Chinafrique : caricature images Site Web pour cette image Le gros cadeau de Hu Jintao blog.lefigaro.fr Recherche par imageImages similaires Les images peuvent être soumises à des droits d'auteur. 10 chiffres sur l'Afrique qui pourraient vous surprendre L’Afrique, le continent des problèmes, des possibles, des défis ? Mise à jour 7/6/16 : l’erreur de localisation du port d’Abidjan est corrigée (merci au lecteur attentif qui nous l’a signalée !) Au programme de Terminale figure un chapitre intitulé « Le continent africain face au développement et à la mondialisation ». Dans ce cadre, les élèves doivent pouvoir réaliser un croquis sur le thème « Le continent africain » : contrastes de développement et inégale intégration dans la mondialisation ». Si vous recopiez la carte, n’oubliez pas de réaliser la légende sur une feuille blanche à part, comme le jour de l’examen, et de ne pas l’entasser en bas de la carte comme ci-dessous. Voici la légende de la carte au format texte : A.
untitled Ci-dessous quelques caricatures sur le thème de l'Afrique du dessinateur Patrick Chappatte qui publie dans Le Temps de Genève et dans l'International New York Times. Elles traitent l'Afrique sous l'angle : - économique : un continent plutôt en marge de la mondialisation et dont le développement a tendance à creuser les inégalités existantes. - politique : des Etats souvent faillis voire corrompus qui font souvent le lit de guerres civiles ou du terrorisme. - Social : des inégalités souvent plus fortes que partout ailleurs, une très grande pauvreté poussant à l'émigration, pas toujours légale, une grande quantité d'africains. Bien sur l'Afrique n'est pas que cela, c'est un continent qui a des ressources, matérielles et humaines nous le verrons en classe, mais si l'on suit l'actualité c'est le plus souvent cet angle misérabiliste qui est utilisé pour traiter du continent. Une illustration du paradoxe entre développement et développement durable, qui reste une préoccupation de pays riche ?
L’Afrique : un continent émergent ? Café géographique de Paris, Mardi 30 janvier 2018Café de Flore, Paris Intervenants : Alain Dubresson, Géraud Magrin, Olivier NinotAnimatrice : Elisabeth Bonnet-Pineau Après une présentation des trois intervenants, tous géographes spécialistes de l’Afrique et auteurs d’un excellent Atlas de l’Afrique paru aux éditions Autrement en 2016, l’animatrice (EBP) lance le débat en pointant les changements accélérés et d’une ampleur inégalée du continent africain qui sont porteurs autant d’opportunités que de défis. Propos liminaires sur les thèmes généraux du développement et de l’émergence (Géraud Magrin) L’atlas qui sert de base à ce café géo n’est ni tout à fait descriptif, ni exhaustif : c’est un atlas à thèmes et à thèse (voire à hypothèses). Une des thèses de l’atlas est la diversification croissante des situations au sein de ce continent, tant à l’échelle des pays que des territoires à d’autres échelles. Le thème transversal de l’urbanisation du continent africain (Alain Dubresson)
L'accès à internet en Afrique, un défi pour les entreprises transnationales Le drône de Facebook, Aquila, qui fonctionne à l’énergie solaire, doit donner un accès à internet aux zones qui en sont dépourvues. (photographie Facebook, Eye Press, AFP. Légende du Monde) L’explosion, le jeudi 1er septembre 2016, du « satellite de Facebook » a relancé le débat sur le projet de la firme californienne d’élargir l’accès des campagnes africaines à internet. Les interrogations portent essentiellement sur les arrière-pensées de Facebook qui pourrait chercher à s’imposer dans les pays émergents et sur le continent africain avant l’apparition d’une concurrence locale (à l’image de VKontacte en Russie ou Wechat en Chine). Le satellite en question était installé sur une fusée Falcon 9 de la société SpaceX qui a explosé le 1er septembre 2016 à Cap Canaveral (Floride). « L’explosion de la fusée de SpaceX détruit un satellite de Facebook », Courrier International Sciences, 2 septembre 2016. « Téléphone mobile : outil de développement ?
Soudan du Sud : la guerre civile, la faim et la fuite Il y a dix jours, les Nations Unies préviennent : la planète est confrontée à la "pire crise humanitaire depuis la fin de la Seconde guerre mondiale", avec un risque de malnutrition et de famine pour 20 millions d'habitants ! Sur une zone allant du Nigeria au Yémen, en passant par le Soudan du Sud. Le 20 février, à cause d'une guerre civile, le gouvernement de cette République d'Afrique orientale naissante déclare lui-même certaines parties du nord du pays en état de famine. Indépendant du Soudan depuis 2011, après un processus d'auto détermination, le Soudan du Sud a plongé en décembre 2013 dans un affrontement particulièrement sanglant entre les partisans du président Salva Kiir et ceux du vice-président Riek Machar. Je suis restée presque une semaine avec un peu d'eau et à manger des racines Il y a déjà eu des dizaines de milliers de morts et de viols et plus de trois millions de déplacés, en particulier en Ouganda, malgré un accord de paix en août 2015 puis un gouvernement d'union.
Botswana: les diamants ne sont pas (toujours) éternels On a frôlé la guerre diplomatique entre Londres et Gaborone, avec l’annulation de dernière minute par la princesse Anne, fille de la reine Elizabeth II, de sa participation aux cérémonies du cinquantenaire de l’indépendance du Botswana ce vendredi 30 septembre. Tout est rentré dans l’ordre depuis, le frère de la princesse - le prince Andrew - ayant accepté de la remplacer. Il y avait toutefois peu de risques que cette défection princière entame les célébrations prévues par les dirigeants du Botswana pour commémorer la fin de la domination anglaise. L’absence de la princesse serait passée d’autant moins inaperçue que pour la majorité des 2 millions de Botswanais, qui ont moins de 18 ans, la colonisation britannique appartient aujourd’hui bel et bien au passé. Force est de constater que, depuis, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts de l’histoire. De Bechuanaland au « miracle africain » La découverte des mines de diamants a changé la donne de tout en tout dans le Botswana postcolonial.
L’Afrique peut quadrupler la part des énergies renouvelables d’ici 2030 Les énergies renouvelables, de moins en moins chères, pourraient couvrir près du quart des besoins énergétiques du continent africain d’ici 2030, soit quatre fois plus qu’actuellement, selon un rapport publié lundi 5 octobre par l’Agence internationale des énergies renouvelables (Irena). Alors qu’en 2013, les énergies vertes (éolien, solaire, hydroélectricité, biomasse, etc.) couvraient 5 % des besoins énergétiques du continent, elles pourraient atteindre 22 % d’ici 2030, assure l’Irena dans son rapport « Africa 2030 », qui se veut une « feuille de route » pour la transition énergétique en Afrique. Lire aussi : Électrification de l’Afrique : le rapport choc de Kofi Annan « L’Afrique détient quelques-unes des meilleures ressources en énergie renouvelable au monde », a commenté Adnan Z. Amin, le directeur général de l’Irena, cité dans le rapport. Du défi de doubler la production d’énergie d’ici 2030 Lire aussi : Chinafrique : « Les barrages sont une catastrophe pour l’environnement »
L'Afrique reste la plus touchée par la crise des réfugiés | Afrique Renouveau En Ligne Les pays européens font face à un afflux de réfugiés sans précédent en provenance de Syrie, d'Iraq, ou d'Afghanistan. Les médias diffusent en boucle des récits choquants de femmes et d'enfants noyés en Méditerranée. Mais la détresse provoquée par la crise des réfugiés en Europe a occulté les efforts fournis par les pays africains confrontés aux mêmes problèmes. Selon les Nations Unies, les pays en développement, notamment en Afrique, accueillent un nombre disproportionné de réfugiés - 80 % des réfugiés dans le monde - qui exercent une pression énorme sur les ressources en eau et les systèmes de santé. Selon le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR), le nombre de personnes fuyant la guerre, les conflits internes, la sécheresse ou la précarité économique est à un record historique de 65,3 millions, dont 21, 3 millions de réfugiés, plus de la moitié a moins de 18 ans ; le reste étant des migrants économiques et des déplacés. Politique de la porte ouverte M. M.
Le miracle Botswana C’est un carrefour où les passeports collectionnent les tampons. Au poste frontière de Kazungula, la rivière Chobe prête ses berges à quatre nations : à l’ouest, la Namibie et ses plaines inondées ; au nord, la Zambie et ses herbes jaune soufre ; à l’est, le Zimbabwe et ses forêts de tamariniers ; au sud, une savane infinie où se répand l’odeur sucrée des fleurs d’acajou : le Botswana. Ignorant les frontières et les contingences de l’Histoire, un éléphant dérive au milieu des eaux bleu paon. Quant au respect des règles démocratiques, il est régulièrement salué par les ONG. Lors de son indépendance, il y a cinquante ans, le Botswana avait pourtant peu d’atouts dans son jeu. Un grand bond en avant En 1966, le nouvel Etat comptait parmi les vingt-cinq plus pauvres au monde. Sources : Banque mondiale ; PNUD ; Unicef ; gouvernement du Botswana. L’indépendance acquise pacifiquement et l’accession au pouvoir du charismatique Seretse Khama ne furent pas les seules composantes du «miracle».
L’Afrique, les défis du développement Le groupe qui a travaillé le thème de l’Afrique est composé de Xavier Beinaert (Lycée Pasteur de Lille), d’Olivier Fumery (lycée Voltaire de Wingles), de Désiré Hochedez (lycée Châtelet de Douai), d’Olivier Mathieu (Lycée Henri Darras de Lievin) et de Vincent Perlot (lycée Paul Duez de Cambrai). Quel travail cartographique sur ce thème ? La fiche eduscol correspondant à cette question du développement en Afrique suggère, après un premier croquis à l’échelle du Sahara (« ressources et conflits ») un croquis à l’échelle continentale intitulé « les contrastes de développement en Afrique ». Le groupe de collègues propose ici un croquis analytique qui permet d’accompagner efficacement le cours sur « le continent africain face au développement et à la mondialisation ». Vous trouverez le fond de carte « élèves » préparé qui permet de gagner du temps en cours, la légende complétée et à compléter pour les élèves, le diaporama correspondant ainsi que le croquis finalisé en format PDF. V.
Pourquoi on meurt encore de faim en Afrique "La pire crise humanitaire depuis la fin de la Deuxième guerre mondiale" risque de se produire selon l'ONU, si aucune intervention d'urgence n'est menée en Afrique. Plus de 20 millions de personnes sont menacées par la famine dans quatre pays : Soudan du Sud, où la famine a été déclarée, Nigeria, Yémen, et Somalie, où l'insécurité alimentaire est critique. Quatre causes déterminantes sont expliquées en cartes animées pour comprendre pourquoi la famine réapparaît en 2017. Quand la famine est déclarée, il est déjà trop tard. En Somalie, en 2011, 100 000 personnes étaient déjà mortes quand a été sonnée l'alerte internationale. Ces raisons essentiellement politiques - guerres et importance donnée au développement agricole, expliquent pour une grande part pourquoi ces quatre pays sont concernés par l'insécurité alimentaire, au point que plus de 20 millions de personnes sont menacées par la famine. - "Soudan du Sud : la guerre civile, la faim et la fuite", reportages vidéo
« L’Afrique en villes », notre série d’été en 28 épisodes, 15 reporters et 10 000 km Retenez bien ce chiffre : 2035. C’est l’année où, en Afrique, il y aura autant de citadins que de gens vivant dans les zones rurales. Une étape symbolique que le continent franchira quatre-vingt-cinq ans après la France, mais avec des paramètres bien différents. Une vitesse inconnue dans l’Histoire Bien sûr, les pays les plus développés du continent – Afrique du Sud, Maroc ou Côte d’Ivoire – ont déjà franchi ce seuil, et le Nigeria est sur le point de le faire. Sont-elles prêtes pour ce boom ? Ce grand voyage sera ponctué de 28 étapes dans onze pays pour raconter la vie en villes sous toutes ses facettes : santé, environnement, transports – ou plutôt embouteillages –, éducation, alimentation, planification, énergie, etc. Episode 1 Un milliard de citadins dans vingt ans : l’Afrique est-elle prête ? Mais les villes, ce sont aussi des gens. Lire aussi Ville vivable, ville durable ? Des villes nouvelles, des villes propres, il y en a aussi, dans les rêves des architectes du Togo ou du Ghana.