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Banque mondiale

Banque mondiale
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir BM. La Banque mondiale (parfois abrégée BM) regroupe 5 institutions internationales : la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD), l’Association internationale de développement (AID, ou IDA), créées pour lutter contre la pauvreté en apportant des aides, des financements et des conseils aux États en difficulté[1], la Société Financière Internationale (IFC), l'Agence Multilatérale de Garantie des Investissements (MIGA) et le Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (CIRDI). Elle publie tous les ans une contribution sur un thème du développement dans son World Development Report. Histoire[modifier | modifier le code] Elle fut créée le 27 décembre 1945 sous le nom de Banque internationale pour la reconstruction et le développement après signature de l'accord Bretton Woods du 1er au 22 juillet 1944. Rôles[modifier | modifier le code]

Banque populaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Banque populaire Le groupe Banque populaire était un groupe bancaire et financier mutualiste, composé des Banques populaires régionales (dont la BRED Banque Populaire), ainsi que de la Banque fédérale des banques populaires, organe central du groupe jusqu'en 2009, année de pertes historiques[1]. À cette date, les Banques Populaires fusionnent leur organe central avec celui des Caisses d'Epargne, pour former le nouveau groupe BPCE[2]. Histoire[modifier | modifier le code] En 1917, les Banques populaires adopte un statut coopératif. En 1964, la CASDEN est créée pour les personnels de l'éducation nationale, de la recherche et de la culture. En 1999, Natexis Banques populaires est fondée. En 2002, Banques populaires acquiert Coface. En mars 2006, un rapprochement est annoncé avec le groupe Caisse d'épargne. En 2007, Banques populaires acquiert Foncia et son réseau de 300 cabinets. Activité[modifier | modifier le code] [modifier | modifier le code]

Déflation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En économie, une déflation est une baisse de l'indice des prix observée sur une période suffisamment longue[1] (plusieurs trimestres la plupart du temps). Le phénomène opposé, bien plus fréquent, est l'inflation (hausse des prix). La déflation ne doit pas être confondue avec la désinflation qui est un ralentissement de l'inflation, donc une diminution du taux d'inflation, c'est-à-dire que le niveau général des prix augmente moins vite. Au cours du XXe siècle, les périodes de déflation ont été exceptionnelles. Périodes historiques de déflation[modifier | modifier le code] Les périodes de déflation historiques les plus connues ont été : Le milieu du XVe siècle [2] : les métaux précieux, étalons des monnaies de l'époque, viennent à manquer au moment où l'engouement pour les épices d'Asie provoque une sortie d'or [2]. Après les accords de la Jamaïque (1976), les banques centrales ont cherché à éviter les périodes de déflation.

Groupe Caisse d'épargne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Groupe Caisse d'épargne Le groupe Caisse d'épargne était jusqu'en un groupe bancaire français constitué autour des 17 Caisses d'Épargne françaises. Ce groupe a fusionné avec celui des Banques populaires, opération entérinée le . La nouvelle entité, dont le nom est Groupe BPCE, devient le deuxième groupe bancaire français[1]. Au sein du Groupe BPCE, les deux enseignes commerciales, Caisse d'épargne et Banque populaire, subsistent. Il n'y a donc plus de « Groupe Caisse d'épargne » depuis juillet 2009, mais un seul groupe bancaire : BPCE ; et deux principales enseignes (marques) commerciales : Banque Populaire et Caisse d'Épargne (sans compter les nombreuses autres enseignes de ce nouveau Groupe). Les Caisses d'Épargne françaises sont parfois désignées sous l'appellation l’Écureuil, d'après l'animal emblème des 17 Caisses d'épargne. Histoire[modifier | modifier le code] L’ancienne Caisse d’épargne de Saumur. 2005 - 2009[modifier | modifier le code]

International Accounting Standards Board Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Bureau international des normes comptables, plus connu sous son nom anglais de International Accounting Standards Board (IASB), est l'organisme international chargé de l'élaboration des normes comptables internationales IAS/IFRS. Il remplace, depuis 2001, l’International Accounting Standards Committee. Histoire[modifier | modifier le code] En 1973, a lieu la création de l’International Accounting Standards Committee (Comité des normes comptables internationales) à Londres, à l'initiative du britannique Sir Henry Benson qui en devient son premier président élu. La publication de deux premières normes date de 1975, l’une concerne la publication des méthodes comptables (I.A.S. 1), l’autre portant sur la valorisation et la présentation des stocks selon la méthode des coûts historiques (I.A.S. 2). En 1982, l’I.A.S.C. devient le normalisateur comptable international. En 2006, l'I.A.S.B. et le F.A.S.B. Rôles[modifier | modifier le code]

