Annuité constante Définition des annuités constantes : Les annuités constantes peuvent se calculer lors de la souscription à un emprunt afin d’évaluer le montant à rembourser à chaque fin de mois ou d’année. Les remboursements sont échelonnées suivant la durée de l’emprunt. Une annuité constante correspond au montant à payer pour une seule échéance. C’est type de remboursement d’un emprunt le plus classique. Le calcul des annuités constantes : Formules de calcul des annuités constantes : Autres formules de calcul permettant l’établissement d’un tableau d’amortissement par annuités constantes : Montant des intérêts versés = Montant de l’emprunt restant à payer x Taux d’intérêt Montant de l’amortissement = Annuités constantes – Montant des intérêts versés
Enregistrement d'un emprunt Un emprunt est une somme d’argent qu’une banque prête en contrepartie du versement des intérêts en plus du montant emprunté. Réalisation et calcul d’un emprunt Pour calculer le montant des intérêts que l’entreprise doit rembourser, on fait un tableau de remboursement de l’emprunt. (Ce tableau est généralement fourni par la banque). Un emprunt constitue pour l’entreprise un flux monétaire entrant (recette). En contrepartie, il faut créditer un compte représentant le prêteur ou la dette. Comment enregistrer comptablement un emprunt ? Dans le journal de banque (BQ)Au ../.. explication : Le compte de banque est débité, car le compte bancaire augmente Le compte 164 est crédité, il s’agit d’un compte de passif car une dette est constatée et doit apparaître au bilan. Remboursement de l’emprunt et paiement des intérêts un emprunt doit être remboursé en une ou plusieurs échéances prévues au préalable. Le remboursement d’un emprunt constitue un flux monétaire sortant (dépense). Au ../.. Cas pratique
VAN, TRI, DRCI, IP – Objectif : DSCG UE 2 – Finance Calcul des flux de trésorerie d’un investissement Il faut établir 2 tableaux : 1 pour déterminer la CAF dites économique (hors financement), 1 pour déterminer les flux de trésorerie Tableau 1 : Calcul de la CAF économique CA– Nouvelles charges– DAP de l’invest= Résultat– IS= Résultat après IS+ DAP= CAF Tableau 2 : Calcul des flux nets CAF– Aug. du BFR (à partir de l’année 0)– Invest (en année 0)+ Récup du BFR (en année N)+ Valeur résiduelle net d’IS (en année N)= Flux Net Calcul de la VAN La VAN est la somme des flux nets de trésorerie précedemment calculés. Avantages de la VAN : Elle exprime directement la création de valeur pour l’actionnaireElle se base sur des flux de trésorerie et non des résultatElle tient compte du temps et du risque Calcul du TRI Le TRI est le taux pour lequel la VAN est = 0. Calcul de DRCI (Délai de Récupération du Capital Investi) Il faut cumuler les flux de trésorerie non actualisés et rechercher le moment ou le montant de l’investissement est couvert. WordPress:
Méthodes de choix d'investissement Choix d’investissement – Principales Méthodes – CritèresValéry Feugeas2017-01-18T13:10:27+00:00 Pour évaluer un investissement il faut déterminer les coûts et les avantages qu’il va générer dans le temps. Pour cela on va devoir établir des flux de trésorerie qu’il pourrait dégager dans un avenir plus ou moins lointain et évaluer les critères de rentabilité et les risques associés à cet investissement sur la base des connaissances actuelles. Il faudra donc baser ses choix d’investissements sur une base actuarielle. Dans la mesure où il y a une préférence marquée pour disposer de réserves de trésorerie aujourd’hui plutôt que demain, on ne peut pas comparer des flux financiers échelonnés dans le temps sans les ramener à une unité temporelle commune. Dans ces conditions, trois critères sont généralement utilisés pour apprécier la pertinence d’un investissement: la valeur actuelle nette (VAN),l’indice de profitabilité (IP),Le taux interne de rentabilité (TIR). La Valeur Nette Actualisée (VAN)
Définition, calcul et utilité de l'EBE (excédent brut d'exploitation) L’excédent brut d’exploitation (EBE) est un indicateur financier fondamental permettant de déterminer la ressource qu’une entreprise tire régulièrement de son cycle d’exploitation. Compta-Facile vous propose une fiche complète sur l’EBE : qu’est-ce qu’un EBE ? Comment calculer un EBE ? Que signifie un EBE positif (ou négatif) ? Quel est l’intérêt de calculer un EBE ? Quand calculer un EBE ? Si vous êtes en phase de création de votre entreprise, n’hésitez pas à vous inscrire à notre formation gratuite en ligne, nous y abordons toutes les définitions et exemples concrets utiles lors du démarrage de votre projet : Je lance ma boite. 1. A. L’excédent brut d’exploitation – EBE – est un indicateur financier figurant dans le tableau des soldes intermédiaires de gestion (SIG). De maintenir son outil de production et de le développer ;De rémunérer les capitaux engagés (capitaux propres et capitaux empruntés). Remarque : lorsque l’EBE est négatif, on parle d’insuffisance brute d’exploitation. B.
