Réussir sa vie en dix leçons - Jean-François Dortier, article Philosophie
« Deviens ce que tu es », « carpe diem », « connais-toi toi-même », « accepte ce que tu ne peux changer et change ce qui peut l’être »… Les leçons de sagesse délivrées par les philosophes antiques ou les manuels de développement personnel se résument en un petit nombre de principes – toujours les mêmes – censés améliorer l’existence. Loin de converger vers un modèle unique d’existence, ces préceptes peuvent parler à tous et chacun peut en retirer un message. C’est l’une des raisons de leur succès universel. Petit tour d’horizon en dix leçons. 1. Quand j’ai demandé à Franck (42 ans, célibataire) ce que voulait dire pour lui l’« art de vivre », il m’a répondu qu’il ne croyait pas au bonheur. Quand j’ai demandé à Sarah, 23 ans, ce qu’elle pensait du bonheur, elle m’a répondu que son rêve était de trouver un emploi ou elle pourrait s’épanouir, gagner un bon salaire et partir vivre à l’étranger : c’est son « rêve américain ». Karim, 29 ans, a eu une jeunesse déglinguée. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.
Penser par soi-même - Sommaire et Introduction
Bien sûr, vous pensez depuis votre naissance et vous n'avez pas eu besoin de moi pour ça. Vous croyez penser déjà par vous-même, et ceci ne fait aucun doute. Mais, quand vous dites « je » pense ceci, ou « je » pense cela, êtes-vous véritablement sûr que ce soit vous qui pensiez ? D'où vient cette idée à laquelle vous vous identifiez ? En êtes-vous véritablement l'auteur, et dans quelle mesure ? Des sociétés entières vivaient autrefois sans se soumettre au culte que nous vouons actuellement à l'individualité. Le culte de l'individualité proposé par la société actuelle est-il véritablement satisfaisant ? Quoi qu'il en soit, n'en reste pas moins que je pense, ou que ça pense en moi.
Pour diminuer leur stress, les salariés veulent plus de proximité et de considération
Vous êtes ici > Accueil / Nouvelles récentes / Pour diminuer leur stress, les salariés veulent plus de proximité et de considération Un article paru sur le site « Pour se former » en novembre 2011 aborde une étude menée par l’OVAT (Observatoire de la Vie Au Travail) en juin et juillet 2011. D’après cet article, l’étude mettrait en évidence comme source de stress des salariés un manque de proximité des managers et un déficit en termes de considération. Un manque de proximité et de considération qu’il va d’autant plus falloir corriger que l’avenir apparaît comme incertain. En effet, sinon, c’est la motivation des salariés qui va finir par s’effondrer. Sur ce point, les propos de Anick Perreault-Labelle sont très clairs : « Les crises économiques ne font pas que ralentir les ventes et dégringoler les marchés boursiers. Propos en harmonie avec ceux du Professeur Michel Tremblay (HEC Montréal): « plus une entreprise prend soin de ses troupes, moins leur motivation pâtira pendant la crise ».
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« Les Français ont un rapport passionnel au travail… »
Le titre de ce texte n’est pas de mon fait, je l’ai emprunté à Antoine Char, journaliste au journal Métro de Montréal et auteur d’un article paru sur le site de ce journal le 19 octobre 2009, intitulé : « Métro, boulot, suicide ». J’ai lu cet article à plusieurs reprises parce que l’approche du rapport au travail des Français m’a interpellé car elle entrait en résonnance avec ma conviction que la Culture d’un pays influe sur la relation au travail et donc sur le management. Antoine Char écrit : « Au pays des 5 semaines de congés payés et des 35 heures de travail par semaine, les Français ont malgré tout un rapport passionnel au travail. Ce n’est pas seulement un gagne-pain, comme dans bon nombre de pays anglo-saxons. C’est un mode de vie ». Effectivement, en France, nous avons un rapport passionnel au travail. Antoine Char apporte un autre argument. Et si les Français avaient un besoin plus important que d’autres de se sentir utiles ? Vous aimez cet article ?
You Are Not So Smart
Quel est le stade de jugement moral des chefs politiques québécois?
Lawrence Kohlberg a développé une solide théorie du développement moral de l’individu. En soumettant ses sujets à des dilemmes, sous forme de petites histoires, il en vint à dégager six stades successifs de jugement moral. Le Dilemme moral de Heinz est un exemple classique de dilemme posé par Kohlberg à ses sujets: La femme de Heinz est très malade. Elle peut mourir d’un instant à l’autre si elle ne prend pas un médicament X. Ce qui intéresse les pédagogues n’est pas tant la réponse que la structure du raisonnement y ayant mené. Quels sont ces stades de jugement moral? Les deux premiers stades, préconventionnels, prennent place avant que l’individu ne prenne conscience des conventions sociales. Stade 1 : Égocentrisme C’est l’évitement de la punition. Stade 2 : Intérêt personnel « Je dois bien agir car il y a des récompenses à la clé." Les stades conventionnels. Stade 3 Conformité au clan "Que va-t-on penser de moi ?" Et puis encore… 1. Il existe des variables du dilemme de Heinz.
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