background preloader

Petit manuel du parfait cyberdissident chinois » OWNI, News, Augmented-Mozilla Firefox

Petit manuel du parfait cyberdissident chinois » OWNI, News, Augmented-Mozilla Firefox
Face au Great Firewall qui filtre le web chinois, les cyberdissidents se saisissent des outils à disposition : VPN, proxy et autres ne sont pas de trop pour contourner les 30 à 40000 policiers qui surveillent la toile en Chine ! Tant qu’on n’a pas été dans un Etat ennemi d’Internet, on ne mesure pas ce que c’est. La censure exercée par le régime chinois sur la Toile est la plus intense qui soit au monde, et elle se vérifie très vite. Sur les 477 millions de Chinois qui surfent sur Internet (soit plus d’un tiers de la population chinoise) selon les derniers chiffres communiqués par le ministère de l’Industrie et des technologies de l’information cité par l’agence Chine Nouvelle, combien contournent le ‘Great Firewall’, la Grande Muraille électronique mise en place par les autorités ? Acte un du cyberdissident : 翻墙 (contourner le mur) Et voilà comment ils procèdent. Tous les moteurs de recherche, pour pouvoir s’implanter en Chine ont accepté la censure imposée par le gouvernement chinois.

L’Internet européen, à la carte Collecte des IP, protection de la vie privée, inefficacité des dispositifs de filtrage, dernières nouvelles d’ACTA: voilà tous les thèmes dont vous n'entendrez pas ou peu parler lors de l'e-G8. OWNI vous les présente, dans une carte des Internets européens. Collecte des IP sous contrôle du juge, inefficacité des dispositifs de filtrage, “amis” du copyright, dernières nouvelles d’ACTA… Voilà, entre autres mets, tout ce à quoi vous ne goûterez pas lors de l’e-grand-messe qui se déroule en ce moment à Paris. Le rapport à Internet des 27 pays de l’Union Européenne, ainsi que de la Norvège, de l’Islande et de la Suisse, a été scruté à la loupe. Défense de la propriété intellectuelle: examen de la mise en place de dispositifs type riposte graduée; du type de cible visée (site ou internaute contrevenant ?) La palette de critères, non exhaustive, est appelé à s’enrichir, notamment grâce à votre contribution. Au finish, la France se classe devant les autres pays européens.

Comment ficher les fauteurs de troubles En marge du sommet du G8 de Deauville, militants et manifestants courent le risque d'être apparentés à des terroristes. Décodage de fichiers de police de plus en plus flous. Cécile Lecomte, militante française installée en Allemagne, fait partie d’une troupe de militants escaladeurs, Robin Wood, qui bloquent des convois militaires ou des trains de déchets nucléaires. Surnommée l’Écureuil, elle ne compte plus les gardes à vues. Et nous assure qu’elle figure dans une dizaine de fichiers policiers – notamment ceux de l’agence Europol – dont certains destinés à la prévention du terrorisme. Au moment où plusieurs mouvements entendent protester contre le G8 de Deauville, l’Union Européenne entretient toujours le trouble sur les caractéristiques exactes des fichiers permettant de suivre les « fauteurs de troubles » qui perturbent les grandes réunions internationales. La définition même de « fauteur de troubles » (troublemakers) soulève des problèmes. Ficher les manifestants comme les tifosis ?

A todos los participantes de Indymedia México - Indymedia México-Mozilla Firefox uniendo nuestras experiencias podemos colocar de nuevo a Indymedia México al servicio de todas las luchas justas de nuestro pueblo Los últimos años el Estado mexicano ha avanzado de manera significativa en instaurar un sistema de control hacia la población en el que cualquier protesta, lucha justa, de manera general siempre arroja o concluye con presos políticos, en el que el Estado justifica su represión con la ayuda del parlamento, de los medios de comunicación, que genera una opinión pública favorable hacia esas acciones que imponen “el orden”. Una de sus últimas acciones que llevan a plantearse que en México se de un golpe de estado “virtual”, de cumplirse, se va a desarrollar esta política a un punto sin retorno. En síntesis, sólo renovando nuestro compromiso por mantener nuestra independencia, pero al mismo tiempo asegurar el respeto a otras luchas y a otras formas de pensar, se logrará que los medios libres sean un bastión de la protesta popular.

La Syrie, coupure Net Vendredi, jour de manifestation de l'opposition, la Syrie n'était plus reliée à Internet. Les fournisseurs d'accès, proches ou aux mains du régime, semblent être derrière ce blackout de 24 heures. Le martyr Hamza Al-Khateeb, jeune syrien de 13 ans arrêté et atrocement torturé, n’aurait jamais dû sortir du pays aux yeux du régime de Bachar Al-Assad. Les images de la dépouille du jeune garçon ont été diffusées sur YouTube et reprises dans le monde entier, confirmant les rumeurs des sauvages agressions que le régime syrien commettrait contre sa population. La page Facebook We are all Hamza Al-Khateeb a été créée en échos à la page We are all Khaled Said, ciment de la contestation égyptienne. Fixes et portables partiellement bloqués ; Internet inaccessible À partir d’une heure dans la nuit de jeudi à vendredi, le trafic chute brutalement en Syrie. Toute la journée de vendredi, le trafic est presque inexistant. Cette méthode avait déjà été utilisée en Égypte pendant la révolution.

