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ESJ Lille - École Supérieure de Journalisme de Lille

ESJ Lille - École Supérieure de Journalisme de Lille

Master Journalisme (École de journalisme de Grenoble) L'unique formation en Rhône-Alpes reconnue par la Commission paritaire nationale de l'emploi des journalistes (CPNEJ) Le master Journalisme de l’université Stendhal est l’une des 14 formations en France reconnues par la profession. La formation allie enseignements pratiques, fondamentaux du journalisme et approches académiques visant à former des professionnels dotés d’une bonne culture générale, d’une distance critique et d’une conscience des enjeux liés aux mutations actuelles. Par sa formation, l’EJDG entend former à un journalisme ouvert, curieux, exigeant et tourné sur l'avenir. Lors de la première année, généraliste, les étudiants sont initiés à l’ensemble des supports et aux différents types d’écritures et de techniques (presse écrite, radio, TV, photo, SR, PAO, agence, montage, web et multimédia, etc.).

Les sociétés de journalistes dans la presse écrite · Il n'existe pas, dans notre pays, de régime général applicable aux sociétés de journalistes ou de rédacteurs dans la presse écrite. Aucune disposition n'impose non plus la création de comités ou de conseils de rédaction dans les journaux, quel que soit le secteur auquel ils appartiennent (presse quotidienne régionale, quotidiens nationaux, hebdomadaires, presse d'information spécialisée etc.). Cette situation s'explique par les circonstances dans lesquelles ces sociétés sont apparues en France où elles ont été constituées pour défendre l'indépendance de diverses rédactions, au cas par cas, en plusieurs vagues depuis la fin de la seconde Guerre mondiale. Les premières ont en effet vu le jour à la Libération. D'autres furent créées dans les années 1950 et 1960, souvent à cause de la persistance de divergences de vues entre la rédaction d'un journal et l'éditeur ou le propriétaire de celui-ci. · Pour l'ensemble des systèmes juridiques étrangers sont étudiés : 1. 2. 3.

Présentation | Ecole de Journalisme de Toulouse Journalisme : un accès difficile au métier Les formations pour devenir journaliste abondent. Pas les débouchés. La précarité est la règle, même quand on sort d’une école de journalisme reconnue. Les jeunes maîtrisant les nouvelles technologies ont une carte à jouer dans ce secteur plurimédia. © B.Gilles de la Londe/Onisep - Journaliste reporter d’images (JRI), agencier, présentateur… il y a mille et une façons d’exercer le métier de journaliste. Piges et CDD pour débuter Sur les 37 477 journalistes "encartés", on compte plus de 6000 pigistes, rémunérés à l’article, et près de 1400 salariés en CDD (contrat à durée déterminée), soit 20% des effectifs. Regroupant plus de 66 % des journalistes, la presse écrite reste le principal employeur, les opportunités se situant plus dans la presse spécialisée (professionnelle ou grand public) que dans les quotidiens nationaux ou les newsmagazines, où les places sont peu nombreuses. JRI, agencier, présentateur… Un journaliste, deux JRI et un secrétaire de rédaction Quelques formations reconnues

Les écoles de journalisme De nombreuses écoles forment au journalisme : publiques ou privées, accessibles après le bac ou un bac + 2 ou 3, sur concours ou sur dossier, reconnues ou non par la profession. Le secteur recrute au compte-gouttes, néanmoins les candidats aux concours d’entrée restent nombreux. © Brigitte Gilles de la Londe / Onisep - Les formations au journalisme sont très demandées et la sélection est forte. Les écoles de journalisme reconnues par la profession Parmi la trentaine d’écoles existantes, 14 sont reconnues par la CPNEJ (Commission paritaire nationale de l’emploi des journalistes) : Les IUT (instituts universitaires de technologie) de Lannion et de Cannes pour leur DUT Information-communication option journalisme (bac + 2) Des écoles privées ( CFJ à Paris, EJT Toulouse, ESJ à Lille, IPJ Paris-Dauphine) et publiques ( Celsa, CUEJ, EJCAM, EJDG, EPJT*, IFP, IJBA*, Sciences Po Paris) délivrent des masters ou diplômes d'école (bac + 5). L’avantage des écoles reconnues ? *Les principaux sigles :

La défiance règne à France 2 Mazerolle le retrait ? On se gardera bien d'être aussi affirmatif que David Pujadas. Au 20 heures du 3 février dernier, le présentateur de France 2 avait annoncé le retrait d'Alain Juppé de la vie politique, au moment même où l'ancien Premier ministre disait le contraire sur TF1. Mais le message adressé hier par les journalistes de France 2 à leur directeur de l'information est limpide : par 242 voix pour (67,4 %) et 91 contre (25,34 %), ils ont voté massivement la motion de défiance envers Olivier Mazerolle. Deux questions étaient soumises au vote par la Société des journalistes (SDJ) depuis lundi : «Accordez-vous toujours votre confiance au directeur de l'information ?» et «Accordez-vous toujours votre confiance à l'équipe du 20 heures ?» «Sursaut démocratique». Reste qu'une motion de défiance n'est qu'un avis de la rédaction. «Après l'énigme Juppé, on a maintenant droit à l'énigme Mazerolle, vannait hier soir un journaliste. D'autres fusibles. Et Pujadas ?

journaliste Grand reporter, présentateur du journal télévisé : le métier de journaliste fait rêver, mais n'est pas facile d'accès. Pour l'exercer, il faut une solide culture générale, mais aussi de très bonnes qualités rédactionnelles et un esprit critique. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, les journalistes vont assez peu sur le terrain (manque de temps, ou de moyens). Ils retravaillent les informations qu'ils collectent sur le Web, réalisent des dossiers thématiques ou effectuent des interviews par téléphone. Toujours à l'affût de la moindre information, le journaliste sait se mettre à l'écoute de ses interlocuteurs et retranscrire fidèlement leurs propos. Pour exercer ce métier, il faut avoir plusieurs cordes à son arc et maîtriser diverses techniques : l'écriture, mais aussi la photo et la vidéo. La plupart des journalistes travaillent pour la presse écrite.

