Les troubles de l'attachement chez l'enfant Accueil > Chroniques > Troubles psychologiques > Les troubles de l'attachement chez l'enfant Juillet 2012(Mise à jour: Mai 2014) Les enfants qui ont manqué de relations sécurisantes, d'attention ou qui ont été maltraités, éprouvent des difficultés dans les relations sociales. Plus précisément, ces enfants ne parviennent pas à établir des relations de confiance. Toutefois, il arrive que le nourrisson ne se sente pas suffisamment en sécurité avec ses parents pour développer ce style d'attachement. Aussi, un bébé dont la mère ou le père réagit de façon ambivalente, c'est-à-dire tantôt en répondant rapidement à ses pleurs, tantôt en ignorant ses "appels au secours", risque de développer un attachement anxieux-ambivalent (ou résistant): le nourrisson crie lorsque sa mère s'éloigne, mais s'agite et se calme difficilement lorsqu'elle revient et le prend dans ses bras. Certains psychologues pensent qu'ils existe en réalité de nombreux troubles de l'attachement. A lire également :
Jean Piaget Jean Piaget en 1967-1968. Jean Piaget, né le 9 août 1896 à Neuchâtel et mort le 16 septembre 1980 à Genève, est un biologiste, psychologue, logicien et épistémologue suisse connu pour ses travaux en psychologie du développement et en épistémologie à travers ce qu'il a appelé l'épistémologie génétique (ou structuralisme génétique). Ses travaux apportent un éclairage sur l'« intelligence », comprise comme une forme spécifique de l'adaptation du vivant à son milieu, sur les stades d'évolution de celle-ci chez l'enfant et sa théorie de l'apprentissage. Cet éclairage exercera une influence notable sur la pédagogie et les méthodes éducatives[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Jean Piaget est le fils aîné d'Arthur Édouard Piaget (1865-1952), professeur de littérature médiévale, et de la française Rebecca Susanne Jackson (1872-1942)[2], fille de William Fritz Jackson (petit-fils de James Jackson). Son intérêt pour les mollusques se développe après l'adolescence. Estimations :
Fontanelle - Wikipédia - (Navigation privée) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les fontanelles sont des espaces membraneux séparant les différents os du crâne. L'armature osseuse de la carapace des tortues présente également des fontanelles, de même nature membraneuse. Les fontanelles permettent une poursuite du développement du crâne et de l'encéphale. Chez les tortues, elles jouent un rôle similaire au cours de la croissance de la carapace. Chez les humains[modifier | modifier le code] Les quatre fontanelles. Chez l’adulte, les os du crâne sont soudés. Les fontanelles simples, présentes sur le sommet du crâne : La fontanelle antérieure (ou bregmatique) ou grande fontanelle, possède une forme de losange de 3 à 4 centimètres de large. Les fontanelles permettent la croissance du crâne au rythme de celle de l’encéphale, qui est encore importante avant l’âge de deux ans. Examen des fontanelles[modifier | modifier le code] La fontanelle antérieure, à 1 mois. Chez divers animaux[modifier | modifier le code] Portail de la biologie
Psychomotricité : Développement psychomoteur de l’enfant - Première année Sections Sous-sections 3.14 Deux ans 3.14.1 Motricité Il monte et descend l’escalier seul sans alterner les pieds (pose les 2 pieds sur chaque marche) Il court vite (l’équilibre est meilleur), tourne en cercle, sautille, grimpe, danse. Il tape dans un ballon avec précision et équilibre. 3.14.2 Préhension Il a acquis une grande souplesse du poignet et une bonne rotation de l’avant-bras : dessine avec un crayon bien tenu (prise digitale). Il sait tourner la poignée d’une porte, dévisser un couvercle, manger avec une cuillère. Vers 2 ans et demi, il copie un rond. 3.14.3 Langage C’est l’âge de l’explosion du vocabulaire. Il fait des « phrases explicites » et abandonne le jargon du langage global. Il utilise le « je », le « moi », le « tu ». Il réunit 2 ou 3 mots en une phrase. 3.14.4 Compréhension générale Il nomme 4 à 5 images. Il comprend 2 à 3 ordres donnés. Il peut désigner 4 à 5 parties de son corps. Il peut être propre la nuit. Il peut compter jusqu’à 3-4. Il aide pour se déshabiller. 3.15 Trois ans
Les échelles d'évaluation du développement cognitif précoce: Manuel illustré ... - Nathalie Nader-Grosbois LE DÉVELOPPEMENT DE LA MOTRICITÉ FINE DE LA NAISSANCE À 6 ANS - vae eje article issu de : Lorsque les parents repensent au développement de leur enfant, ils peuvent se souvenir de l'âge autour duquel l'enfant est devenu propre ou lorsqu'il a fait ses premiers pas. Cependant, combien peuvent se remémorer à quel âge il a tenu pour la première fois une cuillère ou porté de l’eau à sa bouche, avec un verre ou autrement ! La motricité globale réfère aux grands mouvements, aux mouvements globaux du corps. La motricité fine fait référence à l'utilisation de nos bras et plus particulièrement de nos mains. dans la serrure, prendre un seul objet parmi d'autres, etc.). Les parents consultent fréquemment en ergothérapie pour des problèmes de motricité fine, alors que bien souvent l'enfant a déjà atteint le niveau de la maternelle ou 1ière année. La description suivante se veut un guide général. De 0 à 6 mois De 6 à 12 mois à la grosseur de l'objet. De 1 à 2 ans De 2 à 3 ans De 3 à 4 ans
Donald Winnicott Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Son œuvre est devenue populaire parmi les spécialistes, psychiatres psychologues, pédiatres et éducateurs, mais certains de ses concepts ont également atteint le grand public. Ses thèses se révèlent exigeantes, et ses notions d'« aire », d'« espace » et d'objet transitionnel ont souvent donné lieu à des simplifications. Aujourd'hui Winnicott est souvent cité. On lui reproche aussi d'avoir réduit la femme à son rôle de mère (« suffisamment bonne »[1]) en y négligeant celui de la femme-« amante »[2] . On lui doit la prise en compte de l'importance du facteur de l'environnement, et par conséquent de la personnalité réelle de la mère, parfois dépressive ou imprévisible, dans la pathologie de l'enfant puis de l'adulte. Les perturbations psychiques induites par le faux-self demandent à être traitées dans des consultations thérapeutiques, car ces patients ont moins besoin de guérir de leur symptômes que de pouvoir se sentir exister vraiment. D. D.
