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La Cyberdépendance: Cas de l’addiction au réseau social Facebook

La Cyberdépendance: Cas de l’addiction au réseau social Facebook
Résumé La démocratisation de l’internet et la forte pénétration des réseaux sociaux dans la vie de tous les jours des internautes a montré un comportement d’addiction au réseau social Facebook. Malgré l’importance de ce phénomène, très peu de recherches en marketing se sont intéressées à son étude. La présente recherche a pour objectif de mesurer l’addiction des internautes aux réseaux sociaux et d’en déterminer les antécédents. La revue de la littérature relative à l’internet a mis en relief que l’estime de soi et la personnalité sont des antécédents psychologiques de l’addiction. L’enquête par questionnaire que nous avons menée sur Facebook auprès d’un échantillon de convenance de 252 internautes a révélé que trois dimensions sur cinq de la personnalité à savoir l’ouverture aux expériences, l’agréabilité et le névrosisme, sont en relation faible avec la cyberdépendance au réseau social Facebook. Keywords Cyberdépendance; Internet; Addiction; Facebook 1. 2. 2.1. 2.1.1.

http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2214423415000150

Mésusages d'Internet et cyberaddiction : réalité ou fiction ? L’émergence de la « société de désinhibition » [1] Ehrenberg A (1991) : « Le culte de la performance »,... [1] entraîne, en plus d’une nécessaire adaptation rapide aux changements, l’apparition de nouvelles stratégies de coping (attitude consistant à savoir faire face). Les conduites addictives et les toxicomanies, de manière générale, ont depuis toujours été utilisées par des personnes en difficulté, pour pallier, au moins temporairement, leurs difficultés d’intégration. Dans le monde de l’entreprise, on assiste à une véritable prise de conscience du mal-être des employés cadres, mal-être qui se traduit par une explosion du nombre de jours d’arrêt de travail, mais, aussi, par une prescription, en augmentation, de médicaments psychotropes, censés permettre ou faciliter l’adaptation aux changements.

Rapports, ouvrages, avis et recommandations de l'Académie Publié dans Rapports, ouvrages, avis et recommandations de l'Académie Avis de l'Académie des sciences - Éditions Le Pommier - Janvier 2013 - 17,00 € La question de l’impact des écrans sur notre cerveau est au cœur des préoccupations. L’une des questions les plus intéressantes aujourd’hui est de savoir comment la pratique intensive des nouvelles technologies amène les utilisateurs à adopter d’autres façons de penser, de sentir, d’agir.

Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ? 1. Les addictions numériques : Internet et les jeux vidéo La formule de M. Guy Almes selon laquelle il y a trois formes de mort : « la mort cardiaque, la mort cérébrale et la déconnexion du réseau »52(*) est particulièrement vérifiée chez les adolescents. Pour un certain nombre d'entre eux, la navigation sur Internet ou les jeux (notamment en ligne) sont devenus une drogue dont ils ne peuvent plus se passer. Si selon les psychanalystes, aucune technologie ne porte en elle-même d'effet addictogène, l'addiction ne pouvant être générée que par une pratique particulière de l'objet en cause, liée à d'autres facteurs complexes (situation du sujet, environnement familial, contexte social...), la cyberdépendance semble prendre de l'importance. 6 à 8 % des internautes seraient ainsi dans l'usage excessif ou dépendant du réseau informatique.

GREA - Groupement Romand d'Etudes des Addictions De quoi parle-t-on ? L'essor des mondes numériques modifie notre comportement. Nous leur consacrons plus de temps et sommes quasi en permanence face à un écran, connectés à internet : smartphone, tablette, ordinateur, console, tv, etc. Vous en doutez ? VIDEO. «L’addiction au numérique se mesure à la perte de liberté» SANTE A l'occasion de la sortie du MOOC de l'université de Nantes sur l'addiction numérique, Didier Acier, professeur de psychologie clinique fait le point sur ce phénomène... Propos recueillis par Delphine Bancaud Publié le Mis à jour le

Serge Tisseron Posté par Serge TISSERON le 5 août 2015. Comme chaque année à la période des vacances, des stages coûteux sont organisés pour ceux qui souhaitent rompre avec leurs excès numériques. Ils ont lieu dans des endroits merveilleux où chacun peut trouver un coach attentionné soucieux de son bien-être. Les clients se sentent à tout moment entourés, choyés, compris… de telle façon qu’il ne leur viendrait pas à l’idée d’aller compter leurs Like ou leurs Lol sur les réseaux sociaux même s’ils en avaient la possibilité ! Ces séjours sont en général plutôt réussis du point de vue de leur capacité de faire renouer les personnes qui y participent avec elles-mêmes. Mais la plupart du temps, quand leurs participants reviennent chez eux, la tentation est grande de reprendre les mauvaises habitudes (voir mon blog « Détox numérique » : halte à l’intox !

