background preloader

De la graine au menhir

De la graine au menhir
Related:  Fiabilité des sources

Monoxyde de dihydrogène - les faits Le monoxyde de dihydrogène (en anglais «Dihydrogen Monoxide» - DHMO) est un composé chimique incolore et inodore, également dénommé par certains oxyde de dihydrogène, hydroxyde d'hydrogène, hydroxyde d'hydronium, ou simplement acide hydrique. Son constituant de base est le radical instable hydroxyl, qu'on retrouve dans de nombreux composés caustiques, explosifs et toxiques tels que l'acide sulfurique, la nitroglycérine et l'alcool éthylique. Pour une information plus détaillée, comprenant des indications sur les précautions à prendre, les règles d'emploi et de stockage, veuillez vous reporter à la Material Safety Data Sheet (MSDS) (en anglais) sur le monoxyde de dihydrogène. Dois-je me sentir concerné par le monoxyde de dihydrogène? Une enquête similaire dirigée par les chercheurs américains Patrick K. Pourquoi n'ai-je pas été informé plus tôt sur le monoxyde de dihydrogène? C'est une question importante. Quels sont les dangers du monoxyde de dihydrogène? Absolument! DHMO web sites

Fiabilité / validité sur Internet : sites et pseudo-sites Voici une liste de sites internet proposant volontairement des informations erronées qui peuvent être utilisées pour la formation des élèves à la fiabilité/validité de l’information sur Internet : Indiquez nous les liens brisés pour maintenir cet article d’actualité tic.tac.doc (a) free.fr Monoxyde de dihydrogène [1] et cancer la vidange du lac d’Annecy Saint Empire d’Alneae Scientist of america : studies and statistics on the subject you need [2] Les rhinogrades Saint Pixel : Moine enlumineur … Les graines de menhir Les chasses au Dahut/dahu : séquence pédagogique "Un Dahu au Bahut" , Edu’base documentation n°114 COLLEGE - 3eme et voici cette séance filmée sur canal Educnet. Qui est le dauphin ? Séance "Fiabilité et pertinence de l’information sur Internet" (fiche Edu’base documentation n° 84) COLLEGE - 4eme Sur Canal Educnet : une séance filmée portant sur l’analyse d’un site en biologie Séances sur la fiabilité : Wikipédia et sites de canulars, sur Docspourdocs Terminales STG [1] H2O = l’eau

Fiche-élève, fiche pédagogique en information-documentation : des outils didactiques pour enseigner et pour apprendre Typologie fonctionnelle des outils didactiques élaborés par les professeurs documentalistes. 1. Présentation de l'étude 1.1. « Outil didactique » est un terme générique désignant tout dispositif matériel accompagnant une situation d'enseignement-apprentissage. Les outils didactiques « par intention » désignent quant à eux tout document conçu et réalisé pour un public scolaire et dans le cadre d'une situation didactique d'enseignement-apprentissage. La fiche-élève, en particulier, a pour intention de coller au plus près du travail de l'élève. 1.2. Si la réalisation et l'emploi de ces outils est fréquent et banal, il s'avère pourtant qu'ils font peu, ou pas du tout, l'objet de considération en soi. Si ce n'est le cas pour la fiche de préparation, non systématiquement produite pour chaque séance, la fiche-élève reste le plus souvent incontournable. Les catégories fonctionnelles de l'outil didactique en Information-documentation 1.3. 2. 2.1.1. 2.1.2. 2.1.3. 2.2.1. 2.2.2. 2.2.3. 2.2.4. 2.2.5.

Ce que Facebook va faire pour limiter la désinformation La polémique qui a suivi l’élection présidentielle aux USA a contraint Facebook à annoncer quelques mesures contre les articles mensongers. L’élection présidentielle aux Etats-Unis est certes terminée, mais la polémique concernant la désinformation qui a circulé sur les réseaux sociaux (notamment Facebook, et qui aurait un peu aidé Donald Trump) ne fait que commencer. Le PDG du réseau social insiste toujours sur le fait que la désinformation ne représente qu’une maigre part du contenu qui est partagé sur Facebook (99 % des infos ne seraient pas fausses), mais face à toutes les réactions qui ont suivi l’élection de Donald Trump, Mark Zuckerberg a décidé d’annoncer quelques mesures que Facebook compte appliquer pour « prendre ses responsabilités ». Mark Zuckerberg rappelle que son réseau social a toujours combattu les fake news. Et comme il l’explique, « tout le monde peut signaler un lien comme faux ». Facebook refuse de jouer un rôle d’éditeur (Source)