La capacité d'autofinancement (CAF) : définition, calcul et intérêt La capacité d’autofinancement désigne l’ensemble des ressources internes générées par l’entreprise dans le cadre de son activité qui permettent d’assurer son financement. Nous étudierons dans cet article de Compta-Facile la capacité d’autofinancement (CAF) : qu’est-ce que la capacité d’autofinancement ? Comment la calculer ? Pourquoi ? Comment interprêter une CAF ? Si vous êtes en phase de création de votre entreprise, n’hésitez pas à vous inscrire à notre formation gratuite en ligne, nous y abordons toutes les définitions et exemples concrets utiles lors du démarrage de votre projet : Je lance ma boite ! 1. Dans le cadre de son activité, une entreprise doit financer plusieurs éléments : les investissements qui permettent d’assurer et de développer l’activité de l’entreprise,le remboursement de ses emprunts,le paiement des dettes fournisseurs, fiscales et sociales,le versement des dividendes aux associés… 2. Le calcul de la capacité d’autofinancement est le suivant : A. B. 3.
Comment lire, comprendre et interpréter un compte de résultat ? Savoir lire correctement un compte de résultat est essentiel, et ceci afin de le comprendre et de l’interpréter. Compta-Facile vous propose une fiche complète sur le compte de résultat : de quels indicateurs se compose-t-il ? Comment bien le lire ? 1. A. Le compte de résultat est un document économique (appelé état de synthèse) permettant de voir combien l’entreprise a fait d’affaires sur une période appelée exercice comptable et si, au final, elle en a retiré un bénéfice ou une perte. Contrairement au bilan comptable qui récapitule le patrimoine d’une entreprise et ses variations depuis la création de l’entreprise, le compte de résultat ne s’intéresse pas au passé mais uniquement à l’année qui vient de s’écouler. B. Le compte de résultat est constitué de quatre grands agglomérats comptables : Le résultat d’exploitation : ce résultat ne tient compte que des opérations courantes, c’est-à-dire des activités normales réalisées de manière habituelle par l’entreprise. 2. Donnez-lui une note !
Bilan et compte de résultat : états comptables fondamentaux Le bilan et le compte de résultat sont deux états qui constituent la base de la comptabilité. Cependant, leur interprétation est souvent erronée. Compta-Facile aborde les bases fondamentales du bilan et du compte de résultat : que signifient-ils ? Comment fonctionnent-ils ? Le bilan comptable La comptabilité reflète le fonctionnement d’une entreprise : elle fait financer des moyens de production afin de satisfaire une clientèle en lui élaborant des biens ou en lui mettant à disposition ses services. Le bilan est le reflet, à un instant « t » de la vie d’une entreprise, de son patrimoine, c’est-à-dire : Ce qu’elle possède (ou autrement dit, ses actifs) Traditionnellement, les emplois figurent dans les comptes « Immobilisations », « Stocks », « Créances », « Banque » et « Caisse ». Ce qu’elle doit (ses dettes, c’est-à-dire son passif) Les ressources figurent en général dans les comptes « Capital », « Réserves », « Emprunts », « Dettes fournisseurs » et « Dettes fiscales et sociales ».
