L’organisation apprenante : introduction
L’organisation apprenante… 1. Introduction Cet article représente le premier volet d’une série de sept articles sur l’organisation apprenante. Il s’agit d’une réflexion réalisée par Daniel Tanguay en 2001 à la suite d’une lecture du livre La Cinquième discipline de Peter Senge que le lecteur pourra trouver dans les lectures recommandées de notre Boîte à outils (La cinquième discipline, Le guide terrain, préface et adaptation d’Alain Gauthier). Ma première réflexion à la suite de la lecture du livre de Peter Senge a été que les cinq disciplines que sont : exigent, à prime abord, un très grand intérêt à travailler avec d’autres individus. Ce mode de gestion nous force à développer une curiosité fondamentale, celle d’apprendre à connaître les individus derrière leur titre, leurs responsabilités. Cette même organisation doit aussi partager le pouvoir entre tous les membres laissant place à l’autodiscipline plutôt que le contrôle.
Wikipédia : Organisation apprenante
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une organisation apprenante est une organisation humaine (entreprise, administration, etc.) qui met en œuvre un ensemble de pratiques et de dispositions pour rester en phase avec son écosystème. Chaque entreprise peut être considérée comme un système vivant opérant au sein d'un écosystème. À l'intérieur de l'entreprise, comme dans un organisme multicellulaire, chaque membre est lui-même attentif à cet écosystème. Dans l'entreprise apprenante, chaque membre apprend les uns des autres. Cette communication transversale permet l'émergence du vivant qu'il soit innovation, intelligence collective ou adaptation permanente à l'environnement. Historique et origines[modifier | modifier le code] Ces recherches ont été reprises par Arie de Geus[4], homme d'entreprise, responsable du Group planning de Royal Dutch Shell, dans son livre The Living Company. Transposition pratique en termes de management[modifier | modifier le code] Elle s’appuie sur :
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Jean Piaget
Jean Piaget en 1967-1968. Jean Piaget, né le 9 août 1896 à Neuchâtel et mort le 16 septembre 1980 à Genève, est un biologiste, psychologue, logicien et épistémologue suisse connu pour ses travaux en psychologie du développement et en épistémologie à travers ce qu'il a appelé l'épistémologie génétique (ou structuralisme génétique). Ses travaux apportent un éclairage sur l'« intelligence », comprise comme une forme spécifique de l'adaptation du vivant à son milieu, sur les stades d'évolution de celle-ci chez l'enfant et sa théorie de l'apprentissage. Cet éclairage exercera une influence notable sur la pédagogie et les méthodes éducatives[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Jean Piaget est le fils aîné d'Arthur Édouard Piaget (1865-1952), professeur de littérature médiévale, et de la française Rebecca Susanne Jackson (1872-1942)[2], fille de William Fritz Jackson (petit-fils de James Jackson). Son intérêt pour les mollusques se développe après l'adolescence. Estimations :
George Siemens
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il est l'auteur de l'article Connectivisme : Une théorie de l'apprentissage pour l'ère du numérique et du livre connaître la connaissance - une exploration de l'impact du contexte a changé et les caractéristiques de la connaissance. Voir aussi[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code] Liens internes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Portail de l’éducation
Pédagogie Freinet
Les pays avec des mouvements de l'école moderne, les associations de la pédagogie Freinet. La pédagogie Freinet est une pédagogie originale mise au point par les époux Élise Freinet[1] et Célestin Freinet fondée sur l'expression libre des enfants ; texte libre, dessin libre, correspondance inter-scolaire, imprimerie et journal étudiant, etc. Freinet parle de « techniques Freinet », et non de méthode car les techniques évoluent. Il les a décrites dans un livre intitulé Les techniques Freinet de l'école moderne (1964). Cette pédagogie s'inscrit dans le mouvement de l'Éducation nouvelle qui date de 1899, dont les divers courants (Ferrière, Édouard Claparède, Ovide Decroly, Roger Cousinet, etc.) développèrent des échanges via la Ligue internationale pour l'éducation nouvelle grâce au pédagogue suisse Adolphe Ferrière à partir de 1921. Guy Avanzini indiquait en 1972 que « le pourcentage de praticiens Freinet n'avait probablement jamais atteint 5 %[2] ». Élaboration[modifier | modifier le code]