Napster de la banque: prochain cauchemar des gouvernements ? Selon le fondateur du parti pirate suédois, nous n'avons encore rien vu de la révolution internet. Le pire reste à venir pour les États : les monnaies chiffrées et décentralisées. La vraie bataille pour l’internet et les énormes changements que le réseau apporte ne fait que commencer. Une des règles générales du progrès technique, c’est que ce n’est pas nécessairement la techno la plus riche en fonctionnalités, la moins chère, ou la plus accessible qui atteint la masse critique d’utilisateurs. Je cite fréquemment Youtube en exemple, car Youtube n’était pas le premier site à proposer de la vidéo sur le net. À ce jour, l’histoire nous apprend que cela prend environ dix ans, depuis la conception d’une technologie, ou de l’application d’une technologie, avant que quelqu’un trouve la recette miracle qui rend cette technologie assez simple à utiliser pour que ça prenne. Il serait indélicat de ne pas mentionner Napster dans ce contexte. Voici ce qui est sur mon radar : le système bancaire.
Le football, petit ou grand business ? (CNRS le journal, 2018) On parle aujourd’hui d’un club de football comme on parlerait d’une grande entreprise cotée en Bourse. Or si ce milieu endosse, à l’image de la société, les caractéristiques de l‘économie mondialisée, il est loin de constituer un «business» rentable. C’est ce que nous expliquent les économistes Luc Arrondel et Richard Duhautois dans ce point de vue publié en partenariat avec le site HuffPost. Ce point de vue est publié simultanément sur le site du HuffPost, dans le cadre d’un partenariat éditorial ce jeudi 7 juin. Né au XIXe siècle, le football faisait alors l'objet de compétitions nationales (ici, un match en 1909, probablement en Grande-Bretagne), bien loin des rencontres internationales d’aujourd'hui, avec des retransmissions dans le monde entier et de nombreux transferts de joueurs. SZ Photo / Scherl / Bridgeman Images Tradition contre postmodernisme Le chiffre d’affaires des cinq grands championnats européens professionnels est légèrement inférieur à celui de la Française des jeux.
Après l’échec du Bank Run, quatre idées pour s’éloigner des banques Plutôt que de courir vider son compte, OWNIpolitics vous propose quelques solutions concrètes pour réduire votre dépendance bancaire. Article publié initialement sur le site OWNIpolitics sous le titre : Quatre alternatives au Bank run de Cantona. Mardi 7 octobre, même si des centaines ou des milliers de Français avaient été clôturer leur compte ou simplement en retirer le maximum de cash autorisé, les banques n’auraient pas tremblé. Si l’initiative lancée par Eric Cantona a donné l’illusion sympathique qu’il suffisait de s’armer de sa carte bleue pour entamer les fondations du système bancaire, elle n’eu aucun effet, sinon, peut-être celui de priver une poignée d’épargnants de leur capacité à recevoir des virements, ainsi qu’un nombre considérable d’autres désagréments qu’avaient énuméré nos collègues de rue89. Il faut appeler bien un chat un chat : les banques mettent à genoux les peuples, et elles sont d’autant plus féroces maintenant qu’elles ont vu le couperet de près il y a peu.
Les enfants du marketing (CNRS le journal #293, 2018) Friandises, jouets, produits dérivés… Le marketing jeunesse s’est déployé dans tous les domaines de la consommation. Et intéresse parallèlement les chercheurs qui analysent les relations – parfois discutables du point de vue éthique – entre l’univers de l’enfance et la sphère marchande. Le point avec Valérie-Inès de la Ville, responsable scientifique d’une récente conférence sur la question. En avril dernier, une conférence internationale dont vous êtes l’une des responsables scientifiques1, réunissait à Angoulême à la fois des spécialistes en psychologie, sociologie, histoire, sciences de gestion, etc. et des professionnels du marketing jeunesse pour discuter de leurs pratiques… et peut-être pousser à les corriger. Pour commencer, pouvez-vous rappeler l’impact de notre culture de consommation de masse sur les enfants ? En 1900, la société Poulain (ici en publicité) produisait plus de 350 000 images à collectionner qui étaient glissées dans les tablettes de chocolat.