L’'impardonnable est arrivé Billet invité. Rien d’un tant soi peu concret n’est sorti de la réunion du G8 qui vient de se terminer en Italie et qui a réuni les ministres des finances de l’Allemagne, du Canada, des Etats-Unis, de la France, de la Grande-Bretagne, de l’Italie, de la Russie et du Japon. La prudence des formulations très générales du communiqué final, comme le silence fait sur certaines questions sensibles (l’évaluation de l’état du système bancaire), illustrent ce qu’il faut bien désormais appeler la paralysie de nombreux gouvernements, en premier lieu européens quand il s’agit d’œuvrer de concert à une solution de la crise. Loin de s’éclaircir, la situation se complique. Expression de cette situation, la Banque Mondiale vient de rendre public ses dernières prévisions de croissance, revues à la baisse, annonçant pour 2009 une chute du PIB mondial de 3 %, contre 1,75 % précédemment. Une autre approche permet peut-être de trancher le débat. « La situation du commerce mondial a empiré.

Microcrédit, macro-usurie Il est, paraît-il, un secteur qui ne connaît pas la crise. Celui de la microfinance. Aujourd’hui, grâce un prêt minime contracté auprès d’une Institution de microcrédit (IMF),160 millions d’artisans,de paysans peuvent acheter qui une chèvre, qui une barque de pêcheur,qui une machine à coudre et devenir micro-entrepreneur. Difficile d’être hostile à cette pratique qui prétend haut et fort combattre la pauvreté en offrant un accès au crédit et à l’épargne à celles [ 1 ] et ceux qui en sont exclus d’ordinaire. Ainsi, Muhamad Yunus, père fondateur du microcrédit et prix Nobel de la Paix 2006, se vante d’avoir aidé sept millions de pauvres dans 78 000 villages du Bangladesh. Ne dit-on pas que l’enfer capitaliste est pavé des meilleures intentions humanitaires ? L’engouement est mondial. Quelle différence alors avec l’usure classique à laquelle les IMF prétendaient soustraire nos bons pauvres ? Article paru dans n°68, juin 2009.

Même les meilleurs expédients ont une fin Billet invité. Hier, nous étions environnés des « jeunes pousses » annonciatrices d’une proche relance, sortant du cauchemar et de la panique des mois précédents. La bourse remontait, les banques annonçaient d’importants profits, puis s’engageaient aux Etats-Unis dans le remboursement des aides publiques. Les actifs toxiques étaient partout repoussés sous les tapis, la gigantesque pyramide chancelante des produits financiers « structurés » ignorée, bien que loin d’être totalement démantibulée. Aujourd’hui, nous replongeons insensiblement dans le marasme. Les doutes réapparaissent, autour d’un consensus désormais largement établi : la reprise sera très limitée, quand elle voudra bien intervenir, et ses conséquences douloureuses. Le moral des financiers et des économistes, et de ceux qui les observent, est une chose. Que se passe-t-il donc ? La Fed est donc entrée dans une voie sans issue. Si les Américains continuent de tousser, les Européens vont davantage s’enrhumer.

Une crise toujours sans fonds Billet invité. Au fil des jours, les éclairages successifs que l’on recueille de cette crise concourent pour mettre en évidence que l’on n’en voit toujours pas le fond. Mais avant d’en énumérer quelques aspects, il peut être utile de planter le décor du nouvel acte qui s’annonce et de citer Paul Krugman. Estimant que deux ans seraient encore nécessaires afin d’en sortir, il a assorti ses nouveaux propos, qui pourraient apparaître optimistes, de considérations qui le sont nettement moins. « Comment s’en sort-on (de la crise) ? La réponse technique est : Dieu seul le sait. Faisons un rapide tour d’horizon. De New York à Tokyo et de Londres à Francfort et à Paris, les marchés boursiers ont retrouvé leurs niveaux de l’automne dernier, après la faillite en septembre de Lehman Brothers. Lorsque l’on considère non plus des secteurs mais des pays particulièrement atteints, le même constat préoccupant peut être opéré. A qui ou à quoi se vouer, dans ces conditions ?

