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Le groupe Costa moteur du marché européen des croisières

Le groupe Costa moteur du marché européen des croisières
L’étude publiée par la CLIA (Cruise Lines International Association) à l’occasion du salon Cruise Ship Miami 2015 illustre de manière flagrante la poursuite du boom des croisières à travers le monde. En 2014, dans les principaux marchés d’Europe, cinq croisiéristes sur dix ont effectué leur croisière à bord d’un navire opéré par le Groupe Costa. « Être leader du marché dans les principaux pays européens nous encourage à proposer à nos hôtes des formules de vacances exceptionnelles et un service inégalé, déclare Michael Thamm, CEO du Groupe Costa. En Europe, ce sont déjà cinq croisiéristes sur dix qui partent en vacances avec nous. En novembre 2014, la compagnie passait commande pour un nouveau navire amiral, le Costa Diadema (4 947 passagers et 133 019 tonnes de jauge brute). L’étude menée par la CLIA laisse apparaître des évolutions rapides dans le nombre des passagers sur les principaux marchés européens, marchés où le Groupe Costa est le leader unanime.

Costa Croisières Costa Croisières est une compagnie italienne de croisières maritimes qui appartient au groupe Carnival. La compagnie a fait construire une grande partie de ses navires aux chantiers de Fincantieri en Italie. Histoire[modifier | modifier le code] L'entreprise a été fondée en 1854 à Gênes par Giacomo Costa sous le nom de Giacomo Costa fu Andrea s.n.c., une entreprise qui vendait et transportait de l'huile d'olive et des tissus de la Sardaigne à la Ligurie. Déjà à la fin du XIXe siècle, ses navires atteignent les ports australiens, où le flux constant d'émigrants italiens a suscité la demande de produits alimentaires nationaux. Après la Première guerre mondiale, l'entreprise passe de la commercialisation à la production d'huile d'olive, avec la construction d'usines de raffinage à Gênes et dans le sud de l'Italie. Les transatlantiques[modifier | modifier le code] Le premier bateau de passagers de la flotte Costa commence le service de ligne de Gênes à Buenos Aires le 31 mars 1948.

Croisière : Nouveau bond français dans un marché européen contrasté Bilan mitigé, du moins en apparence, pour l’industrie de la croisière en Europe, à l’exception notoire de l’Allemagne et de la France, la première prenant la place de leader sur le continent et la seconde y enregistrant la plus forte progression. Certes, le marché global continue de croître mais, avec 6.387 millions de passagers européens en 2014, l’augmentation ne fut que de 0.5% par rapport à 2013, déjà marquée par un net ralentissement (1% de mieux seulement par rapport à 2012). « La croissance plus lente nous rappelle que le succès ne peut jamais être tenu pour acquis. Nous sommes optimistes pour le futur, nous constatons que la demande mondiale pour la croisière est en hausse, et nous savons que les opportunités pour l’Europe sont nombreuses – depuis les faibles taux de pénétration du marché jusqu’aux nouveaux navires qui seront lancés. De nombreux pays orientés à la baisse La France a désormais clairement dépassé l’Espagne à la place de numéro 4 du marché européen.

La France devient le quatrième marché européen de la croisière Pour tous les professionnels qui se mobilisent depuis de longues années pour promouvoir la croisière dans l’Hexagone, l’évènement est historique. Pour la première fois, en 2013, plus d’un demi-million de Français, 522.000 pour être exact, ont effectué une croisière maritime. Cela représente une nouvelle hausse de 9%, similaire à celle déjà enregistrée entre 2011 et 2012. Elle permet à la France de devenir le quatrième marché européen de la croisière et, avec l’Allemagne, le plus dynamique du continent. Le marché français, qui bénéficie depuis plusieurs années d’une croissance soutenue, a supplanté l’Espagne à la quatrième place, les graves difficultés économiques rencontrées dans la péninsule ibérique ayant entrainé deux chutes consécutives de 18% du nombre de passagers espagnols en 2012 et 2013. Après l'Horizon, ici à Toulon, CDF va exploiter un second navire (© JEAN-LOUIS VENNE) Les trois leaders totalisent 86% du marché tricolore Paquebot de MSC à Marseille (© VINCENT GROIZELEAU)

Le robot Pepper embarque sur les croisières Costa au printemps 2016 Le groupe Costa a signé un accord pour l’utilisation du robot Pepper sur les navires des marques Aida et Costa. Capable de comprendre les émotions des passagers, il sera présent sur l’ensemble de la flotte à l’été 2016. A compter du printemps 2016, les équipages du groupe Costa accueilleront un nouveau membre à bord : Pepper, un robot humanoïde capable de comprendre les émotions humaines par l’analyse de la voix et des expressions. Ce petit bonhomme, qui mesure un peu plus d’un mètre pour 28 kilos, doit aider les passagers au moment de l’embarquement et tout au long de leur croisière. Un accord de plus d'un million d'euros Le premier arrivage de robot rejoindra d’abord le Costa Diadema et l’Aida Prima, tandis que les autres navires de la flotte Costa et Aida seront eux aussi équipés d’ici à l’été 2016.

