Méthode des six chapeaux La méthode des six chapeaux, extraite de l'ouvrage Six chapeaux pour penser[1],[2], est une méthode de structuration de la pensée personnelle ou de groupe, développée par Edward de Bono, permettant de résoudre les problèmes en favorisant la pensée critique et en évitant la censure précoce des idées nouvelles, dérangeantes ou inhabituelles[3]. Selon Karadag et al., cette méthode permet de développer la pensée créative en présentant et en systématisant des pensées et des suggestions dans un format spécifiquement défini[4]. Pour cela, les participants sont invités à aborder la question en prenant ensemble tour à tour différents « chapeaux » d'une couleur particulière. L'enjeu est de mobiliser un processus de « pensée parallèle » simple et efficace qui aide les gens à sortir des limites de l'étroitesse d'esprit, de la pensée unidirectionnelle et des positions fixes (De Bono, 1985[1]). La méthode[modifier | modifier le code] Les différents chapeaux[1][modifier | modifier le code]
Google Agenda, le Mac Giver des disponibilités en ligne Un animateur numérique de territoire, cette nouvelle espèce darwinienne de l’évolution du professionnelus touristicus nous a demandé de lui reparler d’une petite "bidouille" qui permet de proposer à des prestataires sans budget "Gestion des disponibilités en ligne" une solution fort pratique. Nous nous sommes dit que notre réponse aurait largement sa place dans ce blog destiné aux institutionnels du tourisme qui sont en relation avec les prestataires d’hébergements. Je vais donc vous illustrer la mise en place d’un système de disponibilité géré à partir de Google Agenda, service gratuit accesible après création d’un compte Google (par ici). Etape 1 : Création d’un agenda pour chaque chambre Une fois connecté(e) à votre espace Google Agenda, vous allez créer 4 agendas en plus de celui installé par défaut correspondant à votre compte Google. Etape 2 : Créer une réservation express pour la chambre jaune Etape 3 : Exporter mes agendas de chambres pour les intégrer dans mon site Internet
Rô Ortenblad | P h o t o s o u l Écrire pour ne plus se mentir, ou la thérapie des corrections Les études qui cherchent à prouver les bienfaits d'une pratique régulière d'écriture ne manquent pas : la plupart se centrent sur les effets physiologiques, avec une réduction du taux de stress et un contrôle de la production de cortisol, une hormone générée à l'occasion d'émotions fortes, gênant la récupération. Mais d'autres psychologues assurent que l'essentiel des bienfaits réside dans la perception de soi que favorise l'écriture. (Walt Stoneburner, CC BY 2.0) Les élèves les plus en difficulté de l'université Duke, en Caroline du Nord, ont pu se livrer corps et âme pour une expérience organisée par Timothy D. Wilson, professeur en psychologie à l'université de Virginie. Ce dernier a rassemblé 40 jeunes étudiants, fraîchement admis à l'université, et leur a demandé de transformer leur ressenti des études supérieures en texte personnel. (via NY Times) Pour approfondir
Le blog de Bati Why Writers Are the Worst Procrastinators - Megan McArdle Like most writers, I am an inveterate procrastinator. In the course of writing this one article, I have checked my e-mail approximately 3,000 times, made and discarded multiple grocery lists, conducted a lengthy Twitter battle over whether the gold standard is actually the worst economic policy ever proposed, written Facebook messages to schoolmates I haven’t seen in at least a decade, invented a delicious new recipe for chocolate berry protein smoothies, and googled my own name several times to make sure that I have at least once written something that someone would actually want to read. Lots of people procrastinate, of course, but for writers it is a peculiarly common occupational hazard. One book editor I talked to fondly reminisced about the first book she was assigned to work on, back in the late 1990s. It had gone under contract in 1972. I once asked a talented and fairly famous colleague how he managed to regularly produce such highly regarded 8,000 word features. “Exactly!”
"Libérez votre créativité" Le but de la méthode de créativité est de retrouver la spontanéité dans tous les aspects de notre vie. Avec le temps et les obligations liées à l’âge adulte, la raison l’emporte progressivement sur l’imagination et les rêves. On se conforme aux exigences de la vie et l’on renonce peu à peu à ses désirs. Si le décalage devient trop profond entre notre côté créateur et notre côté rationnel, il peut en résulter une perte de vitalité importante. "Redevenir soi-même et réussir ce changement". Nous savons souvent ce que nous voulons faire, nous en avons l’intuition (un talent à développer, un rêve à réaliser, un changement de vie) mais la peur, le manque de confiance et d’information, l’absence de soutien nous paralysent, brouillent notre vision et nous empêchent d’agir. Qu’il s’agisse de réaliser un rêve, de modifier une situation qui ne nous convient plus ou de changer un comportement, tôt ou tard, nous devons nous engager dans un processus de transformation.
Mettre les émotions en mots réduit la détresse Deux expériences utilisant l'imagerie cérébrale (images de l'activité du cerveau) semblent confirmer que mettre les émotions négatives en mots peut réduire la détresse. Dans une première expérience, le psychologue Matthew Lieberman et ses collègues ont provoqué un sentiment de rejet social chez des participants jouant à un jeu d'ordinateur. Les images du cerveau montraient que le sentiment de rejet activait une région nommée cortex cingulé. Cette région est également connue pour s'activer en réponse à la douleur physique. Ils ont aussi observé que les participants dont l'activité dans cette région était moins grande rapportaient moins de détresse et avaient une plus grande activité dans une autre région qui est associée au langage. Selon Lieberman cela suggérait que mettre les émotions en mot pouvait activer cette région du langage, ce qui en retour pouvait réduire l'activité de la région produisant les émotions négatives. Voyez également:
Blog | Show & Tell Stories Actors have lots of tricks up their sleeves when it comes to developing characters. One of my favorites is the concept of “playing opposites.” This stems from simply paying attention to how we behave in real life instead of portraying an idea of how we think we behave. Because in truth, we rarely behave logically. For example, the best way to play a character who is drunk is to try to act NOT drunk. Another example is when a scene calls for the actor to cry. Playing opposites is a powerful tool because it brings an unexpected truth the message. Come on baby, drive my car Most car commercials follow the same cookie cutter format: Sexy driver, winding roads, fast edits, and voice over detailing the features of the car. So when the folks at Volvo decided to pull the breaks (ha!) Notice the commercial doesn’t say anything about the features of the car. What message are you conveying to your audience? Perhaps instead of playing it safe, we can best express our message by playing the opposite.
Maneki Neko the Lucky Cat « 3EyedBear There are a few legends around the Maneki Neko. She (or maybe a he) supposedly saved some rich guy’s life long long ago by waving him to go away from under a tree that got hit by lightning. Also there’s a story about a beheaded cat that brought the grieving owner luck after being reincarnated into a wooden statue or appearing in a poor woman’s dream with a good business-proposal. We have four Maneki Neko’s to choose from: -Gold, for Wealth -Pink, for Love! Good luck everybody! TAGS: None Vicente O.