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10 règles pour construire une communauté sur Facebook

10 règles pour construire une communauté sur Facebook

By The Numbers: How Facebook Says Likes & Social Plugins Help Websites Earlier this month, I wrote about how the promise of Facebook traffic has enticed millions of sites to use Facebook Like buttons and other Facebook social plugins. But does following Facebook’s socialist agenda really pay off? How about some numbers, courtesy of Facebook? Facebook provided me with the figures below from when I was working on my earlier article, Has Facebook Become The Master Key To Unlocking The Web? Since the figures are from Facebook, you do have to take them with a grain of salt. On with the stats! Media Stats Here’s what Facebook says about media sites using Like buttons and other social plugins: Commerce Stats About commerce sites and Facebook social plugins, the Facebook reports: Making “Like” More Likeable Facebook says Like buttons get 3 to 5 times more clicks if: Versions that show thumbnails of friends are used.They allow people to add comments.If they appear at both the top and bottom of articles.If they appear near visual content like videos or graphics.

Peut-on réellement construire une communauté sur Facebook ? 2011 aura assurément été l’année de la consécration de Facebook : 850 millions de membres, une valorisation approchant les 100 milliards de dollars et une exposition médiatique au plus haut. Mais Facebook n’est pas la seule plateforme sociale à avoir conquis le grand public : YouTube, Wikipedia, les blogs ou encore Twitter font maintenant partie des habitudes des internautes. Pour résumer une longue explication, à quelques exceptions près, toutes les marques se doivent de faire du social et d’avoir une communauté. Il y a donc urgence, or , développer des fonctionnalités à valeur ajoutée et recruter les membres de votre communauté prend du temps. À partir de ce constat, Facebook s’impose comme la solution de facilité pour sauter dans le train en marche et commencer à adosser rapidement une dimension sociale à votre site web. Le problème est que tout ce que vous faites sur Facebook ne vous appartient pas. Faut-il abandonner Facebook pour autant ?

Nettoyer son passé de m... sur Google Il est à présent possible de faire retirer certains liens des pages de résultats du moteur de recherche. Mais attention : un simple post suffit parfois à faire ressortir les cadavres du placard. Chaque fois qu'Yves, un entrepreneur du secteur de l'automobile, tape son nom dans Google, il tombe sur un site africain l'accusant d'avoir commis en 2011 des malversations dans l'un des pays du continent où il opère. Pure calomnie ? Certes, mais le mal est fait : une fois qu'il a été référencé par le moteur de recherche, impossible d'échapper à cet article qui salit son image. Efficacité limitée. Liens ineffaçables. Hors UE, ça se corse. Imbroglio à Villacoublay. Mémoire d'éléphant.

Marketing sur Facebook : Téléchargez Le Nouveau Guide Sur Les Pages Facebook ! Facebook en France : 26 millions d'utilisateurs actifs, plus de 5 heures par mois Nielsen vient de diffuser les chiffres de consommation de Facebook en France pour le mois de mai. Ils sont toujours aussi impressionnants. Le roi des réseau sociaux compte dans notre pays 26 millions de membres actifs (au moins une connexion par mois) dont 13 millions sur mobile. 63% des membres visitent le site tous les jours. 51% sont des femmes. Le nombre moyen d'"amis" est de 177. Plus de 5 heures par mois

Comment je me fais avoir ? Comment mon ordinateur se fait infecter ? Note d'information : Droits d'auteur attachés à cette page © Pierre Pinard - 1999 - 2015. Ce document, intitulé « Comment je me fais avoir », dont l'url est « », est extrait de l'encyclopédie de la sécurité informatique « ». Il est mis à votre disposition selon les termes de licence « Creative Commons » qui s'imposent à vous. Responsabilité Le principe d'absence de responsabilité du site d'origine, au regard des contenus des sites cibles pointés, est rappelé par l'arrêt du 19 septembre 2001 de la Cour d'Appel de Paris.

The Five Rules of Social Media Etiquette Just today an acquaintance told me her mother-in-law wrote a defamatory statement on Facebook about her. Although she let it roll off her shoulders, I was surprised that someone would do that to a family member. A leading family law firm Bross Bennett warns how damaging digital communications can be if used incorrectly, with detrimental affects going further than recipients and online communities and right into the courts of law. Just this week, a US court slashed maintenance payments to an ex-wife because of her blog posts. “It’s important that everyone thinks about the possible consequences before they type. On the other hand, Bennett says, “If used correctly, modern technology can be very helpful. As a way to keep oneself in check, here are five rules of good social media etiquette: 1. 2. 3.

