Repenser l’internet des objets (1/3) : L’internet des objets n’est pas celui que vous croyez ! Par Daniel Kaplan le 23/04/09 | 18 commentaires | 6,410 lectures | Impression L’”internet des objets” (internet of things), ne mérite pas son nom, explique Daniel Kaplan, délégué général de la Fondation internet nouvelle génération (Fing). D’une part, parce que la mise en réseau des objets se réalise aujourd’hui en silos – applications, services, organisations –, ce qui n’a rien à voir avec l’interconnexion généralisée qu’incarne l’idée d’inter-réseau. Ensuite, parce qu’au contraire de l’internet depuis son origine, il ne porte en général aucune vision transformatrice. Mais peut-on imaginer de porter le fer de l’internet au cœur du système des objets, du système industriel ? Comment, et pourquoi faire ? L’objet internet Le 30 juin 2008, la justice française tranchait en faveur de LVMH dans son conflit avec eBay. Ce second motif nous intéresse beaucoup. Un objet de l’internet, en quelque sorte. La confusion des mots D’autres y ajoutent les capteurs, des objets producteurs de données.
Tetalab mixe art et hack Le Tetalab est un jeune hackerspace basé à Toulouse. Basé à Mixart-Myrys, un centre culturel, il monte entre autres des projets autour de l'art. Hiver dernier, alors que WikiLeaks fait trembler les ambassades du monde entier en faisant fuiter des câbles diplomatiques et s’agiter les rédactions qui publient analyses géopolitiques sur analyses géopolitiques, les hackers toulousains du Tetalab s’emparent à leur façon du sujet. Un projet qui résume bien l’état d’esprit de ce jeune hackerspace né en 2009, qui ne voudrait pas être réduit à ce buzz : « Est-ce qu’il y aurait vraiment quelque chose à dire sur haikuleak d’ailleurs ? Installé dans le centre culturel Mixart-Myrys Et à l’instar de nombreux travaux du Tetalab, haikuleaks est un hack artistique. On t’apprend à être décomplexé par rapport à la technique. Une petite équipe qui réagit au quart de tour aux sollicitations sur la mailing-list. Dictature de l’initiative Certaines réalisations ont des visées politiques.
LA PERCEZIONE Quale processo cognitivo ci permette di riconoscere come parole alcuni tratti neri impressi su una superficie bianca? È la percezione, frutto sia dell’informa zione sensoriale che raggiunge il nostro cervello, sia della nostra esperienza pregressa e della nostra conoscenza del mondo (es.: alfabetizzazione). Secondo la teoria percettiva di Helmholtz (1925) le percezioni sono costruite e sintetizzate combinando tra loro sensazioni elementari, limitate, secondo un meccanismo spontaneo ed automatico di inferenze inconsce. Una rielaborazione di Gibson (1966; 1972), tale teoria mostra che i nostri sistemi sensoriali non si limi- tano a fornire sensazioni da cui trarre inferenze, ma, in risposta alla complessità ambientale, si sono evoluti fino a generare esperienza percettive dirette, senza sintesi o inferenze. Come viene elaborata un'informazione nel nostro sistema visivo? Ti sarai accorto che la lettura è diventata difficilissima: perché? Cosa accade allora quando guardiamo un’immagine?
le 1er espace de débat en ligne sur les éco-quartiers et la ville durable Depuis la révolution industrielle, notre système économique est basé sur un schéma linéaire d’extraction et de transformation de matières premières, de consommation de biens et de création de déchets. L’aménagement du territoire n’échappe pas à la règle avec une « production de la ville » qui prend très peu en compte l’impact global de l’urbanisation sur les ressources. Pourtant, depuis quelques années, le concept d’économie circulaire se diffuse rapidement dans les ambitions affichées de nombreuses politiques publiques. Il a même fait une entrée fracassante dans le premier article du Code de l’Environnement en 2015 (loi de transition énergétique) ; le deuxième article du même code propose une définition de l’économie circulaire qui mérite d’être soulignée tant elle est complète et ambitieuse pour les territoires. la fabrique de la ville est au cœur des enjeux d’économie circulaire Le deuxième levier formidable des projets urbains est la façon dont ils impactent nos modes de vie.
