissociable de l'acquisition de cette compétence, mais chaque élève doit aussi : connaître les processus d'apprentissage, ses propres points forts et faiblesses ;connaître l'environnement économique : l'entreprise ;les métiers de secteurs et de niveaux de qualification variés ainsi que les parcours de formation correspondants et les possibilités de s'y intégrer. Capacités Attitudes

Construire l'autonomie des élèves en maternelle - [Circonscription de Gex Sud] "La construction de l’autonomie est une des principales missions de la maternelle et de l’école primaire. Rendre les élèves autonomes, ce n’est pas les laisser se débrouiller seuls, c’est leur permettre de pouvoir résoudre des situations-problèmes, de choisir, d’essayer et de prendre des initiatives. Construire son autonomie en tant qu’élève, c’est pouvoir, entre autres, donner du sens à ses apprentissages, en percevoir les finalités et les enjeux. Mais l’acquisition de l’autonomie est aussi un moyen au service des apprentissages pour organiser un travail individualisé ou différencié, pour organiser un travail de groupe efficace, pour libérer l’enseignant et lui permettre la prise en charge d’élèves ou de groupes identifiés. Les pratiques favorisant cet apprentissage sont véritablement efficaces lorsqu’elles sont construites et réfléchies au-delà d’une année scolaire sur l’ensemble du parcours de l’élève. Elaborer une grille d’observation

10 conseils pour rendre les élèves autonomes ! Je remonte cet article grâce à Eowin ...pour la piqûre de rappel :) :) Bon mercredi Quand je dis autonomie j’entends capacité à prendre en charge son apprentissage ! Petite phrase et tout un programme ! Vous entendez souvent : « Maîtresse, ça veut dire quoi ? » « Maîtresse j’ai fini le 1 » « Maîtresse je prends un fluo pour surligner ? « Maîîîîîîtressssssssssssssssssssssssssssssssse !!!! Les élèves qui posent des questions sans arrêt sont tributaires de leur enseignant. Caractéristiques Les notions d'autonomie et d'apprendre à apprendre sont liées, et selon les auteurs se confondent (est autonome l'étudiant qui sait apprendre, pour Holec) ou se distinguent (apprendre à apprendre, c'est se préparer à être autonome, pour Portine). Pour savoir apprendre il faut d’abord vouloir apprendre : en avoir la capacité et la possibilité. Selon Sylvie Lay il y a deux catégories de difficultés à surmonter pour les élèves: - Un « rapport au savoir » qui n’est pas conforme aux attentes de l’institution scolaire

Travail personnel et autonomie des élèves : une formation en lycée général et technologique Texte rédigé par les formateurs Rep+ des Yvelines (académie de Versailles) à partir d'une intervention réalisée lors d'une formation de formateurs sur le travail personnel à l'IFE en 2018. Vous pouvez retrouver l'intégralité de leur scénario de formation ici « Réintroduire » le réel, partir des « problèmes de métier » des enseignants, analyser l’activité ordinaire de la classe, rendre vivant ce que Guy Brousseau nomme le« milieu d’apprentissage » constituent autant de conditions nécessaires pour rendre les actions de formation « utiles, utilisables et acceptables[1] ». S’inscrire dans ce processus suppose pour les formateurs de réaliser un travail préalable d’exploration indispensable : recueil d’informations, observation et examen d’éléments éparses, analyse de la demande, problématisation, voire re-problématisation. Cette démarche nécessite d’interroger et de comprendre les différents points de vue de chacun des acteurs. Redéfinir l’objet de formation Convoquer la parole des élèves

Autorité de l'enseignant, autonomie de l'élève Bernard Lebrun Qu'un enseignant ait besoin d'avoir de l'autorité est une idée admise par tous. Réfléchir à ce qui fonde cette autorité renvoie immanquablement à la question du rôle d'un enseignant au sein du système éducatif, à ses devoirs.L'autorité est conçue ici comme le pouvoir d'obtenir, sans recours à la contrainte physique, un certain comportement de la part de ceux qui lui sont soumis. L'autorité requiert toujours l'obéissance et instaure un rapport hiérarchique entre celui qui commande et celui qui obéit. Lorsque l'enseignant dirige l'élève, lui impose des contraintes, il semble, à première vue seulement, limiter sa liberté. Une autorité difficile sans apprentissage L'autorité est liée, dans un premier temps, à la capacité de l'enseignant à se faire écouter, à obtenir le silence. Autorité de l'enseignant et autonomie de l'élève Dans le processus d'éducation, l'enseignant doit diriger l'élève. De l'apprentissage guidé vers l'autonomie Abolir les contraintes inutiles Conclusion

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