Bientôt, chaque "like" sur Facebook vous coûtera 10 centimes Ça a marché, vous avez cliqué ! Autant vous prévenir tout de suite, le titre de cet article est 100% faux. Pourtant, ça ne l'empêcherait sans doute pas d'être abondamment partagé sur les réseaux sociaux. Alors que Facebook a annoncé une série de mesures pour lutter contre ce fléau, franceinfo tente d'expliquer pourquoi nous sommes tant attirés par les articles traitant de fausses informations. Parce que l'on veut des infos croustillantes Le sensationnalisme n'est pas nouveau et a encore de beaux jours devant lui. Une information vraie ne circulera pas mieux qu'une information fausse. Pour attirer le lecteur, il faut donc une accroche tape-à-l'œil et une information croustillante. En novembre 2015, un homme affirmant s'appeler Phuc Dat Bich a trompé des médias du monde entier, et même des institutions comme le quotidien britannique The Independent ou encore l'AFP reprise par franceinfo. Parce que ces fausses infos sollicitent nos émotions Facebook ne s'y trompe pas.

Comment Mark Zuckerberg veut stopper l’intox sur Facebook En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez nos CGU et l'utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques d'audiences et vous proposer une navigation optimale, la possibilité de partager des contenus sur des réseaux sociaux ainsi que des services et offres adaptés à vos centres d'intérêts. Pour en savoir plus et paramétrer les cookies... Replay Emissions averses éparses Vent : 30km/h - UV : 1 Clôture veille : 4504.35 Ouverture : 4547.05 Newsletter BFMTV | Les + vues Replay Emissions GilbertKALLENBORN Journaliste Newsletter High-Tech Le milliardaire a détaillé un plan de lutte contre la diffusion de fausses nouvelles, un problème qui a pris beaucoup d'ampleur lors de la dernière élection présidentielle américaine. Accusé d’avoir facilité l’intronisation de Donald Trump par la diffusion de fausses nouvelles, Facebook n’est pas vraiment en odeur de sainteté chez les démocrates. Des "warnings" sur les fausses nouvelles Gilbert KALLENBORN à suivre sur Tweeter 1.1k Partager Annuler

Top 10 des conseils pour reconnaître une fausse info sur Facebook (et ne plus se faire avoir) Depuis qu’une partie de la population américaine l’accuse d’avoir fait gagner Trump en raison des nombreux hoax que ses algorithmes ont propagé tout au long de la campagne, Facebook est dans la tourmente. Ses dirigeants ont déjà indiqué qu’ils luttaient contre ce fléau, mais l’automatisation de la tâche est super complexe. Alors qu’elle est super fastoche pour quiconque se donne deux secondes pour faire des vérifications. 1. Ca paraît débile, mais si l’article qui traîne émane d’un journal dont vous n’avez JAMAIS entendu parler, il y a de fortes chances pour que le journal en question n’en soit pas du tout un et que tout ce qu’on vous raconte est faux. 2. Il existe plusieurs sites qui répertorient tous les hoax qui traînent : Hoaxbuster et Hoaxkiller en font partie. 3. Lors des attentats du 13 novembre 2015, la photo d’une scène de liesse dans les territoires palestiniens avait fait le buzz. 4. 5. 6. 7. « Partagez cette information 15 fois, et vous irez au ciel ». 8. 9. 10.

Ces Internets qui font le robot Cette semaine, on imagine un Facebook où des robots masqueraient les fausses informations, on joue au Pictionary avec une intelligence artificielle et on fait une chasse au trésor. Sommes-nous mieux informés à l'ère des réseaux sociaux ? Vous avez peut-être une petite idée de la réponse... Verdict : les derniers ont fini par largement dépasser les premiers. En août et jusqu'à l'élection, la tendance s'est brutalement inversée : on est passé à 7,3 millions d'engagements (clics, partages, likes) pour les vraies infos, contre 8,7 millions pour des articles qui déguisent la réalité quand ils n'inventent pas carrément des faits. Ça ne suffit évidemment pas à expliquer la victoire de Donald Trump, mais ça fait réfléchir Facebook. Dessinez, c'est googlé On l'a déjà évoqué ici, Google bricole des intelligences artificielles sur toutes sortes de thèmes... ► SUR LE WEB | Essayez le Pictionary virtuel de Google Le plus flippant ? La vidéo de la semaine : X montre l'emplacement