Dépendance aux écrans : une addiction de l'ère numérique Des pratiques en ligne très répandues et parfois addictives... Internet a fait naître de nouvelles modalités d’interaction ludique entre personnes. Les jeux en ligne et les réseaux sociaux connaissent un succès croissant auprès de toutes les tranches d’âge. 69% des 13-19 ans jouent régulièrement à des jeux vidéo (source : Etude Junior Connect, Ipsos Connect, 2015).Désormais, certains préfèrent même les interactions électroniques aux modes relationnels traditionnels.

Addictions Dossier réalisé en collaboration avec Bertrand Nalpas, Directeur de recherche à l’Inserm et chargé de mission Addiction – Décembre 2014 Les addictions les plus répandues concernent le tabac (nicotine) et l’alcool. Viennent ensuite le cannabis et, loin derrière, les opiacés (héroïne, morphine), la cocaïne, les amphétamines et dérivés de synthèse. Il existe également des addictions liées à des activités (et non à des substances), comme les jeux d’argent, les jeux vidéo, le sexe ou encore les achats compulsifs. Des substances plus ou moins addictives souvent testées à l’adolescence Définition et typologie de la cyberdépendance Définition et typologie de la cyberdépendance Désignant, à l’origine, toute dépendance à l’ordinateur, ou plus largement à l’univers informatique, ce terme est aujourd’hui utilisé principalement pour désigner une dépendance qui s'instaure chez une personne faisant un usage distordu des moyens de communication offerts par Internet. Cette personne est dans la recherche constante de connexion au réseau informatique afin d’y établir une communication, d’ y trouver une information, du sexe ou du jeu virtuel. Elle éprouve une anxiété désorganisatrice si elle ne peut pas se connecter, et sa vie personnelle et sociale s'organise autour de la connexion. À l'image d'une toxicodépendance, le cyberdépendant manifeste un phénomène de manque et peut recourir au mensonge pour réduire l'importance de son addiction. La typologie de la cyberdépendance décline 4 quatre types majeurs :

Addiction, concentration, performances… ce que l’on sait (ou pas) des effets du smartphone La recherche est encore balbutiante sur les effets de l’hyperconnexion aux smartphones, un phénomène récent à l’échelle de l’histoire de l’humanité. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Céline Mordant Il y a dix ans, le 9 janvier 2007, le patron d’Apple, Steve Jobs, présentait le premier iPhone.

Dépendance à Internet La dépendance à Internet (aussi nommée cyberdépendance, cyberaddiction, usage problématique d'Internet ou UPI, trouble de dépendance à Internet et TDI) est un trouble psychologique entraînant un besoin irrésistible et obsessionnel d'utiliser Internet. L'expression addiction à Internet fut employée pour la première fois par la psychologue américaine Kimberly Young, lors d'un colloque de l'American Psychological Association (APA) à Toronto en 1996. C'est Otto Fenichel (1949), qui a soulevé le premier la question des toxicomanies sans drogues. Cependant c'est un canular produit par le docteur Ivan K.

Internet et Google vont-ils finir par nous abrutir ? – Framablog Voici la traduction d’un article assez passionnant qui a connu un bel impact dans la sphère anglophone au moment de sa mise en ligne cet été. Son titre choc Is Google Making Us Stupid ? est un peu trompeur car il s’agit bien moins de charger l’emblématique Google que de s’interroger sur les transformations profondes induites par internet et les nouvelles technologies, transformations qui peuvent aller jusqu’à modifier nos perceptions, nos modes de pensée, voire même notre cerveau. Prenons le Framablog par exemple. Il possède, merci pour lui, d’assez bonnes statistiques d’audience globales, mais lorsque l’on se penche sur la moyenne du temps passé par page, c’est la grosse déprime car cela ne dépasse que trop rarement les deux minutes, intervalle qui ne vous permet généralement pas d’y parcourir les articles du début à la fin. En décidant d’en achever la lecture bien avant la conclusion, peut-on affirmer que plus de la moitié des visiteurs ne les trouvent pas intéressants ?

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