Journalisme : les études qui mènent au métier de journaliste - L'Etudiant Journalisme Malgré des conditions de travail difficiles et la précarité du métier dues aux mutations de la presse, le journalisme suscite toujours des vocations. Les nouveaux titulaires de la carte de presse sont de plus en plus souvent diplômés d'une formation spécialisée. Les établissements reconnus par la profession visent à rendre leurs élèves rapidement opérationnels et polyvalents, grâce aux nombreux stages pratiques, incontournables pour se faire connaître. Ils offrent une approche transversale des différents médias et sont des lieux d'apprentissage des techniques de la presse écrite, de l'audiovisuel et du Web. Écoles reconnues : au nombre de quatorze On compte 14 écoles reconnues par la profession. Les atouts de ces formations sont la polyvalence et la professionnalisation. Autres écoles : de bac+3 à bac+5 Ces dernières années, les établissements privés préparant au métier de journaliste se sont multipliés. Université : une offre diversifiée Info plus Retour aux études par secteur.

Presse-Paris - Les sociétés de rédacteurs, une exception française Faire entendre la voix des rédactions dans la recomposition du paysage médiatique français, est la principale motivation du . Une création qui renvoie à celle, plus ancienne, de la Fédération française des sociétés de journalistes, qui connut son heure de gloire au tournant des années 1960-1970. Le 12 décembre 1951, l’assemblée générale des porteurs de parts de la SARL Le Monde accueille en son sein deux délégués de la Société des rédacteurs du Monde, nouvel actionnaire du journal. André Chênebenoit, rédacteur en chef du Monde et Jean Schwœbel, journaliste au service étranger, représentent la communauté des rédacteurs qui vient de se constituer en société anonyme afin de détenir collectivement la minorité de blocage de la société éditrice du quotidien. La démission du fondateur du Monde conduit les journalistes à intervenir dans le conflit. pendant une quinzaine d’années. , une quinzaine de sociétés sont créées dans divers journaux, et encore quelques-unes dans les années suivantes.

Les 14 écoles de journalisme reconnues Quatorze établissements de formation initiale au journalisme dispensent des cursus reconnus par la profession depuis 1956. Cinq de ces lieux de formation se trouvent à Paris ou en région parisienne. Les neuf autres sont situés en province (Bordeaux, Grenoble, Lannion, Lille, Marseille, Nice-Cannes, Strasbourg, Toulouse et Tours). Les diplômes délivrés vont des DUT aux masters en passant par des diplômes visés par le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche. CELSA – Master option journalisme Établissement universitaire public Coût annuel des études : frais d’inscription universitaires* Diplôme : master de journalisme 30 admis sur concours Cursus en apprentissage possible en M2 depuis 2011 Adresse : 77 rue de Villiers – 92200 Neuilly-sur-Seine Tél : 01 46 43 76 76 / Fax : 01 47 45 66 04 * 256 € pour les masters, 186 € pour les IUT, gratuit pour les boursiers

Accueil Débat : Une Société des Journalistes, à quoi ça sert ? Article publié le 19 octobre 2010 Débat Ça Presse ! du 25 septembre 2007 À quoi servent les Sociétés de journalistes (SdJ) dans les entreprises de presse ? Comment ça marche ? Comment en créer une ? Vincent de Féligonde, président de la société des journalistes des Echos, explique comment les journalistes du quotidien économique se sont organisés pour tenter de bloquer le projet de vente au groupe LVMH et s’imposer comme interlocuteurs incontournables. François Malye, journaliste au Point, président du Forum permanent des sociétés de journalistes qui regroupe une trentaine de SdJ, décrit les revendications portées par le Forum auprès des pouvoirs publics (création d’une SdJ dans chaque entreprise de presse, droit de veto sur la nomination du directeur de la rédaction, etc.) Malika Elkord, membre de la SdJ du Nouvel Observateur, explique le rôle et le mode de fonctionnement d’une SDJ en dehors d’un contexte de crise. La SDJ fut initiée fin 2006 par une assemblée générale.

Journaliste S'il n'existe pas de condition de diplôme pour se lancer dans le journalisme, les diplômés, notamment ceux des écoles reconnues par la profession, ont plus de facilité pour débuter. Quatorze écoles sont reconnues par la convention collective des journalistes. On y entre sur concours après le bac, un bac + 2 ou un bac + 3. Des études de lettres, d'histoire, de sciences économiques, ou de sciences politiques peuvent constituer une bonne préparation. Les diplômes de référence de la profession restent ceux du CFJ (Centre de formation des journalistes) à Paris, et de l'ESJ (Ecole supérieure de journalisme) à Lille. Ces 2 écoles privées proposent un diplôme en 2 ans après un bac + 3 validé. Dans le public, les IUT de Tours, de Lannion, de Nice-Côte d'Azur proposent le DUT information-communication option journalisme (bac + 2), accessible sur dossier et entretien. L'IJBA (Institut de journalisme Bordeaux Aquitaine) propose un master ouvert sur concours à des titulaires de bac + 3 (licence, IEP).

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