Nouvelle échappatoire vers le haut Billet invité. Le FMI s’essaye depuis quelques mois à son nouveau rôle, attribué par le G20 de Londres. Notamment lorsqu’il s’efforce au langage de la vérité, froissant parfois des ailes au passage, expliquant alors sur tous les tons et dans toutes les occasions que le redémarrage de l’économie ne sera pas possible tant que la situation du secteur bancaire ne sera pas assainie. Cela ressemble fort, à y regarder de plus près, à une échappatoire de plus. La question s’est déjà trouvée posée, dans cette chronique, de savoir quel recours les banques centrales pourraient avoir, le jour où elles se trouveraient démunies. Mais l’on peut s’interroger sur la portée de cette nouvelle mesure spectaculaire, une fois admis qu’elle va au passage soulager un peu les pays les plus pauvres ainsi que les « émergents », ce que ne manque pas de souligner le FMI, qui sait avoir dans ce domaine beaucoup à se faire pardonner. Quel sera le derniers recours auquel pourra plus tard s’adresser le FMI ?

La Californie en état de cessation de paiement Array. Array. La Californie en état de cessation de paiement - LMOUS La Californie terrassée par la crise. Le parlement californien n'a pas réussi à trouver d'accord sur le budget de l'année fiscale, qui a débuté hier. Services publics allégés En dépit de ses promesses de campagne, Arnold Schwarzenegger est aujourd'hui confronté à un déficit de 24,3 milliards de dollars, ce qui grève les capacités d'emprunt de son Etat. Population en danger Les administrations locales sont donc contraintes de réduire leurs prestations en matière de soins de santé, de protection sociale et d'éducation. 1,3 million de personnes âgées ou handicapées sont directement dépendantes de l'aide financière de l'Etat, de même que le gros million de citoyens bénéficiant des programmes d'aide aux familles pauvres. 600.000 enfants défavorisés pourraient en outre être privés de couverture santé. Arnold Schwarzenegger a toutefois déclaré que malgré la crise, il était "toujours fier" de la Californie.

La Californie en cessation de paiements Faute de budget, l'État en déficit va devoir payer ses factures au moyen de reconnaissances de dettes. Des écoles en faillite, des professeurs licenciés, des classes de vacances annulées, des cours de sport supprimés… Telles sont quelques conséquences de la grave crise budgétaire que traverse l'État de Californie, auxquelles s'ajoutent des réductions de prestations sociales aux handicapés, la baisse du budget des prisons ou la suppression de l'assurance médicale d'un million d'enfants. Étranglé par un déficit de 26,3 milliards de dollars (18,7 milliards d'euros), l'État n'a pas réussi à boucler son budget avant la date limite du 30 juin. Conséquence : en quasi-cessation de paiements, incapable de rembourser ses emprunts, le gouvernement devra payer ses factures au moyen de reconnaissances de dettes («IOUs») qui devraient être émises pour un total de 3 milliards de dollars - une mesure inédite depuis dix-sept ans. Sept autres États concernés » Nouvelle détérioration de l'emploi aux USA

Une impuissance inavouable Billet invité. Le G8 dans sa formule élargie n’est pas encore fini que tous les regards sont déjà tournés vers le prochain sommet, le G20 de fin septembre prochain, cette fois-ci à Pittsburgh (Etats-Unis). Un nouveau lieu symbolique, une deuxième ville sinistrée après L’Aquila, l’une par un tremblement de terre, l’autre par le capitalisme. Volgograd (Stalingrad) ou Dresde devraient se mettre sur les rangs. Comme s’il était possible d’être déçu par ce qui était prévu, comme s’il était encore attendu de la prochaine étape, de la suivante de ces réunions qui se succèdent dans les formations les plus variées, autre chose que des déclarations finales servant plus à masquer les désaccords entre les participants qu’à prendre des décisions. Car constater ces désaccords serait au moins un pas en avant, mais cela serait afficher l’inavouable, c’est à dire l’impuissance. Un premier bilan du G20 de Londres, en avril dernier, se fait ainsi toujours attendre.

Gagner du temps pour toute politique Billet invité. Il semble se confirmer qu’il ne faut pas vraiment croire le démenti de la Maison Blanche niant toute étude d’un second plan de relance. Ni, par voie de conséquence, que Laura Tyson, conseillère économique de rang junior, ait fait une boulette en l’annonçant lors de son colloque de Singapour. Si ce dernier s’est demandé la réaction qu’a suscité ce ballon d’essai, la lecture du concurrent du Financial Times, le Wall Street Journal, qui a consacré son enquête mensuelle auprès d’un panel d’économistes à la simple question : faut-il ou non une nouvelle relance ? En vérité, aucun des fronts sur lesquels l’administration Obama se bat ne connaît de véritable accalmie et l’improvisation se poursuit. Du côté des banques, on commence à s’apercevoir qu’il a peut-être été chanté victoire un peu trop tôt. Mais une chose est le crédit hypothécaire résidentiel, une autre le crédit hypothécaire commercial, dont l’avenir est aussi sombre. Mais revenons aux Etats-Unis et à la conjoncture.

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