Manifeste ¡ Democracia real ya !
Le mouvement ¡ Democracia Real Ya ! est à l'origine des premières manifestations du 15 mai contre la gestion de la crise économique. Voici leur manifeste, dont nous vous proposons la version française. Voici une traduction en français, par le collectif lyonnais Rebellyon, du manifeste du mouvement ¡Democracia Real Ya! Nous sommes des personnes ordinaires. Parmi nous, certain-e-s se considèrent plus progressistes, d’autres plus conservateurs. Cette situation nous fait du mal quotidiennement ; mais, tous ensemble, nous pouvons la renverser. Dans ce but, nous soutenons fermement les affirmations suivantes : L’égalité, le progrès, la solidarité, le libre accès à la culture, le développement écologique durable, le bien-être et le bonheur des personnes doivent être les priorités de chaque société avancée. Le fonctionnement actuel de notre système politique et gouvernemental ne répond pas à ces priorités et il devient un obstacle au progrès de l’humanité.
Com-nonprofit, quand communiquer fait avancer la générosité
Le Plus, Le Post version “plus”
À l'occasion de l'ouverture du Plus en beta publique, petit tour des nouveautés qui permettent au nouveau pure-player du Nouvel Obs' de marquer sa différence, ou pas. Imaginé comme un espace réservé aux tribunes des internautes et non comme un site d’information, Le Plus propose de nombreuses évolutions dans la sphère des sites collaboratifs et participatifs. Petit tour d’horizon des innovations et des interrogations qu’elles suscitent. Naviguez dans les différents éléments grâce aux cadres rouges et jaunes dans l’image ci-dessous. Des anciens du Post aux manettes En septembre 2010, la direction du Nouvel Observateur embauche Benoît Raphaël au titre de consultant pour accompagner la stratégie Internet de l’hebdomadaire. Dans l’équipe du Plus aujourd’hui, deux anciennes journalistes officiant au Post. Aujourd’hui les journalistes qui ont le plus d’expérience dans les nouvelles pratiques du web sont ceux qui ont travaillé pour Le Post. Sous l’aile (assumée) du Nouvel Obs Remonter à l’image
Les jours et l'ennui de Seb Musset
Et si la culture s’ouvrait à l’opendata?
L'opendata est freiné dans le cas des données culturelles en raison d'un article de la loi CADA de 1978 alors qu'il n'a pas lieu d'être, estime Calimaq. Lundi 16 mai, la CNIL a publié une synthèse (Comment concilier la protection de la vie privée et la réutilisation des archives publiques sur Internet ?) qui me paraît importante dans la mesure où elle confirme une intuition que j’ai depuis longtemps : l’exception culturelle prévue par la loi du 17 juillet 1978 (dite loi CADA) en matière de réutilisation des informations publiques est inutile et vide de contenu juridique réel. De quoi s’agit-il exactement et pourquoi est-ce important ? Il y a un mois, la Fing dans un billet intitulé « La culture est-elle le parent pauvre de l’Open Data ? Les initiatives « open data » dans le monde de la culture semblent en effet encore peu fréquentes. Et elle avançait une cause juridique pour expliquer cet état de fait : Les données culturelles sont-elles plus sensibles que les autres ? Wikimedia Commons et
Revue S!lence- Accueil
[France24] L'e-G8, un sommet du Web qui ne dissipe pas la crainte de la censure
[...] Ce sommet, organisé par l’Élysée et l’agence de communication Publicis, se veut la première conférence consacrée à Internet, dans le sillage du G8 Mais l’initiative française ne fait pas que des heureux parmi les internautes [...]. Ils craignent que cet e-G8 soit l’occasion pour la France de "renforcer le contrôle centralisé d’Internet", comme l’écrit dans sa lettre ouverte le collectif G8Internet, qui rassemble plusieurs sites en faveur d’un Web sans entrave comme la Quadrature du Net ou encore l'Institute for Network Culture. Cet "Internet civilisé" à la "sauce Sarkozy" représenterait pour ses détracteurs le fil rouge de l’activité de l'Élysée dans le domaine du Web.
Courrier de la planète
Chouettes reprises pop modernes à télécharger
Bien que sortie en mars dernier, on était passé à côté de la compilation C44 du magazine musical français Magic , et un rattrapage s'impose. Conçue à partir de reprises de groupes cultes (Primal Scream, Young Marble Giants, The Cure, etc.) pour célébrer le 20ème anniversaire de cette revue pop moderne, cette belle brochette de morceaux peut s'écouter en ligne (et être téléchargée en mp3 via Rapidshare ) On en conseille vivement l'écoute : Et on peut signaler le tout récent clip de la reprise du I wanna be adored des Stones Roses par le groupe Coma Cinema présent dans la compilation. Lire les réactions à cet article. Alexandre HERVAUD
R-éveillez vous
Makers (1/2) : Faire société
“We are all makers” (Nous sommes tous des artisans). Le credo de Dale Dougherty, fondateur de Make Magazine et de Maker Faire, le plus grand événement dédié au mouvement “makers”, est en passe de devenir le nom de référence d’une communauté extrêmement diverse et dynamique, en pleine expansion. Derrière ce sigle rassembleur, inventé par Make Magazine il y a plus de 10 ans au sein même d’O’Reilly Media, géant de l’édition orientée techno fondée par Tim O’Reilly l’un des gourous de l’internet à l’origine du concept de Web 2.0, on trouve une idée clé : il faut encourager la créativité individuelle car elle est porteuse de plus de conscience et responsabilité sociale, comme l’exprimait Dale Dougherty sur la scène de TED. Profitant de la vague du DIY (Do it yourself, pour “Fais le toi-même !”) Qui sont les makers ? La place particulière de San Francisco dans ce monde des makers est peut être à trouver dans le fait que les gens, ici, ont eu le talent d’initier le réseau. Image : Noisebridge.