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Le Lab | Reporters d'Espoirs
Frédéric Lambert Sémiologue , docteur en histoire et sémiologie du texte et de l’image , professeur à l’institut français de presse (IFP) de l‘université Paris 2 Panthéon-Assas, il dirige le laboratoire de recherche CARISM. Il y enseigne notamment la sémiotiques de l’image et des médias. Tommaso W. Bertolotti Diplômé d’un doctorat de philosophie, il travail depuis 2010 sur les sciences cognitives de la religion. Isabelle Veyrat-Masson, Directrice de recherche au CNRS, spécialiste de communication médiatique. Serge Tisseron Psychiatre et psychanalyste, chercheur associé au Centre de Recherche Psychanalyse Médecine et Société à l’université Paris VII Denis Diderot. Cathrine Gyldensted est journaliste (bilingue anglais-danois), spécialisée dans le « journalisme constructif ». Véronique Mistiaen est journaliste, formatrice, enseignante (bilingue français-anglais). The Constructive Journalism Network (Royaume-Uni) Solutions Journalism Network (USA)
C’est quoi le bonheur
Le mot est employé à toutes les sauces. L’idée fait rêver tout le monde. Mais que sait-on vraiment du bonheur ? Sur quoi se fonde-il ? Sylvain Michelet Sommaire Une « science du bonheur » serait-elle en train de naître ? 1. Première bonne nouvelle : le bonheur existe ! 1 et 8. 2. S’il existe, il est cependant difficile de s’entendre sur une définition générale du bonheur. La première raison tient de l’évidence : comme tout sentiment, être heureux est d’abord une expérience subjective, qui ne survient pas forcément là où l’on s’y attendrait. « Gardons-nous donc d’appliquer au bonheur nos propres critères », recommande Daniel Todd Gilbert.
Observatoire Régional de la Biodiversité en Provence-Alpes-Côte d’Azur
Centre Paramita de Bouddhisme Tibétain du Québec - Sources du bonheur
Tous les êtres sensibles partagent ce même souhait : trouver le bonheur et éviter la souffrance. Peu importe notre âge, notre sexe, notre race, notre culture, ce besoin est identique à tous. Cela n'est pas seulement vrai pour les êtres humains, mais aussi pour les animaux et toutes les sortes d'êtres sensibles. Pour trouver ce bonheur, il importe avant tout de connaître les causes et conditions réelles qui y contribuent. Si on regarde la source de nos problèmes et souffrances, on pourra voir que ce sont nos propres perturbations mentales et notre sentiment exagéré d'auto-préoccupation. Par ailleurs, si on y réfléchit bien, on verra que, de même qu'un champ bien cultivé nous est bénéfique et source de profit, tous les autres êtres sensibles sont bonté et profit pour nous. Malheureusement, nous souhaitons tous le bonheur, mais à cause de notre ignorance, nous agissons bien souvent de manière à nous causer du tort. (Mantra de la compassion)
inpn.mnhn
Chaque année, le Tour de France, France Télévisions et le Muséum national d’Histoire naturelle s’associent pour présenter aux téléspectateurs le « Tour de France de la biodiversité » et les sensibiliser à la richesse de leur patrimoine naturel. Le Tour de France de la biodiversité 2022 en vidéos Le tour de France de la biodiversité fête ses 10 ans ! Pour chaque étape du Tour de France, une vidéo d'environ 1 minute met en avant le patrimoine naturel exceptionnel situé sur le parcours de la « grande boucle ». Les vidéos sont présentées par Chloé Nabédian, journaliste météo pour France Télévisions, et sont visionnables sur cette page à 13h, dans la playlist du tour de France de la biodiversité 2022 du Muséum national d’Histoire naturelle et lors des retransmissions en direct du parcours cycliste sur les chaînes de France Télévisions. Le Tour de France de la biodiversité 2021 en vidéos Le Tour de France de la biodiversité 2020 en vidéos Le Tour de France de la biodiversité 2019 en vidéos
Vers une économie du bonheur?
« Plus précisément, il faut mettre en question radicalement la vision économique qui individualise tout, la production comme la justice ou la santé, les coûts comme les profits et qui oublie que l'efficacité, dont elle se donne une définition étroite et abstraite, en l'identifiant tacitement à la rentabilité financière, dépend évidemment des fins auxquelles on la mesure, rentabilité financière pour les actionnaires et les investisseurs, comme aujourd'hui, ou satisfaction des clients et des usagers, ou, plus largement, satisfaction et agrément des producteurs, des consommateurs et, ainsi, de proche en proche, du plus grand nombre. Pierre Bourdieu, Contre-feux, Paris, Raisons d’agir, 1998. La recherche d’indicateurs alternatifs à l’hégémonie du produit intérieur brut ne peut pas rester complètement indifférente aux nombreux efforts actuels visant à mesurer le niveau de bien-être « subjectif » des individus à partir de données issues de questionnaires d’attitudes. [1] P. [4] C. [5] B.
Tour d’horizon du monde végétal : les végétaux inférieurs (partie 2)
Après mon article sur les 2 classifications du vivant et pour poursuivre cette série d’articles introductifs à la botanique, je voudrais maintenant vous présenter 2 grands groupes de plantes qui constituent les végétaux inférieurs, végétaux dont le cycle de vie est très dépendant de l’eau, avec des exemples de plantes utilisables. Les premiers végétaux qui sont apparus il y a 3,8 milliards d’années étaient marins : les algues. Elles ont évolué, se sont diversifiées et ont colonisé les eaux douces terrestres et les habitats humides. Certaines ont réussi par leur évolution à s’affranchir d’un milieu exclusivement aquatique : elles ont engendré les mousses qui vivent à l’air libre mais ont besoin de beaucoup d’humidité ambiante pour vivre car elles sont dépourvues des racines qui leur permettraient d’aller chercher leur eau dans le sol. Vous êtes prêts ? Parmi les algues, on trouve plusieurs groupes distincts. Exemples d’utilisations : On continue avec les mousses – utilisations des algues