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Pourquoi faut-il plus que jamais apprendre ?

Pourquoi faut-il plus que jamais apprendre ?
Article publié sur le site par Marc Dennery: sociaux, moteurs de recherche, chaînes YouTube… la connaissance est au bout de notre smartphone. Mobilisable quand on veut où l’on veut. Apprendre les fondamentaux du métier L’acquisition des fondamentaux d’un métier ne peut se faire qu’à travers un minimum de temps d’apprentissage organisé. Se mettre dans une posture d’apprentissage, c’est-à-dire d’acquisition systématique de connaissances avec accompagnement pédagogique, fait gagner un temps non négligeable. Aujourd’hui, la tendance est au savoir immédiat. Cette maîtrise des savoirs fondamentaux d’un métier, c’est ce qui fait la différence entre le professionnel et l’amateur. C’est aussi ici que résident les limites de l’autodidaxie. L’expert, le professionnel qui maîtrise déjà à la fois les connaissances de base et réalise de façon autonome son job a-t-il encore besoin d’apprendre ? Apprendre à apprendre Related:  FormationMETODO

Le Répertoire National des Certifications Professionnelles (RNCP) (Résumé descriptif de la certification) - Commission nationale de la certification professionnelle Le Vendeur-Agenceur de cuisines et de salles de bains est un commercial, technicien, agenceur décorateur. Il accueille et informe le client dans les points de vente. Il renseigne sur les caractéristiques de produits. Il détermine avec lui son projet d’agencement. Il négocie et concrétise la commande, s’assure du suivi de chantier et de la satisfaction du client. Ses blocs d’activités sont les suivants : Activité 1 : Vente Il accueille le client, identifie ses besoins et le conseille sur son projet. Activité 2 : Conception de projet Il vérifie les caractéristiques des surfaces à aménager et des pièces adjacentes. Activité 3 : Gestion des dossiers Il gère tous ses dossiers clients de la prospection à la pose. Activité 4 : Suivi de chantiers Il s’assure de la faisabilité du chantier. Activité 5 : Développement commercial Il réalise une veille commerciale et technologique.

Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene L’enfant est doté d’intuitions profondes en matière de repérage sensoriel du nombre. Avant tout apprentissage formel de la numération, il évalue et anticipe les quantités. Apprendre à compter puis à calculer équivaudrait à tout simplement tirer parti de ces circuits préexistants, et, grâce à leur plasticité, à les recycler. L’apprentissage formel de l’arithmétique se « greffe » sur le « sens du nombre » présent chez l’enfant, et sollicite la même zone cérébrale. Le maître-mot, alors, est la plasticité cérébrale. Car c’est précisément ce qui nous permet d’apprendre. Les circuits cérébraux : des capacités disponibles dès l’origine Les circuits cérébraux qui sous-tendent les apprentissages ne sont d’ailleurs pas si variés. L’apprentissage de la lecture active une région spécifique, mais il mobilise et active aussi d’autres zones. Différentes zones du cerveau Mais ce recyclage n’est pas une simple réutilisation. Comment alors passe-t-on d’une lecture ânonnante à une lecture fluide ? 1. 2.

5 principes issus des neurosciences pour favoriser l'apprentissage en formation Quels sont, à votre avis, les avantages et inconvénients des pédagogies actives, ludiques et participatives ? Si les entreprises semblent conscientes de la nécessité d’amorcer un virage pédagogique dans leurs formations, elles sont parfois réticentes à l’idée de passer à l’action : est-ce vraiment utile et pertinent ? De mon point de vue, la réponse est indéniablement : OUI ! Et les recherches scientifiques menées ces dernières années vont clairement dans ce sens. Découvrez 5 principes essentiels issus des recherches en neurosciences pour mieux favoriser l’apprentissage dans vos formations. 1. Tous les êtres humains disposent d’une mémoire de travail. Le problème de notre mémoire de travail, c’est qu’elle dispose d’une capacité très limitée : elle ne peut conserver simultanément que 7 éléments (+/- 2 en fonction des individus) pendant une période de 30 secondes. De plus, les recherches montrent que l’attention des apprenants chute naturellement au bout d’environ 10 minutes. 2. 3. 4. 5. J.