Santé sociale Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans une définition large de la notion du social, on peut l'entendre comme étant l'expression de l'existence de relations entre les vivants. Certains animaux non-humains, tels que la plupart des mammifères par exemple, sont qualifiés d'espèces sociales. Il en va de même pour certains insectes. En Droit, le terme social peut avoir une signification ambigüe : Tantôt il désigne ce qui se rapporte aux relations du travail (ex : le droit social)Tantôt il désigne ce qui se rapporte aux relations entre associés d'une même société ( ex: le mandat social) Social en tant que concept sociologique[modifier | modifier le code] Les conceptualisations sociologiques de ce que représente le social sont apparues avec la nécessité de définir l'objet de recherche de la sociologie. Critique du terme[modifier | modifier le code] Le terme est parfois critiqué pour être un terme sans signification et qui ne sert qu'à empêcher toute réflexion. Portail de la sociologie
Grégarisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La science qui a pour objet l'étude des sociétés animales est la sociobiologie. Les niveaux d'organisation sociale[modifier | modifier le code] Dans la nature il existe plusieurs types de sociétés possédant des niveaux d'organisation variables. Le niveau le plus élevé est atteint par les organismes multicellulaires, véritables colonies de clones cellulaires, pouvant compter des trillions d'individus. Suivent les sociétés d'hyménoptères (fourmis, abeilles et guêpes) et les sociétés civilisés. 1) La localisation spatiale : les individus coexistent sur un territoire limité ou se déplacent ensemble mais forment toujours un groupe relativement compact. 2) La cohésion des membres : les relations spatiales entre les individus possèdent une certaine constance et suivent des règles déterminées. L'eusocialité qui est le niveau supérieur d'organisation est caractérisée par : Niveaux d'organisation familiale[modifier | modifier le code]
BitCoin, un système monétaire P2P crypté Je viens de découvrir l’excellent projet Open Source BitCoin encore en béta-test, et qui est extrêmement prometteur. Il se rapproche au plus près de ce qu’on peut espérer de mieux comme système monétaire P2P. BitCoin se présente comme un logiciel multiplateforme qui une fois lancé se connecte aux autres logiciels connectés, et commence à générer des « blocs » cryptés assurant par leur nombre et leur dissémination dans le réseau, la sécurité du système. Crypté, P2P, Open Source, le rêve absolu… Par contre le système monétaire initialement retenu crée la monnaie de façon un peu curieuse, sur la base de ces noeuds, dans un modèle un peu bancal qui associe une sorte de Dividende « Machine » limité dans le temps (il décroît au fur et à mesure que la monnaie se crée) jusqu’à une quantité limite de 21 Millions de BitCoins. De plus le crédit mutuel limité favorise les tenants de monnaie qui l’accumulent. Pourtant la philosophie monétaire fondamentale des développeurs me semble excellente :
Le flux, l'homme, la monnaie Thierry Crouzet a puissamment théorisé le flux en terme d’information, de production d’information, d’interdépendance, et en a tiré un essai « propulseur dans le flux« , qui n’est pas sans rapport avec ce que nous allons traiter ici. Qu’est-ce qu’un flux ? En physique un flux ou débit instantané est déterminé comme étant une dérivée quantitative de matière ou d’énergie traversant une section d’un volume donné. On peut donc définir une mesure de flux pour un cours d’eau comme une fontaine ou un fleuve, comme étant la quantité d’eau qui passe par seconde via une section perpendiculaire au courant, par exemple en m³/s. Il s’agit donc d’une quantité dynamique, qui est une dérivée par rapport au temps. Un autre type de flux est la Loi de désintégration radioactive. Ce qui dans ce cas est proportionnel au nombre total d’atomes présents dans le cube à ce moment là : dN/dt = -c*N Qu’en est-il des hommes ? Qu’en est-il alors de l’arrivée de nouveaux citoyens naissant « libres et égaux en droit » ?