Facebook pénalise les contenus non-engageants pour améliorer l'expérience utilisateur et satisfaire les actionnaires Depuis la spectaculaire introduction en bourse de Facebook, j’ai comme l’impression que la polémique sur l’efficacité réelle des campagnes de social marketing n’en finit pas. Tout à commencé en juin dernier avec les révélations de nombreux gros annonceurs (Performance et maturation des publicités dans Facebook). Le problème dénoncé par ces annonceurs est double : une augmentation des dépenses publicitaires (au travers du reach generator) et une baisse de l’impact des campagnes (taux d’engagement). Pour être certain que vous compreniez bien de quoi nous parlons : le reach (“portée” en français) désigne le nombre de personnes sur le fil desquelles sera affiché un message, l’engagement désigne une interaction positive avec la marque (like, commentaire…). De moins en moins de fans verront vos publications Je traduis pour que vous vous rendiez bien compte : les publications d’une marque ayant 100.000 fans sur sa page ne sont plus affichées que sur le fil de 12.000 d’entre eux.

Google, l’auteur absolu | Creationlibre Malgré tous les efforts réalisés par de nombreuses communautés pour dénoncer les clauses abusives de certains services en ligne et malgré le discours toujours plus grandissant sur la propriété intellectuelle et le droit à l’image, il semble cependant que la réalité prenne une autre direction. En exemple encore les modifications apportées récemment aux conditions générales google que nous ferons suite à notre article publié il y a déjà presque 2 ans. Google analyse les contenus Alors que tout le monde s’offusque des pratiques de la NSA ou des renseignements généraux, Google inclus, il se pourrait bien que Google ait compris que cette indignation ne soit que de façade. En effet, la licence mentionne maintenant clairement : Nos systèmes automatisés analysent vos contenus (y compris les e-mails) Brefs, si vous pensiez que Google ne pouvez pas tout lire et que vous pouviez dormir sur vos deux oreilles, vous voilà mal à l’aise. Google posséde vos contenus autant que vous enfin à la Microsoft,

L'Observatoire Influencia - De Facebook à iFacebook ? Publié le 17 mai 2011 Une réflexion sur l'évolution des réseaux sociaux me tarabuste depuis quelques temps : derrière un fan, il n'y a pas que ses amis et ses marques stars, mais un utilisateur dans ses contextes d'expérience avec leurs data et ses centres d 'intérets; et un utilisateur qui de surcroît, "possède" une identité numérique techniquement "universelle" c'est-à-dire interopérable, tel un sésame simplificateur de l'accès ubiquitaire. Mon socialgraph, c'est avant tout l'extension de ma personne et ce socialgraph ne se limiterait pas aux amis, ni à mes marques préférées. Le champs d'application pourrait être plus vaste. Il deviendrait serviciel, applicatif, transactionnel, everywhere.So what ? J'avais besoin d'une série d'éléments déclencheurs pour coucher sur le papier cette intuition. Formulation de cette intuition quand à l'évolution de fond des réseaux sociaux: Facebook voit sa courbe d'adoption se consolider fabuleusement et l'apprentissage de l'outil rentre dans les moeurs.

Performance et maturation des publicités dans Facebook Marche… marche pas… marche… marche pas… c’est grosso modo le résumé des discussions de ces dernières semaines sur la viabilité des publicités dans Facebook. À l’origine de tout ce ramdam, un article du patron de Buddy Media qui mettait en garde les annonceurs contre le “mythe Facebook” : The Truth About Facebook Advertising. Son argumentaire est le suivant : si la démarche est bonne (promesses ou message), alors les cibles seront naturellement engagées, quel que soit le support. Ce n’est pas parce que vous faites de la publicité sur Facebook qu’elle va forcément marcher. L’analogie est la suivante : faire de la publicité sur Facebook revient à faire de la publicité à une soirée entre amis ou au cours d’un repas de famille : qui va réellement vous prêter de l’attention ? Ceci étant dit, charge aux annonceurs, et aux agences qui les accompagne, de trouver le bon sujet / message / ton pour engager les cibles (fans ou non).

"Grâce au cloud, on saura tout de votre conduite", explique Patrick Pélata, vice-président de Salesforce - 2 Ancien numéro 2 de Renault (écarté en 2012), Patrick Pélata est aujourd'hui au cœur d’une nouvelle révolution : la voiture connectée à Internet. Capital : Vous êtes passé brutalement du siège de Renault à Boulogne, à celui de Salesforce, un leader du «cloud computing» et de la gestion de la relation client basé dans la Silicon Valley. Pas de regret ?Patrick Pélata : Non, j’ai définitivement tourné la page. Mes nouvelles fonctions sont passionnantes. Capital : La mutation s’accélère ? Capital : Mais concrètement, à quels types d’applications doit-on s’attendre ?

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