L'industrie de la croisière a créé 10 000 emplois en Europe en 2014 L'industrie de la croisière a poursuivi sa croissance en 2014, permettant la création de 10 000 emplois en Europe l'année dernière, selon les chiffres de l'Association internationale des compagnies de croisières (Clia). Celle-ci estime néanmoins que le développement futur de l’activité suppose de lever un certain nombre d’obstacles. Avec 6,4 millions de croisiéristes l'année dernière, l'Europe est le deuxième marché mondial derrière les États-Unis. En France, cette contribution directe s'élève à près de 1,2 milliard d'euros, en augmentation de 4 % sur un an, selon Clia. 29 navires en commande L’industrie de la croisière représente 349 000 emplois en Europe, dont 80 000 dans le secteur de la construction navale. Vingt-neuf nouveaux navires figurent au carnet de commandes des chantiers navals européens d'ici 2018, pour un montant total de 16 milliards d'euros.

Le marché italien leader de la croisière européenne :Les croisières : un segment profitable aux agences de voyages italiennes. La croissance du marché italien pour les croisières est très supérieure à la moyenne européenne. Il se positionne, d’une part, comme le troisième marché européen en volume de croisiéristes, derrière le Royaume-Uni et l’Allemagne. D’autre part, la contribution du secteur des croisières sur l’économie italienne est la plus importante d’Europe avec 4,57 milliards d’euros et une progression de +2,5% (après le Royaume Uni et l’Allemagne avec respectivement 3,12 et 3,6 milliards d’euros). L’an dernier, les ports italiens ont accueilli +11,7% de passagers par rapport à 2013 soit environ millions de passagers représentant 22,4% des escales des navires de croisières européens (20,1% des croisières effectuent une escale à Venise). En conséquence, les croisières gagnent de plus en plus d’espace dans les gammes de produits des agences de voyages.

Costa Croisières repart à l’offensive Nouveaux navires, évolution de son concept, développement de nouveaux produits et itinéraires, réorganisation commerciale… La compagnie italienne, leader européen de la croisière, repart clairement à l’offensive en cette année 2015. Après une période délicate suite à la perte du Concordia, en janvier 2012, l’armement, fondé à Gênes en 1948 et intégré au groupe américain Carnival Corporation il y a 15 ans, a évolué en profondeur. Les leçons du drame, qui dans cette société où l’on travaille historiquement dans un esprit très familial restera gravé dans les mémoires, ont bien entendu été tirées. Les procédures de sécurité ont été totalement revues pour qu’une telle catastrophe ne se reproduise pas, alors qu’un centre de surveillance en temps réel des navires a été mis en place. Nouveau management Au-delà de ces aspects, c’est, plus largement, le fonctionnement de la société, ainsi que son identité, qui ont fait l’objet d’une importante remise à plat. Recentrage sur l’identité italienne

Croisière : la France connaît la plus forte croissance des marchés européens Antoine Lacarrière. Directeur général de Croisières de France, Cédric Rivoire-Perrochat, directeur général de CLIA France et Georges Azouze, président de CLIA France et Président-directeur général de Costa Croisières France. - photo JBH Les Français aiment de plus en plus la croisière. Selon les chiffres communiqués ce mercredi 18 mars 2015, par CLIA (Cruise Lines International Association) France, qui a pris la suite de l’AFCC depuis décembre 2013, le marché français a atteint en 2014 un total de 593 000 passagers, en forte croissance de 13,7% par rapport à 2013 La Méditerranée a représenté l’année dernière 63% Autres articles « Un autre indice de la plus grande maturité du marché français est la tendance à la diversification des destinations. La croisière fête l’arrivée du printemps Pour la première fois, l’opération « Croisières en Fête » propose deux sessions, une au printemps (du 23 au 30 mars) et l’autre à l’automne (5 au 12 octobre).

Le tourisme de croisières en Méditerranée 1. Le deuxième bassin de croisières mondial 2. Le succès des croisières en Méditerranée : éléments d'explication 3. Première région touristique du monde [2], le bassin méditerranéen est, depuis peu, enrichi d'une nouvelle composante particulièrement dynamique du secteur touristique : les croisières (voir l'entrée "croisières et croisiéristes" du glossaire). Depuis le milieu des années 1990 l'heure est au gigantisme des paquebots qui, avec plus de 3 000 lits et des mensurations en conséquence, ne pouvant plus accoster dans des ports aux infrastructures devenues trop étriquées, sont à l'origine d'investissements colossaux en des points précis du bassin de navigation. Le deuxième bassin de croisières mondial Du voilier au méga-paquebot : les navires de croisières en Méditerranée En 2008, 159 navires sillonnaient les eaux méditerranéennes, offrant une capacité totale de 166 742 lits, soit une capacité moyenne de 1 049 lits [3]. Caractéristiques de navires de croisière opérant en Méditerranée

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