Il était une fois, en psychiatrie...
Il était une fois, (épisode 34), un jour, en psychiatrie, la danse du sablier. La jeune femme glissait. Oui c'était cela, elle glissait sur le parquet. Assis trop loin pour pouvoir nettement distinguer son visage que j'imaginais doux et triste à la fois, je suivais néanmoins avec passion ses sauts et entrechats sur la scène de danse. Au rythme envoûtant de la grosse caisse et emportée par les cris des violons de l’orchestre, elle allait. À droite puis à gauche, dans un troublant mélange de légèreté et de désespoir. Le lendemain de cette bouleversante soirée d’enchantement, la tête encore pleine d’arabesques et de Beethoven, je peinais devant le vieil ordinateur du service. Un jour la finesse d’un ‘orchestre, la beauté d’un ballet, le lendemain des coups de pieds sur la porte et un sablier qui tourne. En attendant, Mr W. ne pouvait plus attendre. Sous ses coups, la porte et les murs tremblaient. Alors, à cet instant précis, j’avais douté. Puis, une petite voix derrière moi.
Le fantastique, toxique pour la santé mentale?
J'ai lu ''Le mythe de Cthulhu" de Lovecraft. A l'époque ça m'avait fait un peu peur. Presque ''délicieusement'' peur. Par contre ''Shining'' de S.King adapté au cinéma avec J.Nicholson ça oui : j'ai trouvé les images psychologiquement violentes, et malsaines. Mais je comparerais certains films d'horreur, classiques, comme de se lancer dans un manège du style ''grand huit''. Après je trouve les ficelles utilisées pour ces films d'horreur classiques vraiment grosses, mais toujours efficaces. Un livre, ce qui est dit dedans, peut être très sérieux. Donc je ne pense pas que l'on puisse généraliser à tout le monde l'effet d'un livre, d'un film. Reste que je crois très sérieusement que les livres peuvent beaucoup apporter. Il faut garder son esprit critique, tout en se tournant vers ses propres goûts, sans pour autant ne pas essayer de rencontrer de nouvelles choses qui nous plairont, ou pas.
Faire bouger les petits, tout un défi ! - Intégration du guide « Gazelle et Potiron »
Apprendre à sauter, à glisser, à courir, à passer par-dessus ou en-dessous d’un obstacle : voilà des compétences liées à l’activité physique que doit acquérir un enfant dans ses premières années de vie. Bouger, c’est prouvé, aidera le petit d’aujourd’hui à devenir un grand en forme dans quelques années. C’est, en gros, le principe qui a guidé la coordonnatrice en saines habitudes de vie pour Vie en forme dans Beauharnois-Salabery, Brigitte Asselin, dans l’élaboration d’un grand projet qui dure depuis 2012 et qui vise à former les éducateurs et éducatrices à la petite enfance en développement moteur. Créer des liens « Mon rôle a été de trouver une façon de pérenniser les formations qui étaient données dans les CPE et les milieux familiaux en développement moteur, explique Brigitte Asselin. Le projet a été un tel succès que Vie en forme a pu financer tous les milieux de garde qui souhaitaient recevoir cette formation. Des espaces à utiliser Jouer dehors
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L'attitude non-directive et les conditions nécessaires et suffisantes appliquées aux schizophrènes et retardés mentaux
La théorie de la psychothérapie de Carl Rogers se présente comme un ensemble « d’attitudes fondamentales » (Mearns and Thorne, 1990) qui facilitent la tendance actualisante ou autoformatrice de l’organisme (Rogers, 1963, 1978). Classiquement, ces attitudes fondamentales s’articulent autour du regard positif inconditionnel (RPI), de l’empathie et de la congruence (Rogers, 1959). Certes, cette description représente le modèle de travail rogérien en psychothérapie. Elle ne traduit cependant pas complètement l’aspect historique et révolutionnaire de la pensée thérapeutique de Rogers. Situer Rogers historiquement, c’est comprendre qu’il fait partie de la culture protestante (Van Belle, 1980). En ce siècle qui est le nôtre, il est possible de comparer Rogers et Luther. De fait, Rogers n’ajoute pas l’attitude non-directive aux attitudes thérapeutiques fondamentales ; cependant, celle-ci est présente dans son travail dès le début. En quoi cette attitude est-elle si précieuse ?
Le nouvel esprit de la psychiatrie et de la santé mentale : histoire, sociologie, philosophie
Organisation mondiale de la santé
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Organisation mondiale de la santé (OMS), est une institution spécialisée de l'Organisation des Nations unies (ONU) pour la santé publique. Cette organisation dépend directement du Conseil économique et social des Nations unies et son siège se situe à Genève, en Suisse, sur la commune de Pregny-Chambésy[1]. Selon sa constitution, l'OMS a pour objectif d'amener tous les peuples du monde au niveau de santé le plus élevé possible, la santé étant définie dans ce même document comme un « état de complet bien-être physique, mental et social et ne consistant pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité ». Histoire[modifier | modifier le code] Précédents[modifier | modifier le code] La constitution de l'OMS a été votée par la conférence mondiale de la santé le 22 juillet 1946[2]. L'Organisation mondiale de la santé a été fondée le . À partir de 1851, des conférences sanitaires internationales peinent à aboutir à des accords.
Commentaires sites de références :
Prendre la « bonne » décision | Nicole Bordeleau
Avez-vous déjà remarqué que la vie est une succession de décisions au quotidien? Du matin au soir, nous sommes appelés à faire des choix: entre deux céréales, entre deux vêtements à porter, entre regarder la télé et terminer un roman… Prendre ce genre de décisions, ce n’est pas très angoissant. Mais certains choix comme celui de déménager, d’acheter une voiture ou de changer d’emploi sont plus importants. Et d’autres comme avoir un enfant, retourner aux études ou prendre sa retraite risquent d’avoir un impact encore plus grand sur notre vie. Face à des choix de vie aussi cruciaux, on peut facilement se sentir confus, désorienté et angoissé. On hésite. Personnellement, lorsque je suis face à une décision importante, j’aime me rappeler l’enseignement du Bouddha: » ce que tu cherches à l’extérieur, tu le découvriras dans le silence de ton coeur. » C’est là, dans notre for intérieur, que se trouve la réponse à notre question, la solution à notre problème. Que la vie te soit douce, Nicole
Je viens de voir ton message, désolé mais tu es qui ? lool, moi je n'y comprend rien a ce devoir je le trouve plus compliqué que la séquence 1 lol by solida_groupeb_psy Feb 8
Très intéressant, pour comprendre une partie du sujet. by toublanc_groupef Feb 8