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Réutilisation des données publiques

Réutilisation des données publiques

Critiques du Web² (2/4) : Mesurer les résultats de la libération des données La question de la libération des données publiques se superpose à celle de leur utilisation. Cette libération – bien qu’encore timide – produit-elle aujourd’hui ce qu’on en attend ? A-t-elle des effets pervers ? Quelle est la valeur de la libération des données ? Il va être temps de mesurer les résultats du programme d’Open Government mené par l’administration Obama, explique David Robinson, directeur associé du Center for Information Technology Policy de Princeton et notamment de la politique de libération de données, de dépenses (voir également USAspending) ou de développement et d’hébergement d’applications publiques. Les usages semblent pour l’instant se concentrer sur certains types de données, souligne Jay Nath responsable de l’innovation au Comté de San Francisco, notamment l’exploitation des données criminelles qui concentrent à elles seules 80 % des réutilisations. Cette libération pose une autre question : quels vont être les retours sur investissement de l’Open Government ?

L’avenir de la réutilisation des données publiques En préfiguration de Lift avait lieu l’Open Data Garage, une journée d’ateliers et de conférences qui a permis de faire le point sur les initiatives open data françaises. Retour sur cette journée via ses contributions les plus éclairantes. « Trop souvent, le savoir c’est le pouvoir et les élus pensent que le pouvoir ne se partage pas », estime Christophe Castaner, vice-président de la région PACA et maire de Forcalquier en introduction de cette journée. « Il est important de porter le discours politique comme quoi l’information est un droit, un service public. Un monde de données réutilisables Pour Charles Nepote, responsable du programme Réutilisation des données publiques de la Fing, il y a des confusions entre l’accès à l’information et la réutilisation des informations publiques. L’accès aux données en tout cas ne suffit pas : c’est bien de réutilisation dont il est question. « Quand on parle de données, on ne parle pas des archives, des documents. Les données sont partout.

Open data : dix questions pour tout comprendre 01net le 15/06/11 à 16h19 Quelles sont les données concernées par l’open data ? Potentiellement toutes celles détenues par l’administration dans le cadre de sa mission de service public. Ministère, organisme public, collectivité territoriale… Il s’agit aussi bien d’informations géographiques, statistiques et épidémiologiques que d'horaires de transport, de catalogues, d'annuaires, etc. L’exploitation de ces données est-elle soumise à une redevance ? Les initiatives convergent vers une gratuité des données et leur libre réutilisation. A qui profite les premiers lâchés de données ? L’application eo’City sur les déplacements en transport en commun des Rennais Aujourd’hui, quasi exclusivement au citoyen. Les entreprises y trouveront-elles également leur compte ? A terme, oui. Quel est le premier bénéfice de l’open data pour les entreprises ? Sous quelle licence peuvent être exploitées ces données ? Existe-t-il un annuaire de données disponibles ? On dénombre aujourd’hui trois services d’annuaires.

Quelle sera la première ville open source du monde ? Retour sur ce que Raleigh (États-Unis) et Montréal (Canada) ont mis en place dans le domaine de l'open source, que cela concerne les entreprises ou les citoyens dans leur quotidien. Voici deux traductions pour s’interroger ensemble sur le concept de « ville open source ». Il s’agit de voir ici la ville comme une plateforme, une plaque tournante, un incubateur, bref un lieu privilégié où peuvent s’épanouir les entreprises et start-up qui placent l’open source au cœur de leur stratégie et de leur développement. Les villes de Raleigh (USA) et Montréal (Canada) souhaitent apparemment poser leur candidature et ont, semble-t-il, de bons arguments. Encore faudrait-il définir ce qu’est ou peut être une « ville open source », et se demander s’il est pertinent de vouloir créer, favoriser ou labelliser de telles villes. Et en France, me direz-vous ? PS : Nous avions déjà évoqué la chose dans un billet sur une autre ville canadienne Vancouver : S’il te plaît… dessine-moi une ville libre. 1. 2. billaday

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