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Lola Montès, le film de Max Ophuls enfin restauré ! – La Cinémathèque française

Entretien avec François Ede à propos de la version restaurée de "Lola Montès" François Ede, directeur de la photographie, s’intéresse depuis longtemps aux différentes techniques du cinéma et à celle qu’il connaît plus particulièrement sur le bout du doigt, la prise de vues et tout ce qui touche aux images de film, à leur traitement et à leur pérennité.Il a participé, entre autres restaurations, à celle de Jour de fête de Jacques Tati, film tourné en noir et blanc mais aussi, en parallèle, sur pellicule couleur avec le procédé Thomson Color, et, en 2002, à celle de Playtime qui avait été tourné en 70 mm.François Ede est membre du Conservatoire des techniques cinématographiques de la Cinémathèque française. Une version restaurée de Lola Montès sera projetée à Cannes en sélection officielle dans la section Cannes Classics, peux-tu nous dire comment tu as été amené à participer au travail de sa restauration ? Photogramme de sélection trichrome au format 1:2,55 "Lola Montès" photographié par Christian Matras © Les Films du Jeudi Photogramme au format de projection 1:2,35

La Cinémathèque française : La Triangle - Archives, photos et films - Les films Triangle - La restauration de The Desert Man Le film En 1917, William S. Hart réalise et interprète The Desert Man , western supervisé par Thomas Harper Ince pour la société de production New York Motion Picture Corporation - Kay-Bee. Le tournage s'étend de mi-décembre 1916 à début février 1917. La distribution aux États-Unis est assurée par la Triangle Film Corporation à partir du 22 avril 1917. Résumé : alors qu'il traverse le désert, le chercheur d'or Jim Alton (William Hart) rencontre une femme mourante qui l'implore de s'occuper de son enfant, le petit Joé. La Cinémathèque française conserve une copie d'exploitation nitrate d'époque teintée, distribuée en France par Ciné-Location Eclipse à partir du 24 décembre 1920, sous le titre La Cité du Désespoir . the-desert-man#%@01#%@493#%@700 the-desert-man#%@02#%@437#%@700 La datation du tirage a été possible grâce à une indication sur le support filmique, introduite par le fabricant américain Kodak, aux alentours de 1917. the-desert-man#%@03#%@728#%@705 the-desert-man#%@04#%@727#%@700 .

Brune Blonde Le cinéma a fait des cheveux de femmes un motif essentiel de son esthétique et de sa mythologie. Héritier de la peinture et de la littérature, il prolonge cette fascination pour la chevelure féminine et la gestuelle qui lui est liée. Dès son origine, les cinéastes et leurs chefs opérateurs ont vu tout le parti qu'ils pouvaient tirer des cheveux comme forme et matière privilégiées dans la construction plastique de leurs plans. Cet intérêt du cinéma pour la chevelure traverse aussi la grande Histoire dont elle accompagne les mutations et les heures les plus sombres. Construite sur des mises en rapport ouvertes à la subjectivité du visiteur, cette exposition invite à parcourir tous les passages inédits, et parfois secrets, qui existent entre cinéma, peinture, photographie, histoire et mythologie dans la représentation de la chevelure féminine. Alain BergalaCommissaire de l'exposition Brune/Blonde Marion LangloisChargée d'éditions en ligne

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"L'Ordinateur au secours du 7ème Art : les débuts de la restauration numérique de films" par Jean Segura Janvier 2000 L'Ordinateur au secours du 7ème Art : les débuts de la restauration numérique de films par Jean SEGURA Blanche-neige et les 7 nains : le chef-d'œuvre de Disney de 1937 restauré par Cinesite (Kodak) en 1992 L’arrivée des techniques informatiques au labo va permettre de donner une nouvelle chance aux films qui pourrissent dans leurs boîtes. On croyait les stars du cinéma immortelles. Certains, depuis presque dix ans, font appel à des prestataires spécialisés dans le cadre du plan “ Nitrate ” lancé par le Ministère de la Culture, pour restaurer des chefs d’œuvres du muet et des débuts du parlant. Un des premiers travaux de restauration numérique en France à été la remise en état de “ bandes ” réalisées par Etienne Jules Marey Comment se fait le travail de restauration ? La robe verte portée par Kim Novak (Judy) lors du tournage de Sueurs Froides en 1958 a servi à retrouver les couleurs initiales du film d'Hitchcock lors de sa restauration pour sa ressortie en 1997. Jean SEGURA

Mus�e de l'Image | Ville d'�pinal - Les Ann�es Martine, images d'enfance 1954-1965 Ce site est optimisé pour une résolution d'écran de 1024 x 768 pixels, et nécessite un lecteur Flash, disponible ici gratuitement. Lola Montes de Max Ophuls Un cirque gigantesque à la Nouvelle-Orléans, vers 1880. On y représente la vie extraordinaire de Lola Montès, 'une des courtisanes les plus fêtées de son époque et qui fut anoblie comtesse de Landsfeld par le roi de Bavière avant d'être chassée de ce pays par des émeutiers. Aujourd'hui, elle est réduite à jouer, sous la conduite d'un écuyer complaisant et lui aussi amoureux d'elle, sa "scandaleuse carrière de femme fatale". Défilent sous nos yeux : sa liaison avec Liszt, son mariage manqué avec l'ex-soupirant de sa mère, ses frasques avec un chef d'orchestre italien et l'épisode le plus fabuleux : son idylle avec le roi Louis 1er de Bavière, qui déclencha une révolution. À présent, vieillie, malade, elle continue, contre l'avis de ses médecins, à mimer ses triomphes et sa déchéance. Dernier film de Max Ophuls, Lola Montes est souvent considéré un peu à tort comme le testament du réalisateur, le sommet de son art baroque, celui où le style prédomine sur le contenu dramatique.

Mus�e de l'Image | Ville d'�pinal - Les petits bonheurs, images p�dagogiques des ann�es 60 Site optimisé pour une rsolution 1024 x 768 - Ce site nécessite la dernière version de Flash Player, téléchargez-le gratuitement en suivant ce lien. « Il faut écrire comme on se souvient » : la poétique de Max Ophuls La grandeur de l’artiste tient à son pouvoir d’imaginer la vérité du réel.Goethe 1Joseph Joubert note dans ses Carnets : « Il faut écrire non comme on sent mais comme on se souvient. » Joubert poserait-il une incompatibilité entre le sentiment, voire la sensation, et le souvenir ? Ce n’est pas ce que j’entends dans son aphorisme. J’y vois plutôt un double paradoxe : l’exigence d’une distance, d’un recul qui devrait conserver au souvenir sa vérité et, tout ensemble, le consentement à cet inévitable qui veut que toute mémoire soit trompeuse/trompée – subjective, comme on dit. 2L’écrivain qui a, peut-être, le plus médité sur ces deux fois est Cesare Pavese. « Nous sommes émus parce que nous avons déjà été émus. » « Nous admirons seulement ce que nous avons déjà admiré… » « Les symboles que chacun porte en lui – il les reconnaît et son cœur tressaille – sont ses souvenirs authentiques. 3Rassurons-nous, nous n’avons pas quitté Ophuls. 10Nous touchons ici la poétique d’Ophuls.

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