Le Besoin en fonds de roulement (BFR) : définition, calcul et intérêt Le besoin en fonds de roulement, plus couramment appelé BFR, est un indicateur très important pour les entreprises. Il représente les besoins de financement à court terme d’une entreprise résultant des décalages des flux de trésorerie correspondant aux décaissements et aux encaissements liés à l’activité opérationnelle. Compta-Facile lui consacre une fiche complète : qu’est-ce que le BFR ? Quand et comment calculer son BFR ? Comment le financer au démarrage de l’activité ? Comment l’interpréter ? Si vous êtes en phase de création de votre entreprise, n’hésitez pas à vous faire accompagner par des experts de la création d’entreprise. Qu’est-ce que le besoin en fonds de roulement ? Par définition, le besoin en fonds de roulement (BFR) représente le montant qu’une entreprise doit financer afin de couvrir le besoin résultant des décalages des flux de trésorerie correspondant aux décaissements (dépenses) et aux encaissements (recettes) liés à son activité. Interpréter un BFR positif
Besoin en Fonds de Roulement (BFR) : Le Besoin en Fonds de Roulement (BFR) est la somme nécessaire que l'entreprise doit posséder pour payer ses charges courantes en attendant de percevoir le paiement dû par ses clients. Le besoin en fonds de roulement démontre l'autonomie financière de l'entreprise à court terme puisque cet indicateur représente la somme d'argent nécessaire pour financer ses charges sans qu'elle n’ait besoin d'encaisser ses clients en même temps. Besoin en Fonds de Roulement = Stocks + Créances - Dettes (toutes les dettes non financières) Qu'est-ce que le besoin en fonds de roulement ? Définition Le besoin en fonds de roulement définit la somme que l'entreprise doit financer pour couvrir le besoin résultant des décalages de trésorerie entre les entrées et les sorties. Une entreprise dont le besoin en fonds de roulement est supérieur à 0 est notamment une entreprise qui doit payer ses fournisseurs sous 30 jours et qui a des clients qui la paient sous 60 jours. L'utilité du besoin en fonds de roulement Stocks
Bilan et compte de résultat, c'est quoi la différence La gestion de la plupart des entreprises implique certaines formalités comptables obligatoires, telles que le bilan comptable et le compte de résultat. Ces derniers sont des documents que vos associés ou votre banquier vous demanderont régulièrement pour évaluer la santé de votre entreprise. Toutefois, le fonctionnement de ces éléments échappe à plus d’un créateur d’entreprise. De plus, la confusion entre les deux est courante. Pourtant, bien qu’ils relèvent tous deux des tâches de comptabilité, le bilan comptable et le compte de résultat sont deux formalités distinctes. Bilan comptable : définition Le bilan comptable est un document qui renseigne sur l’état financier actuel d’une entreprise. les comptes de capitaux (classe 1) ; les comptes d’immobilisations (classe 2) ; les comptes de stock et en cours (classe 3) ; les comptes de tiers comme les clients et fournisseurs (classe 4) ; les comptes financiers comme la banque (classe 5). Pour vous accompagner, Amarris Direct vous propose :
Cours comptabilité : le bilan comptable Le bilan comptable est un des trois documents que l’entreprise doit fournir au FISC à chaque clôture d’exercice. Le compte de résultat et l’annexe accompagnés du bilan forment la liasse fiscale. Le bilan est une image financière de l’entreprise à une date déterminée (date de clôture de l’exercice). Plan du document : I. Partie 1 : Préambule et définitions A. Le bilan représente la situation du patrimoine de l’entreprise à un moment donné. B. Le bilan décrit l’ensemble des ressources financières que l’entreprise s’est procurée (moyens de financement) et l’ensemble des emplois (utilisation des ressources) dont elle dispose à une date donnée. Les ressources (passif du bilan) sont classées en trois catégories : - les apports de l’exploitant ou des associés par le biais du capital ; - les dettes envers les tiers ; - les bénéfices, ressources générées par l’activité. Partie 2 : Représentations schématique Il est établi dans le respect des principes comptables : - principe de prudence ; A. B. C. A.
Soldes intermédiaires de gestion - SIG Dans le système développé de la liasse fiscale, le plan comptable général prévoit le calcul de neuf soldes intermédiaires de gestion. Afin de rendre ces soldes comparables entre différentes entreprises, la Centrale de bilans propose une analyse plus économique (pour certains auteurs, les SIG du PCG sont de nature trop juridique) par certains retraitements, expliqués dans une deuxième partie (SIG CDB en fin de fiche). Tableau des SIG précognisé par le Plan comptable général Marge commerciale Elle constitue un indicateur fondamental de l'activité des entreprises commerciales. Les calculs des taux de marges facilitent les comparaisons inter-entreprises; Ils peuvent-être calculés par branche d'activité, par produits et constituent d'excellents outils de gestion. Production de l'exercice Valeur ajoutée La valeur ajoutée mesure l'activité propre de l'entreprise et contribue à la formation du résultat. Excédent brut d'exploitation (EBE) Résultat d'exploitation Résultat courant avant impôts
Les soldes intermédiaires de gestion - SIG Les soldes intermédiaires de gestion (SIG) permettent d’analyser le résultat de l’entreprise en le décomposant en plusieurs indicateurs importants, ce qui permet d’obtenir de l’information sur l’activité d’une entreprise et la formation de son bénéfice (ou déficit). Le calcul des soldes intermédiaires de gestion s’effectue à partir des mêmes éléments que ceux qui figurent dans le compte de résultat : les charges et les produits. 1. Utilité des soldes intermédiaires de gestion (SIG) Les soldes intermédiaires de gestion permettent de comprendre la construction du résultat en identifiant et mettant en valeur quelques indicateurs clés tels que la marge, l’excédent brut d’exploitation (EBE) ou encore le résultat d’exploitation. On utilise notamment les indicateurs figurant dans les soldes intermédiaires de gestion pour se comparer aux statistiques du secteur voir directement à des concurrents. 2. Le calcul des soldes intermédiaires de gestion se fait en plusieurs étapes : A. B. C. D. E. F. G.