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L’intelligence collective : le lâcher prise clé de l’innovation

L’intelligence collective : le lâcher prise clé de l’innovation
L’ordre asphyxie l’innovation ! Voilà ce qui se passe quand la société du savoir, où domine la diffusion d’informations, se heurte à la hiérarchie pyramidale des organisations. Les marchés économiques occidentaux arrivent à un seuil de stagnation inégalé. Conscientes du contexte actuel, les entreprises rencontrent pourtant des difficultés à adapter leur mode de management vertical aux évolutions inhérentes à cette société du savoir. Jeux de pouvoir Mobiliser le collectif. L’information joue alors un rôle clé dans la répartition du pouvoir d’une organisation. Et pour transformer ces informations en connaissances il est nécessaire de créer des situations propices au partage d’expériences individuelles. L’intelligence collective ne peut donc pas être appréhendée par les modes de management traditionnels. « Lâcher prise » ! Pour lui, la capacité à mobiliser le collectif s’acquiert en grande partie grâce au « lâcher prise ». Portrait Nicolas Moinet Portrait Olivier Zara

Architecture Organisationnelle L'intelligence collective, un véritable avenir pour l'édition Matthieu Nebra, entrepreneur du site du Zéro et cofondateur de Simple IT, propose des tutoriels et des cours destinés aux étudiants en informatique, gratuitement sur son site. Occasionnellement, ces contenus, qui entre temps ont été évalués, revus, corrigés grâce aux commentaires des lecteurs, peuvent être édités par Simple IT. Une façon comme une autre de proposer un ouvrage à jour, précis et bien construit, dans le contexte bien précis de l'édition scientifique. Matthieu Nebra n'y va pas par quatre chemins. « L'auteur est mort », déclare-t-il en guise d'introduction. Matthieu Nebra, fondateur du Site du Zéro et cofondateur de Simple IT L'auteur n'est plus le même à l'ère du web Son métier a en effet beaucoup évolué. Quand un « auteur » (c'est-à-dire un producteur de contenu : blogueur, journaliste, amateur, etc.) publie un texte sur internet, ce contenu est susceptible d'attirer trois types de lecteurs qui commenteront de façon assez spécifique : le débutant (« J'ai compris, merci !

L'information économique en Poitou-Charentes: EADS Sogerma vole les pieds sur terre Filiale d'EADS, Sogerma, dont le plus grand site se trouve à Rochefort, réalise 50 % de son chiffre d'affaires avec Airbus et se place en tête des équipementiers aéronautiques. Dans l'immense atelier d'EADS Sogerma à Rochefort, une poignée de commerciaux est venue du monde entier voir l'Ultimate 17, la nouvelle cabine « First Class » de l'équipementier, la plus luxueuse aussi. « Ces cabines, nous les vendons le prix d'une Rolls-royce et les compagnies vendent leurs billets près de 10 000 euros, alors la fabrication doit être irréprochable », s'exclame Philippe Enjelvin, directeur des ressources humaines. Une cabine qui fait partie des trois activités présentes sur le site rochefortais, avec les postes aérostructure et sièges techniques. Administration, production, service après-vente, design et bureau d'études... Gaëlle Chiron

Les nouveaux modes d’organisation peuvent-ils être mis à l’échelle Résumé : Les innovations managériales que l’on peut voir dans les structures de taille moyenne peuvent elles fonctionner dans un grand groupe ? La question mérite d’être posée et a priori on s’attend à une réponse négative. Si l’on étudie de près quelques cas en vogue il apparait qu’il ne faut surtout pas répliquer le modèle à grande échelle mais au contraire, reconstruire la grande entreprise sur des principes d’entités plus petites et réactives. La tentative de trouver des structures de pilotage adaptées à des entités plus grandes ayant, justement, entrainé les dysfonctionnements que l’on voit aujourd’hui. Le seul dispositif susceptible de fonctionner à grande échelle est celui de la communauté…qui connait souvent l’échec car trop souvent instrumentalisé. Reste, enfin, que les deux approches ne sont pas incompatibles, au contraire. 1°) Inutile de mettre les logiques de coordination/exécution à l’échelle Une partie de la réponse vient de Ricardo Semler. Google+

Crowdsourcing : 7 bonnes pratiques pour solliciter l’intelligence collective Le crowdsourcing, ou innovation ouverte, consiste à faire appel à l'intelligence collective des employés de l'entreprise ou de ses clients et partenaires, pour résoudre un problème ou développer un produit. Son champ d'action est de plus en plus vaste. "Il s'applique désormais à tous les domaines d'activités, de l'agroalimentaire à l'industrie du luxe", estime Simon Schneider, responsable de la zone EMOA chez Innocentive. 1. Se concentrer sur un objectif précis Un projet de crowdsourcing doit adresser un problème précis. 2. La population sollicitée doit être bien cernée : employés de l'entreprise, experts extérieurs ou clients. 3. Il s'agit ensuite de définir les canaux par lesquels cette population sera sollicitée. 4. La problématique à résoudre et le processus de contribution seront décrits avec précision. 5. Le processus d'évaluation des idées sera précisé en amont. 6. Dans le cas d'un projet à finalité commerciale, un système de récompense permet d'attirer et motiver la communauté.

L'information économique en Poitou-Charentes: La filière aéronautique prend son envol Le préfet de région vient de lancer le comité stratégique de la filière régionale de l'aéronautique et spatiale. Une étape essentielle vers la construction d'un véritable réseau. a région Poitou-Charentes rassemble près de 9 000 emplois relevant de l'aéronautique. La filière réunit de grands groupes, des laboratoires de recherche et des petites et moyennes entreprises. L'Etat, la Région ont décidé de soutenir son développement en appuyant son organisation. Une filière à construireGuy Curccio, vice-président de l'association et directeur de l'usine Sogerma de Rochefort et Sylvain Accorsini, président d'Aéroteam et directeur de Mécafi ont posé les faiblesses et les forces d'une filière à consolider.D'ici 2040, il y aura près de 1 000 avions à construire par an. « Ce sont des volumes considérables, souligne Guy Curccio. Retrouvez la suite de cet article dans votre hebdomadaire régional d'informations économiques Info-éco n°03 du 18 janvier.

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