Héberger son site web caché avec Tor pour être anonyme et impossible à censurer - L'Atelier - médias libres Accueil > blog > Héberger son site web caché avec Tor pour être anonyme et impossible à (...) Résumé pratique sur Tor Le réseau Tor est un système de « routage en oignon » mondial, qui permet de garantir un fort anonymat et un chiffrement des données sur internet. Concrètement, lorsque vous utilisez Tor sur un ordinateur avec votre navigateur (en prenant garde à quelques détails de paramétrages [1] ) cela signifie que les sites web que vous visitez ne peuvent pas connaitre votre adresse ip réelle, et que le contenu (ainsi que la destination) de votre trafic internet ne peut pas être lu ou analysé à la sortie de votre box ou routeur (Fournisseur d’accès, police etc.), car il est chiffré entre 3 serveurs différents qui s’échangent des clés de chiffrements et ne connaissent rien les uns des autres dans cet échange. C’est une solution efficace par exemple pour : continuer une activité régulière sur internet lorsque des suspicions de surveillance de son réseau par les autorité existent.

Facebook et Blackberry tout contre les émeutiers Déterminé à punir tous les casseurs du Royaume-Uni, le gouvernement britannique pourrait profiter de l'aubaine pour imposer des mesures particulièrement coercitives vis-à-vis des télécommunications. Mardi 16 août, deux jeunes Anglais de 20 et 22 ans ont été condamnés à quatre ans de prison. Leur crime ? Avoir appelé à l’émeute sur Facebook en créant des événements dédiés – comme d’autres l’ont fait avant eux en Tunisie ou en Libye (à la grande satisfaction des dirigeants britanniques). Coincés par une police locale qui a renforcé sa présence sur le site de Mark Zuckerberg, les deux proto-coupables (ils ont été condamnés sur la base de leurs intentions) peuvent compter sur le soutien de plusieurs ONG et avocats, qui dénoncent des “sanctions disproportionnées”. En France, il y a quelques mois, les magistrats se renvoyaient la balle pour déterminer la responsabilité pénale des fameux apéros Facebook. J’ai beaucoup d’amis qui ont déjà BlackBerry, en fait (sic).

#OpSyria (acte 2) : La censure du Net syrien en pratique Pour comprendre l’emprise de l’État sur le contrôle de l’information intérieure, nous vous invitons à lire attentivement cet article publié hier sur le blog Syrie.blog.lemonde.fr. L’article, très bien documenté, décrit le système de censure des média et présente ses acteurs clés. Il est donc une lecture indispensable pour comprendre ce système autoritaire emprunt d’un zeste de népotisme. Internet n’échappe pas non plus à la censure du gouvernement Syrien. Des sites web sont bloqués, des listes de mots clés sont également filtrées, blocant l’accès à certains contenus spécifiques. Le filtrage par mots clés implique systématiquement un sur-blocage, certains contenus se retrouvent censurés alors qu’ils n’ont strictement aucune raison de l’être. Mais la censure en Syrie, ce n’est pas vraiment comme ailleurs. Voici un petit schéma récapitulant le mécanisme de blocage des accès sécurisés à ces services : Dans ces journaux de connexion, on trouve un peu de tout comme contenus bloqués.

« Qui tue qui » aujourd’hui en Syrie ? Comme en Algérie naguère, mais dans un contexte différent dans la mesure où les manifestations syriennes ont pour objectif déclaré non pas d’établir un "état islamique" mais de récupérer des libertés confisquées et de permettre l’éclosion d’un régime démocratique, on ne peut échapper à la question de savoir "qui tue qui" aujourd’hui en Syrie. Cette question s’impose avec une insistance particulière au terme de la première semaine du mois de ramadan, dont le bilan en pertes humaines a été particulièrement lourd, dans les villes de Hama et Deïr al Zor en particulier. Avec plus ou moins de bonne foi, elle est exprimée par une quantité de lecteurs, auditeurs et téléspectateurs ignorant de l’histoire et des spécificités de la Syrie, troublés par le récit contradictoire des exactions commises ou imputées à chacune des parties en présence : le régime syrien d’une part, et, d’autre part, les protestataires et les opposants. La réponse à cette question est malaisée. Ce combat est inégal.

Comprendre pourquoi Bahreïn peut continuer à réprimer en deux graphiques Un bon dessin vaut mieux qu’un long discours, dit-on. Reflets a évoqué à plusieurs reprises la situation catastrophique des contestataires du royaume de Bahreïn. La violence, les tortures, les emprisonnements, les morts… Le dernier article revenait rapidement sur le fait que les troupes de l’Arabie Saoudite sont entrées dans ce petit pays pour aider les autorités à « rétablir l’ordre ». Impossible dès lors de s’attaquer au Bahreïn sans s’aliéner l’Arabie Saoudite. Mais ce n’est pas tout. Il est temps d’évoquer les réseaux informatiques. L’armée américaine dispose de « lignes » pour ses réseaux essentiels dans cette région. Deux petits graphiques vous expliqueront donc mieux qu’un long discours pourquoi les indignés du Bahreïn risquent bien de continuer de crier, seuls, dans le noir. Premier graphique : Deuxième graphique :

Deep Packet Inspection : retour sur la rencontre avec le PDG de Qosmos Nous recevions il y a peu de temps sur Techtoc.tv le PDG de Qosmos, Thibaut Bechetoille. Nous avons pu, avec lui, largement aborder la problématique posée par l’exportation et l’utilisation de technologies comme le DPI. L’interview pouvant paraître un peu agressive, il me semblait important d’y revenir. Plusieurs points clés sont indispensables pour avoir une bonne lecture de ce débat assez animé : La France est l’un des premiers exportateurs mondiaux de DPI.Le marché s’organise principalement autour d’intégrateurs, plus ou moins scrupuleux et regardants sur les utilisations qui seront faites de leurs produits.La vente d’outils de DPI à certains États se fait en échange d’accords de collaboration entre services de surveillance et de défense. L’actualité très chargée des pays arabo-musulmans en ce moment nous met assez mal à l’aise. De récentes vagues de démissions chez certains intégrateurs de ces technologies ne trompent pas. Il est en France bien plus délicat d’en parler qu’aux USA.

Nokia-Siemens Spy Tools Aid Police Torture in Bahrain | Threat Level Spy tools sold and maintained by German communications and engineering giants Siemens and Nokia Siemens Networks are being used by authorities in Bahrain to aid in their interrogation and torture of human rights activists, according to Bloomberg Markets magazine. The equipment is used by authorities there, and in other repressive regimes, to track the location of activists through their mobile phones and record their conversations and text messages, according to activists as well as workers at NSN and Trovicor (a divested unit of NSN) who installed the systems in several Middle East countries. Abdul Ghani Al Khanjar, a 39-year-old school administrator and activist, was shown transcripts of his text messages by jailers who beat him with rubber hoses and used other torture methods during his detention between August 2010 and February 2011. The news prompted hearings in the European Parliament as well as a “No to Nokia” consumer boycott campaign. Photo: Nokia billboard in Tehran. See also:

Le mode d’emploi du Big Brother libyen La société française Amesys, qui a vendu des technologies de surveillance à la Libye de Kadhafi, essaie de minimiser les capacités de ses produits. Pourtant, les documents qu'OWNI a pu consulter montrent l'étendue du dispositif. Mise en difficulté par les révélations successives de Reflets.info, d’OWNI, du Wall Street Journal et du Figaro, Amesys, l’entreprise française qui a vendu à la Libye du colonel Kadhafi son système EAGLE de surveillance d’Internet, a tenté de relativiser le scandale, dans un communiqué posté sur son site (miroir) : Le contrat concernait la mise à disposition d’un matériel d’analyse portant sur une fraction des connexions Internet existantes, soit quelques milliers. EAGLE serait ainsi susceptible de pouvoir agréger, de façon automatisée, les adresses emails, physiques, n° de téléphone, images des suspects, mais également d’effectuer des recherches automatisées par dates, heures, n° de téléphones, adresses email, mots-clefs, géolocalisations…

Timing of EAW and INTERPOL Red Notice - Sweden vs. Assange Timing of EAW, Cablegate, and US reactions 27 October 2010: CIA can neither confirm nor deny records of plans to assassinate Julian Assange CIA Response to Assange Assassination FOIA 20 November: Sweden authorises Interpol to make a public Red Notice for Julian Assange 26 November 2010: Sweden issues an invalid EAW 27 November 2010: US State Department sends an intimidating letter in reply to a letter from Julian Assange, which requested input from the State Department to minimise harm in the light of the imminent Cablegate publication. 29 November - Sarah Palin: WikiLeaks and Julian Assange are terrorists "Assange is an anti-American operative with blood on his hands... 29 November 2010 - War on WikiLeaks Tony Shaffer, former Defense Intelligence Agency officer, on Fox News: "I would look at this very much as a military issue. 29 and 30 November 2010 - Execute the source "anything less than execution is too kind a penalty" 30 November 2010 - assassinate Julian Assange "We’re at war. Rep.

Related: