Intelligence artificielle : PlaNet de Google peut géolocaliser les photos
Google exploite fréquemment l’apprentissage automatique (machine learning) pour alimenter des systèmes basés sur des réseaux de neurones. C’est dans le domaine de la reconnaissance d’images que la firme de Mountain View s’est illustrée avec un réseau de neurones convolutionnel (type de réseau fréquemment utilisé pour la reconnaissance d’images). PlaNet – c’est le nom de la machine basée sur un tel réseau – est capable de trouver l’endroit où une photo a été prise simplement sur la base du cliché lui-même et donc sans aucune metadata de type données de géolocalisation. Il est évidemment aisé d’y parvenir dans certains cas où par exemple un monument célèbre est présent sur le cliché. Mais, les choses se corsent rapidement « lorsque l’image manque d’indices spécifiques pour la localisation ou est prise à l’intérieur ou encore montre un animal de compagnie ou de la nourriture ou un autre détail », peut-on lire sur la revue scientifique du MIT.
Les constructeurs français peuvent-ils devenir leader des voitures autonomes ?
Imaginez, vous roulez tranquillement sur une route départementale (à 80 km/h, bien sûr). En face de vous, vous croisez une voiture… qui conduit toute seule. Ce n’est pas de la science-fiction ! Bruno Le Maire a en effet annoncé hier que les tests de voitures autonomes sur l’ensemble des routes de l’Hexagone allaient être autorisés dès l’année prochaine. Les grands gagnants de cette décision pourraient bien être les constructeurs et équipementiers français, qui vont pouvoir réaliser des tests grandeur réelle, là où beaucoup de concurrents ne peuvent le faire en raison de la législation des pays où ils ont leurs centres d’essais. Les industriels tricolores peuvent en effet se réjouir, car peu de pays autorisent de telles expérimentations.
- Intelligence artificielle : risque ou opportunité ? - Dossier d'actualité
Concept d’intelligence artificielle ©fotolia.com L’intelligence artificielle est-elle une réponse à des problématiques sociétales, environnementales et humaines ou représente-t-elle une menace pour l’humanité et le libre-arbitre des personnes ? Quels sont les atouts de la France et quelles sont les stratégies envisagées dans ce domaine ?
L’intelligence artificielle s'enrichit grâce à la fiction
Des chercheurs de l’Université de Stanford ont connecté leur base de connaissances à des centaines de milliers d’histoires de fiction, pour améliorer la compréhension de l’humain par l’intelligence artificielle. L’intelligence artificielle se développe(ra) dans tous les secteurs. Dans le domaine des transports avec les assistants virtuels et bientôt le véhicule autonome, dans la santé avec les nanobots et même dans le tourisme. Et cela inquiète. 65% des Français craignent cette autonomie croissante des machines, ces robots qui pourraient un jour avoir une conscience. En attendant, nombreux sont ceux qui cherchent à améliorer le rapport des systèmes d’intelligence artificielle aux humains. Parmi eux, une équipe de chercheurs de l’Université de Stanford a trouvé un nouveau moyen d’apprendre aux systèmes d’intelligence artificielle à mieux comprendre les comportements des hommes.
Un amputé teste la première prothèse de jambe entièrement contrôlée par l'esprit
Amputé d'une jambe dans sa jeunesse, cet homme a eu la chance d'être le premier patient à recevoir une prothèse bionique qu'il peut contrôler uniquement par la pensée, et de manière entièrement naturelle. Gummi Olafsson a de quoi être un homme heureux. Après avoir perdu la partie inférieure de sa jambe droite dans un accident de voiture lorsqu'il était enfant, cet homme peut se targuer d'être un des deux premiers utilisateurs d'une prothèse bionique contrôlée par l'esprit.
10-Intelligence artificielle et médecine : un vrai progrès ?
Ce mois-ci, les chercheurs de Google « ont fait les gros titres avec les résultats d’une étude qui affirme que leur système d’intelligence artificielle pourrait se révéler plus performant que les médecins pour détecter les cancers du sein à partir des mammographies ». Mais, même si l’intelligence artificielle pourrait probablement bénéficier au secteur de la santé, ces bénéfices « dépendront de la façon dont elle sera utilisée ». Si les médecins posent les mauvaises questions, cela se révèlera « un fiasco », et « pourrait même amplifier les erreurs commises ». Sur le sujet du cancer du sein par exemple, le dépistage est controversé depuis des décennies : « en soumettant des personnes asymptomatiques à des mammographies, on trouvera beaucoup de choses ressemblant à un cancer mais qui n’auraient jamais menacé la vie de personne ». Et le problème est qu’au moment du dépistage « il est presque impossible de savoir si une lésion donnée deviendra dangereuse ou inoffensive ».
Robin, l’assistant virtuel qui s’adapte à son utilisateur
Au même titre qu’un être humain calibre son discours en fonction de son interlocuteur, un assistant virtuel doit s’adapter à son propriétaire. Nous proposions récemment une prise de vue générale sur le marché de l’assistant virtuel, les applications potentielles et les défis à venir. Nous allons désormais nous pencher sur la manière dont l’assistant virtuel peut tisser des liens avec son propriétaire, s’adapter à celui-ci et répondre au mieux à ses attentes. Un enjeu crucial pour l’adoption de cette technologie, avec laquelle de nombreux humains ont la sensation de plonger dans l’inconnu. Jeune pousse de Paolo Alto spécialisée dans l’élaboration de logiciels capables de converser avec des humains, Robin Labs est principalement connu pour son produit phare, Robin, un assistant virtuel conçu pour la conduite. Un robot impertinent
Sur la 5G, ce qui est vrai, ce qui est faux et ce qu’on ne sait pas encore
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très bon article, d'un point de vue positif. Dans une société qui ne recherche que le progrès les intelligence artificiel sont elle indispensable ou non pour la conduite? Cet article complet explique tout, en donnant aussi des avis de divers constructeurs automobiles. by documentation_m22 Sep 28