Caractéristiques du nouveau-né - (Navigation privée) S’il est né à terme, un bébé mesure généralement entre 45 cm (17 po) et 55 cm (21 po), et pèse entre 2,5 kg (5,51 lb) et 4,3 kg (9,4 lb). Les premiers jours de sa vie, il peut perdre environ 10 % du poids qu’il avait à la naissance. C’est tout à fait normal. Il reprendra ces quelques grammes en 2 ou 3 semaines. En moyenne, il devrait gagner entre 100 g et 250 g par semaine les 3 premiers mois. Pendant cette période, il pourrait avoir des poussées de croissance. Si votre bébé est né prématurément, il pourrait être plus petit de taille que les autres, et son rythme de croissance pourrait être plus lent au début. Sa peau À sa naissance, le poupon a la peau rosée ou rougeâtre. Ni chaud ni froidMaintenez la température ambiante à 20 °C (68 °F) ou 21 °C (70 °F). En général, la peau d’un bébé est lisse, douce et transparente par endroits. Vous remarquerez peut-être de petites taches rouges entre ses yeux, sur ses paupières ou à l’arrière de sa tête. Ses yeux Sa tête Ses organes génitaux Le hoquet
Sommeil et troubles du sommeil chez le nourrisson, ce qu'il faut savoir Après l'arrivée de bébé, les parents se posent rapidement des questions sur leur sommeil. Est-ce normal qu'ils dorment aussi peu, ou au contraire autant ? Quand fera-t-il ses nuits ? Est-ce une bonne idée de le laisser dormir avec nous ? Pourquoi les spécialistes conseillent la position sur le dos ? Dans cet article nous essayerons de répondre à toutes ces interrogations. Comprendre les spécificités du sommeil de bébé Avant toute chose, il n'est pas inintéressant de rappeler, que le bébé, à sa naissance a une physiologie différente de celles l'enfant et de l'adulte et cela concerne également son sommeil.Entrevoir les difficultés à s'endormir et à dormir du bébé doit tenir compte de la spécificité du sommeil du nouveau-né. Le plus important est d'apprécier la qualité et la quantité du sommeil du bébé en fonctionde ses besoins , chaque bébé étant unique. Il faut également être soucieux de respecter le rythme de chaque bébé. Le sommeil doit être réparateur. Autres question, autres réponses
Diagnostiquer les douleurs et maladies comme étant d'origine psychologique est non fondé et dépassé en s'appuyant sur le « modèle biopsychosocial », explique Howard B. Pikoff, chercheur en psychologie à l'Université de l'État de New York à Buffalo, dans un chapitre du livre . « Ce modèle, bien que n'étant pas exempt de critiques, fournit un cadre utile pour comprendre les multiples déterminants de la maladie », rapporte-t-il. « On ne peut pas en dire autant de son prédécesseur, le “modèle psychogénique” » dont persistent quelques vestiges. Le modèle psychogénique Fondé sur la psychanalyse du 19e siècle (années 1800), le modèle psychogénique considère les maux de tête, la fibromyalgie et de nombreux autres troubles douloureux comme étant des « problèmes psychologiques déguisés ». « Ce n'est que depuis quelques décennies que ce modèle a commencé à relâcher son emprise sur la médecine », rapporte-t-il. Le concept de « psychogénèse » a véritablement commencé avec Freud et s'est imposé jusque dans les années 1950, retrace-t-il. Le déclin du modèle psychogénique Le modèle biopsychosocial
Importance du mouvement dans le développement de la personnalité Dès 1959, R.W. White [2][2] R.W. White « Motivation reconsidered : the concept... a attiré l’attention sur le fait que non seulement le mouvement actif, initié par soi-même mais aussi la perception de l’effet lié à l’acte, le désir de provoquer un changement par le mouvement, l’efficacité, le sentiment de compétence peuvent être considérés comme des besoins fondamentaux de l’homme et que leur apparition est observable dès la naissance. Dans les années 1970, un nombre croissant de chercheurs ont constaté l’influence de la précocité de l’expérience de compétence — ou son absence — sur le développement futur de la personnalité. Selon R.W. Il est évident que les trois aspects du problème sont en relation avec le développement, mais c’est le dernier point qui est le plus fondamental. » Malgré l’évolution des connaissances actuelles, la représentation du bébé comme un être passif et impuissant reste dominante : si quelque chose le dérange, il pleure et s’il pleure, il faut le calmer.