Concevoir des déroulés pédagogiques avec la taxonomie de bloom Malgré un nom un peu barbare, la « taxonomie de Bloom » c’est très simple : c’est un schéma qui permet de regrouper des actions (ou opérations) comme « choisir », « assembler », « décrire », « interpréter » ou « schématiser » au sein de grandes catégories cognitives. L’intérêt ? Mesurer les compétences de manière plus globale, analyser l’apprentissage de chacun et ainsi adapter les objectifs pédagogiques des formations. De quoi suis-je capable ? C’est en 1956 que Benjamin Bloom, psychologue en éducation, a fait émerger une classification des compétences impliquées dans l’apprentissage. 1) La connaissance : c’est le fait de mémoriser des informations.Opérations : définir, dupliquer, nommer, identifier, reproduire, etc. 2) La compréhension : c’est le fait d’interpréter de l’information en fonction de ce qui a été appris.Opérations : classifier, décrire, reconnaître, reformuler, traduire, etc. Comment et pourquoi l’utiliser en formation ?

Les 4 piliers de l'apprentissage d'après les neurosciences D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. L’attention L’attention est la capacité que nous avons à nous ouvrir à la réalité : l’attention ouvre notre esprit. Le mouvement cérébral qui va nous permettre d’orienter notre action en fonction d’un objectif, d’un centre d’intérêt… Grâce à elle, nous captons, par nos cinq sens, les différentes informations en provenance soit de notre environnement, soit de notre ressenti émotionnel ou psychologique. Stanislas Dehaene ajoute que l’attention sert à sélectionner les informations, module massivement l’activité cérébrale et facilite l’apprentissage. Mais l’attention peut être sélective. Quelles conséquences pour l’enseignement ? La tâche la plus important des enseignants est de canaliser et captiver, à chaque instant, l’attention de l’enfant. 2. 3. 4.

Sciences cognitives et apprentissage – 5/5 - le blog de Solerni – plateforme de MOOCs Quel est ton mode d’apprentissage : visuel, auditif ou kinesthésique (VAK) ?C’est certain, un camarade de classe vous a déjà demandé quelle type de mémoire fonctionnait le mieux chez vous : visuelle, auditive, kinesthésique. Cette affirmation se fonde sur l’idée qu’il existe différentes modalités d’#apprentissage et que nos manières d’apprendre sont suffisamment différentes pour nécessiter des méthodes d’enseignement différenciées. Bien que cette notion de style d’apprentissage soit très présente dans les magazines et livres portant sur l’apprentissage et la pédagogie, aucune étude ne vient corréler celle-ci, au contraire3,4.

Des usages numériques en Économie et gestion Le groupe projet « Des usages numériques en Économie et gestion » vous propose différents parcours en utilisant les outils numériques de l’académie de Versailles : la plateforme Éléa et les outils de l’ENT. L’objectif du groupe est de montrer une variété de possibilités des usages numériques répondant à des fins pédagogiques et didactiques précises. Une réflexion, proposée par Benoit Fernandes-Freitas, professeur d’économie et gestion au Lycée professionnel de Bezons concernant l’usage des outils numériques dans la voie professionnelle permet de mettre en lumière les corrélations entre numérique et attente rédactionnelle de l’élève. Pourquoi la e-pédagogie ? Avec les outils proposés par l’Académie de Versailles, il est possible de combiner plusieurs approches pédagogiques afin de renforcer les apprentissages par des entrées variées. Tous les parcours proposés sont des séquences pédagogiques testées durant l’année 2020.

Réflexions sur les styles d’apprentissage Nous avons tous, consciemment ou inconsciemment, une façon d’apprendre dans laquelle nous sommes plus à l’aise. Les apprenants en face de nous aussi. Aussi est-il important de réfléchir sur notre (ou nos) façon(s) d’apprendre qui sont aussi notre façon d’enseigner. Et comme nous voulons bien travailler, nous « imposons » notre style aux apprenants, dans un souci de bien faire… Mais, est-ce le même style d’apprentissage pour nos apprenants ? Je vous propose deux sites. Le premier donne quelques clés théoriques simples : Le second permet de se tester selon les styles d’apprentissage de Kolb. Il y a bien sûr d’autres théories mais celle-ci a le mérite d’être claire.

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