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11 septembre : des membres de l’Administration Bush parlent… Et c’est intriguant Jusqu’à présent, ceux qui mettaient en doute la version officielle des attentats du 11 septembre étaient considérés et désignés comme des « conspirationnistes ». Ils étaient généralement opposés à l’équipe de néo-cons qui ont dirigé l’Amérique et l’ont amenée à enlever des gens, les détenir dans des prisons secrètes et les torturer. Il est donc particulièrement intéressant de constater que ce sont désormais des membres de l’Administration Bush qui parlent. Reflets va aborder ces sujets en deux articles. Le 11 septembre, c’est une vieille histoire. Quelque chose a l’air de changer aux Etats-Unis et il faut s’en réjouir. Mais revenons aux révélations de Truthout. Les informations obtenues par l’Asymmetric Threats Division avant le 11 septembre 2001 sont variées et précises, selon Iron Man. Dans un deuxième article, publié le 11 août 2011, Truthout va encore plus loin.

Land Grabs It's not necessarily a problem when wealthy companies invest in agricultural land in poor countries for commercial use. But when families are kicked off the land or less food is grown as a result, that's a very big problem indeed. Recent data indicates that at least 33 million hectares of land deals have been identified since 2001 – an area 8 times the size of the Netherlands. And since the food price spikes of 2008, that's been happening more and more. Demand for land has soared as investors look for places to grow food for export, grow crops for biofuels, or simply buy-up land for profit. But in many cases, land sold as “unused” or “undeveloped” is actually being used by poor families to grow food. Why it matters Cambodia: Losing Ground – Acclaimed photographer Emma Hardy and writer Nicholas Shakespeare created an exhibition to show the effects of land grabs in Cambodia. How you’ve helped so far What more can I do to help? Getting to grips with land grabs is possible.

Natural Resources and Environment: À propos des Directives volontaires sur le foncier Quel est l’objectif des Directives? Les Directives ont pour objectif de promouvoir la gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts, en prenant en compte toutes les formes de régimes fonciers: publics, privés, communautaires, autochtones, coutumiers et informels. Leur but ultime est de garantir la sécurité alimentaire pour tous et de promouvoir la concrétisation progressive du droit à une alimentation adéquate dans le contexte de la sécurité alimentaire nationale. Tout en soutenant les efforts visant à éliminer la faim et la pauvreté, les Directives visent également à faire en sorte que les populations disposent de moyens de subsistance durables et à assurer la stabilité sociale, la sécurité en matière de logement, le développement rural, la protection de l’environnement, ainsi qu’un développement économique et social durable.

Bistro Bar Blog L’accaparement des terres | Elevages sans frontières Quand les investisseurs assèchent l’Afrique. L’accaparement des terres désigne la vente, la location ou la cession de terres arables à grande échelle entre un État et un investisseur local ou étranger, public ou privé. Même si le phénomène n’est pas nouveau, il a été accentué par la crise économique et la flambée des prix alimentaires en 2008 au point d’atteindre des proportions gigantesques en Afrique. 45 millions d’hectares auraient été «achetés» en Afrique subsaharienne entre 2007 et 2011 (dont les deux-tiers seraient destinés au secteur des agrocarburants). Au Bénin par exemple, 10% des terres arables sont désormais sous contrôle d’intérêts étrangers. Au départ, le rachat des terres cultivables s’est présenté sous le masque du contrat «gagnant-gagnant» et les pays hôtes se sont laissés séduire par les promesses de développement économique, notamment en termes de créations d’emplois et d’infrastructures. Source : GRAIN – www.grain.org par Elevages sans frontieres

Is the tide turning for Africa’s investment treaties? Does the Benin-Canada treaty signal a genuine shift in investment treaty-making? Photo: Daniel Tiveau/CIFOR Investment treaties, or preferential trade agreements that include chapters on investment, are international treaties that promote foreign investment flows through protecting investments by nationals of one country against adverse interference from the government of the other country. The United Nations estimates that some 3,000 investment treaties have been concluded worldwide. How does the Benin-Canada investment treaty measure up? In some ways, the Benin-Canada bilateral investmnet treatry (BIT) looks different from many other treaties currently in force in Africa: some of its rules are formulated more carefully to reconcile investment protection with a wider set of policy goals. Take the legal requirement for the two governments to accord to each other’s investors “fair and equitable treatment”, which is found in virtually all BITs. A changing global context Push for change

Les multi-milliards de la chasse aux terroristes et l’évaporation de la classe moyenne Le gouvernement américain (Maison Blanche et Congrès) dépense 10 milliards de dollars par mois, ou 120 milliards de dollars par an, pour combattre un groupe estimé à “50-75 membres d’Al Qaïda en Afghanistan”, d’apès la CIA et rapporté par le Financial Times de Londres (25 Juin 2011, page 5). Pendant les trente derniers mois de la présidence d’Obama, Washington a dépensé 300 milliards de dollars en Afghanistan, ce qui nous fait un total d’environ 4 milliards de dollars pour chaque soi-disant “membre d’Al Qaïda”. Si nous multiplions ce chiffre par les quelques deux douzaines de sites ou de pays où la Maison Blanche clâme que des “terroristes” d’Al Qaïda ont été vus, nous pouvons commencer à comprendre pourquoi le déficit du budget états-unien a augmenté de manière astronomique à plus de 1 600 milliards de dollars pour l’année fiscale en cours. Plusieurs hypothèses viennent alors à l’esprit: Mauvaises analyses, stratégies éronnées: un désastre à mille milliards de dollars Conclusion

Non à l'accaparement des terres Je signe le manifeste Depuis la crise économique et la flambée des prix alimentaires en 2008, le phénomène d'accaparement de terres arables par des investisseurs étrangers a pris une proportion gigantesque en Afrique. Développement des agrocarburants, spéculations foncières ou expropriations, ces importantes transactions financières manquent souvent de transparence et constituent une menace réelle. Pourtant, il est rare qu'ils fassent l'objet d'études d'impact, autant sur les populations locales que sur la biodiversité des milieux naturels. La terre est à la base de la vie sociale en Afrique. Active au Togo depuis 2003, l'antenne locale d'Elevages sans frontières est témoin de ce phénomène. Concrètement, notre association met en place des projets d'élevages générateurs de revenus. Cette action de terrain valorise au quotidien la biodiversité des sols, l'économie locale et défend la souveraineté alimentaire de tout le pays. Pour soutenir cet appel, merci de signer notre pétition.

L'Observatoire du Foncier BUG BROTHER | Qui surveillera les surveillants ?

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