360 (film)
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Histoire d'amour de différentes personnes dans divers pays où leurs destins se rejoignent sur plusieurs aspects. Source : IMDb[1] Sources et légende : Version française (V. En France, le film est sorti en DVD / Blu-ray le [9].
Ordinary Decent Criminal
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Synopsis[modifier | modifier le code] Michael Lynch, un père de famille respectable, défend depuis toujours ses convictions contre les autorités. Escroc et cambrioleur hors-pair, il mène avec sa bande de truands une existence au-dessus des lois. Michael ne perd pas une occasion de ridiculiser les policiers à sa poursuite. Cependant son goût pour ses pratiques et pour les sommes d'argent qui en résultent vont le hisser au sommet du grand banditisme, où il risque gros. Distribution[modifier | modifier le code] Source et légende : Version française (V. Autour du film[modifier | modifier le code] Le personnage principal est basé sur Martin Cahill, un criminel irlandais surnommé le Général. Notes et références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]
Argo (film)
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Argo. Argo est un film américain réalisé par Ben Affleck, sorti en 2012. Le film revient sur le subterfuge canadien lors de la crise iranienne des otages de 1979. Il a été présenté au Festival international du film de Toronto 2012 et remporte l'Oscar du meilleur film en 2013 au cours de la 85e cérémonie des Oscars, ainsi que ceux du meilleur scénario adapté et du meilleur montage. En 1979, un responsable de la CIA charge un agent de libérer des diplomates américains réfugiés à l'ambassade du Canada à Téhéran, Iran, à la suite de la prise de l'ambassade américaine dans ce pays (voir Crise iranienne des otages). Source et légende : version française (VF) sur RS Doublage[2] et AlloDoublage[3] ; version québécoise (VQ) sur Doublage.qc.ca[4] Lors de sa présentation au Festival international du film de Toronto, le film recueille des critiques unanimement favorables[17] :
The Town
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. The Town est un film américain de Ben Affleck sorti en septembre 2010. C'est l'adaptation du roman Prince of Thieves de Chuck Hogan. Synopsis[modifier | modifier le code] Fiche technique[modifier | modifier le code] Distribution[modifier | modifier le code] Source et légende : version française (VF) sur RS Doublage[2] Production[modifier | modifier le code] Développement[modifier | modifier le code] Casting[modifier | modifier le code] The Town est le dernier film de Pete Postlethwaite sorti de son vivant. Tournage[modifier | modifier le code] Avant-première[modifier | modifier le code] Le film a été présenté hors compétition à la Mostra de Venise 2010 et au Festival international du film de Toronto[3],[4]. Accueil[modifier | modifier le code] Réception critique[modifier | modifier le code] Box-office[modifier | modifier le code] Distinctions[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia :
Gone Baby Gone
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Synopsis[modifier | modifier le code] En plein milieu de la ville de Boston, une petite fille de quatre ans, Amanda McCready, a mystérieusement disparu sans laisser de traces. Son oncle Lionel et sa femme Béatrice engagent un couple de détectives privés, Patrick Kenzie et Angela Gennaro, afin d'enquêter sur la disparition de leur nièce. Sa mère, Ellen, une toxicomane alcoolique et irresponsable, semble assez peu préoccupée par la situation et le couple commencera à enquêter sur cette dramatique histoire. Ils découvriront par la suite que la disparition d'Amanda a un rapport avec un trafic de drogue et que la mère d'Amanda est responsable de ce qui est arrivé à sa fille. Fiche technique[modifier | modifier le code] Distribution[modifier | modifier le code] Légende : voix françaises (VF), voix québécoises (VQ) Production[modifier | modifier le code] Développement[modifier | modifier le code] — Ben Affleck, réalisateur du film[2].
La Porte du Paradis
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Porte du paradis (Heaven's Gate) de Michael Cimino est un western américain, de sensibilité néomarxiste, sorti en 1980. Échec cuisant lors de sa sortie (il est responsable de la faillite de United Artists), le film jouit aujourd'hui d'une réputation considérable auprès des cinéphiles et des critiques, certains le considérant même comme l'« une des sept merveilles du monde cinématographique »[1]. En 2012, dans sa version restaurée et remastérisée de 3 h 36 min, il entame une nouvelle carrière auprès du grand public[2], ce qui laisse augurer une réhabilitation progressive de l'œuvre aux yeux de celui-ci. Histoire[modifier | modifier le code] Origine[modifier | modifier le code] Le film s'inspire de faits réels connus sous le nom de « guerre du comté de Johnson (en) », mais Michael Cimino les modifia substantiellement. Synopsis[modifier | modifier le code] Le film[4] est découpé en trois séquences temporelles, de durées très inégales :
Classique
Bacri & co
Calmos
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Calmos est un film français réalisé par Bertrand Blier, sorti en 1976. Sypopsis[modifier | modifier le code] Deux hommes (Jean-Pierre Marielle et Jean Rochefort), exténués par les femmes, abandonnent tout pour aller s'installer dans un village perdu vivre une vie d'heureuse simplicité pour se refaire une santé. Ils y rencontrent un curé truculent et bon vivant (Bernard Blier) qui les rappelle aux plaisirs simples de la vie, et notamment de la bonne chère. Lorsque leurs deux femmes respectives débarquent pour les rappeler à leur devoir conjugal, cʼest le curé qui les reçoit et qui accepte un compromis sous la forme dʼun week-end où ils reviendront chez eux. Bientôt, leur exemple inspire des milliers d'hommes et des cohortes de mâles déboussolés quittent alors les villes, fuyant l'hystérie féministe des années 1970. Ils apprennent ensuite que la situation a dégénéré vers une sorte de guerre civile. Fiche technique[modifier | modifier le code]
L'aventure c'est l'aventure
MARGIN CALL : C’EST PAS DU CINÉMA !
Ce texte est un « article presslib’ » (*) Quand je tends mon ticket au gars qui contrôle les entrées (il se reconnaîtra), il me regarde, puis il me dit : « Oh ! pour vous, c’est pas aller au cinéma, ça : c’est comme aller au boulot ! » Et il a raison : c’est rare qu’on aille au cinoche et que ce qu’on voit sur l’écran c’est ce qu’on a fait pendant dix-huit ans de sa vie. Vous l’avez déjà compris : c’est super-bien foutu. Donc on simplifie, et on met tout ça sur une seule journée, ce qui n’est pas gênant : les situations sont authentiques (aux US, dans une grosse boîte, on est viré exactement comme ça : y compris l’agent de sécurité qui vous reconduit à la porte et les cartons d’effets personnels avec lesquels on se retrouve sur le trottoir), et les personnages sont eux criants de vérité : je n’ai aucun mal à leur mettre les noms de gens que j’ai connus à Paris, Londres, Amsterdam, Los Angeles ou San Francisco. Margin Call, film américain écrit et réalisé par J.