Une extension pour repérer les fausses informations qui circulent en ligne Pourquoi attendre que Facebook et compagnie réagissent quand on peut inventer soi-même des outils ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Big Browser Le Brexit et l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche annoncent, selon certains observateurs, l’entrée dans une « ère de la politique post-vérité » dans laquelle le vrai et le faux se valent quand ils se côtoient dans les timelines des réseaux sociaux. Accusé de ne pas avoir voulu réagir à la prolifération d’articles partiellement ou complètement faux pendant la campagne électorale américaine, Facebook peine à se justifier ou même à avoir une stratégie cohérente. Cet immobilisme devrait nous inciter à prendre des mesures pour séparer le vrai du faux en ligne, sans attendre que ce soit décidé dans les salles de réunion de ces entreprises (comme Google qui vient de lancer un label signalant les articles de « fact-checking » dans Google Actualités.). « Attention ! Casser la dynamique de partage immédiat

Pourquoi Wikipedia reste fiable dans un monde de fausses informations Temps de lecture: 2 min — Repéré sur Vice Magazine, Le Monde, Wikipedia Après l'élection présidentielle américaine et la victoire de Donald Trump, Facebook a largement été critiqué pour avoir toléré la diffusion mensonges, comportant de fausses informations, sur sa plateforme. Des voix se sont même élevées pour accuser Mark Zuckerberg d'avoir «aidé» Donald Trump à se frayer un chemin vers la Maison-Blanche. Google, lui aussi, a essuyé son lot de critiques pour avoir laissé passer des articles mensongers sur sa plateforme dédiée à l'actualité, Google Actualités. Quelques semaines plus tôt, quelques semaines avant la fin de la campagne présidentielle, c'était Wikipedia qui se retrouvait au cœur du débat. Pour comprendre comment Wikipedia a réussi à se tenir au maximum à l'écart du piège des fausses informations, Vice a interrogé l'un des éditeurs de la plateforme, Victor Grigas. «Si les règles de Wikipedia étaient appliquées à Facebook... Wikipedia a aussi ses failles

Accusé d’avoir influencé l’élection américaine, Facebook se défend Mark Zuckerberg, fondateur de la société, a répondu à ceux qui reprochent au réseau social d’avoir laissé circuler de fausses informations, et de ne confronter les électeurs qu’à des opinions conformes aux leurs. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Morgane Tual « Personnellement, je pense que l’idée que de fausses informations sur Facebook, qui ne représentent qu’une toute petite partie des contenus, aient influencé la présidentielle est une idée assez dingue. » Jeudi 10 novembre, deux jours après l’élection de Donald Trump à la Maison Blanche, Mark Zuckerberg, patron de Facebook, a répondu à ceux, nombreux, qui accusent le réseau social d’avoir pesé sur le résultat du scrutin. Depuis l’annonce de la victoire de M. Plaidoyer pour « un Facebook moins toxique » Le site spécialisé TechCrunch s’est lui aussi montré très sévère, en affirmant que Facebook a « amplifié et déformé » les idées de ses utilisateurs « à travers le prisme d’articles sensationnalistes et souvent mensongers ». M. M.

franceinfo junior. Comment les fausses informations circulent-elles ? Le vote des électeurs a-t-il été influencé par les fausses informations diffusées lors de l'élection américaine ? Ont-elles eu un impact sur le comportement des électeurs ? C'est ce que certains affirment, y compris l'un des auteurs de ces infos bidons. "Mes sites étaient en permanence consultés par des supporters de Trump. Je pense qu'il est à la Maison Blanche à cause de moi", a déclaré Paul Horner, à l'origine d'un site qui publie de fausses infos. Depuis sept ans, il abreuve Facebook d'articles bidons, publiés au départ sur de faux sites qui semblent plus vrais que nature. Suite à cette polémique naissante, les géants du net et des réseaux sociaux ont décidé de prendre des mesures. Pourquoi y-a-t-il de fausses infos sur des sites ? ► Lundi 21 novembre, les enfants ont posé des questions sur l'électricité ► Mardi 22 novembre, des collégiens ont parlé des candidats à la présidentielle ► D'où viennent les images diffusées aux infos ? ► L'émission Le vrai du faux sur franceinfo

Related: