imagine :: Photographies l'instant decisif Henri Cartier Bresson i.magine L’instant décisif En préface de son premier album, « Images à la sauvette », publié en l952, Henri Cartier-Bresson parle de son travail. Intitulé « L’instant décisif », c’est le seul grand texte où il développe sa conception de la photo. Une référence pour tous les professionnels. LE REPORTAGE En quoi consiste un reportage photographique ? 1 Ancienne technique utilisée comme lumière d’éclairage d’appoint, aujourd’hui on utilise le flash. LE SUJET Comment nierait on le sujet ? LA COMPOSITION Pour qu’un sujet porte dans toute son identité, les rapports de forme doivent être rigoureusement établis. LA TECHNIQUE Les découvertes de la chimie et de l’optique élargissent notre champ d’action, à nous de les appliquer à notre technique afin de nous perfectionner. LES CLIENTS L’appareil photographique permet de tenir une sorte de chronique visuelle. Henri Cartier Bresson
Spencer Tunick : installations 40 Of The Most Powerful Photographs Ever Taken Sisters pose for the same photo three separate times, years apart. A Russian war veteran kneels beside the tank he spent the war in, now a monument. A Romanian child hands a heart-shaped balloon to riot police during protests against austerity measures in Bucharest. Retired Philadelphia Police Captain Ray Lewis is arrested for participating in the Occupy Wall Street protests in 2011. A monk prays for an elderly man who had died suddenly while waiting for a train in Shanxi Taiyuan, China. A dog named "Leao" sits for a second consecutive day at the grave of her owner, who died in the disastrous landslides near Rio de Janiero on January 15, 2011. The 1968 Olympics Black Power Salute: African American athletes Tommie Smith and John Carlos raise their fists in a gesture of solidarity at the 1968 Olympic games. Jewish prisoners at the moment of their liberation from an internment camp "death train" near the Elbe in 1945. John F. "Wait For Me Daddy," by Claude P. U.S.
Eugène Atget, Paris Thomas Clerc – Paris musée du XXIe siècle. Le 18e arrondissement 19h00 - 20h30BilletsPlus d'informationThomas Clerc – Paris musée du XXIe siècle. Le 18e arrondissement Entretien mené par Colombe Boncenne En 2007, Thomas Clerc entamait un projet fou : décrire minutieusement la capitale française, rue, avenue, impasse, etc, par rue, avenue, impasse etc. en arpentant l’arrondissement dans lequel il vivait, le 10e . Entrée libre, sur réservation Un événement proposé en partenariat avec la Maison de la Poésie, dans le cadre du Festival Paris en toutes lettres 2024 Lieu : Orangerie du musée Carnavalet – Histoire de Paris, 14 rue Payenne, 75003 Paris. PROMENADE... Eugène Atget Détail d'un portrait d'Eugène Atget réalisé par un photographe anonyme, vers 1890. Signature Jean Eugène Auguste Atget, né le 12 février 1857 à Libourne et mort le 4 août 1927 à Paris 14e, est un photographe français. Il est principalement connu pour ses photographies documentaires sur le Paris de la fin du XIXe et du début du XXe siècle. Eugène Atget est né à Libourne d'un couple d'artisans originaires de la banlieue parisienne. En 1878, de retour à Paris, il tente d'entrer, sans succès, aux cours d'art dramatique du Conservatoire. L'année suivante, victime d'une affection des cordes vocales, il abandonne le théâtre et Paris pour se lancer dans la peinture, le dessin puis la photographie. Il comprend vite que les peintres, architectes et artisans ont besoin de documentation, c'est alors qu'il se tourne vers la photographie. Vers 1897, il se lance dans une entreprise de photographie exhaustive de vues de Paris. Eugène Atget organise ses photographies en cinq séries[2].
Garry Winogrand Photographe américain né en 1928 New York City et mort en 1984 au Mexique. Il appartient à la famille des "street photographers", déambulant en rue, l’appareil toujours chargé et en main. Il donne au genre quelques images fameuses, d’une netteté implacable, aux contrastes forts, exercices sans cesse renouvelés de faire image avec l’accident constant de la foule et de la rencontre. Winogrand étudie la peinture à la fin des années 40’, puis commence le journalisme à la "New School for Social Research" avec Alexey Brodovitch. Il découvre le travail de Walker Evans en 1952, celui de Robert Frank quelques années plus tard. Il est désormais convaincu de vouloir être photographe et que ce médium peut "décrire l’intelligence". C’est en 1959, après des années de galère, que son travail est montré pour la première fois. L’influence de Walker Evans est grande sur son travail. “je fais des photographies pour savoir de quoi auront l’air les choses une fois photographiées." - Winogrand
Photos by Christine Taraud EDWARD WESTON: Un éloge de la sensualité | Journal Mural EDWARD WESTON: Un éloge de la sensualité « Art must have a living quality which relates it to present needs, or to future hopes, opens new roads for those ready to travel, those who were ripe but needed an awakening shock… » Les lignes courbes d’un coquillage, un corps de femme, svelte et musclé se contorsionnant sur le sol, la pureté d’un tronc d’arbre dont l’écorce empreinte milles chemins, se torsadant à l’infini… Edward Weston révèle ce que la nature nous offre de plus beau, dans toute sa pureté. Né dans la banlieue de Chicago, Illinois, en 1886, il reçoit son premier appareil photo à l’âge de 16 ans. Ses paysages se singularisent par leur force émotionnelle. Il fait partie de cette veine d’artistes américains dont l’œuvre refusa de suivre le chemin que prenait leur pays, dans l’opulence, la consommation, les paillettes de l’American Dream. L’Œuvre de Weston est une œuvre intemporelle qui parle de la vie. [Sources des photos]
Les noms des stations de Métro prises au pied de la lettre Au milieu des années 90, le photographe Janol Apin a mis en scène les noms des stations du métro Parisien avec humour et imagination. De Monceau à Rue de la pompe en passant par Duroc et Dupleix, les stations parisiennes parlent le langage international du mime. Lunch atop a Skyscraper Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Prise au niveau du 69e étage pendant les dernières semaines de la construction (le gratte-ciel comporte 70 étages), la photographie Resting on a Girder[3] (« repos sur une poutre ») représente les mêmes ouvriers en train de faire une sieste sur une poutre. Le détenteur des droits de la photographie, la Bettmann Archive, ne reconnut pas Charles C. Ebbets comme son auteur avant octobre 2003 (selon certaines sources, après des mois d'enquête d'une agence de détectives privés). C'est pourquoi, encore aujourd'hui, nombre de reproductions indiquent toujours « auteur inconnu ». L'identité des ouvriers est restée longtemps inconnue[4],[5] et c'est encore le cas pour la plupart d'entre eux.
ILE DYEU - Photos d'aujourd'hui - Photos Jean-Loup Bretet etquelques vieilles photos retrouvées de 1985 etquelques vieilles photos retrouvées de 1989 Photos Michel Bretet mais aussiquelques vieilles cartes postales sans entraves ? Tout dans cette photo, évidemment, semble résider dans cette opposition entre ce vieil homme et le slogan Jouissez sans entraves qu'il est en train de lire. Bien sûr, préjugés aidant, on imagine le vieil homme avoir déserté depuis longtemps les rives enivrantes de l'épectase et on le suppose, mi-choqué, mi nostalgique. Pourtant à bien scruter son regard semble bien plus interdit par entraves que par jouir. Et ici, le contraste joue à plein entre cette liberté que l'on proclame et la vêture bourgeoise, si compassée. Mai 1968, on le sait, aura représenté le surgissement brusque sur la scène politique de cette génération du baby-boom, nombreuse, vivace, vibrionnante, qui s'inventait ses musiques, ses loisirs, sa façon si troublante d'être libre, paraissant en tout cas vouloir tout bousculer sur son passage mais qui parvenait à la majorité au moment même où le pouvoir gaulliste finissait - mais pouvait-on vraiment le savoir par autre chose que l'âge du Général ?