"L'Internet des objets", entre ouvertures et libertés ? A l’occasion des Entretiens du Nouveau Monde industriel consacrés aux nouveaux objets communicants, qui se tenaient la semaine dernière au Centre national des arts et métiers, Internetactu.net revient sur quelques présentations parmi les plus marquantes de ces deux jours. Le système des objets fait-il peser une menace sur l’internet ? “L’internet est un système technique”, rappelle Christian Fauré (blog), architecte principal chez Cap Gémini et coauteur avec Bernard Stiegler et Alain Giffard de Pour en finir avec la mécroissance. “Quand un nouveau système technique se stabilise, arrive à une certaine maturité, il provoque des désajustements sociologiques, économiques et politiques avec l’ancien système technique.” L’internet est un système technique, ouvert, social, libre et associé. L’enjeu auquel nous faisons face, explique Christian Fauré, c’est le choix du réajustement. “Quelles peuvent être les menaces à l’encontre de ce qu’a apporté l’internet ?” De la portabilité des données
Objets bavards L'avenir par l'objet, Bruce Sterling. Préface Daniel Kaplan Objets bavards, Bruce Sterling préface de Daniel Kaplan 144 pages Juillet 2009 Collection : Innovation 23,90 euros TTC Un livre de référence pour les designers Bruce Sterling, sait que l’une des plus intéressantes questions que nous pose la science-fiction est : comment pouvons-nous faire quelque chose de notre avenir ? Pour vivre un autre futur, Bruce Sterling nous suggère la plus inattendue et la plus humaine des voies : celle de l’objet – de la bouteille de vin au site web. « L’objet, dit-il, est un pari sur l’avenir. C’est donc aux designers que Sterling confie le soin de sauver le monde. Ecrivain et futurologue, Bruce Sterling est l’auteur de nombreux ouvrages traduits dans le monde entier. WordPress: J'aime chargement… Sur le même thème Groupe Chronos : Entretien avec Frédéric Kaplan, spécialiste des nouvelles interfaces
Au Tetalab Hacker Space Factory, le courant alternatif passe OWNI était au Tetalab Hacker Space Factory (THSF), le festival du hackerspace toulousain. Nous avons rencontré des gens qui, à leur petite échelle, démontrent qu'un autre monde est possible, au quotidien. Just do it, une merguez à la main. Nous sommes revenues cramées du Tetalab, le festival du hackerspace toulousain. Pourtant, nous ne sommes restées que le samedi. Le réveil à 5 h 30 et la jolie chaleur qui régnait sous le hangar du collectif d’artistes Mix’Art Myrys qui accueillait l’événement n’étaient pas les principaux coupables: non, ce qui nous a exalté, happé, épuisé, c’est le bouillonnement politique qui émanait de cette seconde édition placée sous le signe du Do-It-Yourself (DIY). Pas politique au sens partisan, mais au sens de : quelle société je veux ? Les conversations avec les participants sont denses et vivifiantes, à l’image de leurs parcours. Jérôme, hackable-devices: vivre de la technique éthique John et Jérôme Atelier de soudure avec John Emmanuelle Roux Le lien est fait.
LA MEMORIA Per ricordarsi di un appuntamento di lavoro, c’è chi è solito annotarsi la data e l’orario sull’agenda, e chi, semplicemente, lo tiene a mente: in entrambi i casi si affida una informazione ad un sistema di memoria, sia esso esterno (agenda) o interno (mente). Il complesso processo mnemonico della mente umana può essere compreso proprio analizzando il funzionamento dei sistemi esterni di memorizzazione (es.: scrittura) che si avvalgono di supporti fisici per conservare informazioni (es.: libro). Cos’è un sistema di memoria? 2. la ritenzione: come l’informazione, codificata, viene conservata nel tempo, es.: il libro viene custodito in una biblioteca; 3. il recupero: come l’informazione viene estratta dal sistema di memoria, es.: la storia del libro viene letta da uno studente. PERDITADI INFORMAZIONE Pensiamo alla diffusa (e noiosa!) Come funziona la memoria umana? DECADIMENTO O INTERFERENZA Cosa si intende precisamente per memoria sensibile? Come si produce uno schema di memoria?
La liberté d’expression expliquée à nos enfants : guide pratique rédigé par la Ligue et paru dans le Point – La Ligue de l’enseignement Le magazine Le Point du 22 octobre publie dans son numéro spécial consacré au meurtre de l’enseignant Samuel Paty un Guide pratique rédigé par la Ligue de l’enseignement sous la houlette de son administrateur délégué Jean-Paul Delahaye. Y sont abordées les questions suivantes : – Que veut dire liberté d’expression ? – Quelles lois garantissent la liberté d’expression – Y-a-t-il des limites à la liberté d’expression ? – A-t-on le droit de critiquer les religions ? Télécharger le guide paru dans Le Point A lire également notre texte de référence sur la Laïcité 10 Bad Web Design Habits You Should Avoid | Web Design What design features turn a good website bad? There are more potential pitfalls out there than you might think. Even design elements that may “look nice” to the untrained eye can have unexpected consequences, so acquainting yourself with these hidden landmines is an important step in the process of crafting a website. The ten habits of bad web design described below will help educate and prepare both designers and clients alike, allowing you to determine what you do want for your website, while also avoiding the design features that can seriously diminish a site’s success. You may be interested in the following related articles as well. Please feel free to join us and you are always welcome to share your thoughts that our readers may like. Don’t forget to and follow us on Twitter — for recent updates. Bad Web Design Habits to Avoid One of the best ways to properly design your website is to avoid the terrible design mistakes people make. Habit #1: Your Site Lacks Personality Image Credits
Web 3.0, web sémantique, Internet des objets : Philippe Gautier 1. On pourrait définir le Web 3.0 comme la conjonction de l’Internet des objets et du web sémantique. Quels sont les outils incontournables dans ce futur écosystème, les technologies sensorielles de type RFID, code à barre ou GPS sur lesquels les applications devront s’appuyer ? Trois idées importantes sont introduites en même temps, sur lesquels beaucoup de personnes divergent encore sur les définitions à l’heure actuelle... essayons d’y voir plus clair : A l’origine, l’Internet des Objets est un concept dans lequel on identifie des objets de façon unique. Ces évènements sont ensuite collectés et enregistrés dans des bases de données, puis agrégés, consolidés ou utilisés avec d’autres informations déjà traitées dans les systèmes informatiques en place pour des besoins de traçabilité, de gestion logistique, de vente, etc. Quand il s’agit de processus maîtrisés, ces solutions fonctionnent plutôt bien et les techniques en place sont satisfaisantes. 2. 3.
Why is Open Hardware inherently sustainable? Reflections on the role of Open Hardware and Peer Production in insuring a sustainable world In this article, I want to list the reasons why I believe that the trend towards open and distributed manufacturing is a vital part of ensuring a sustainable society. For those that are not familiar with it, open hardware is a practice where designs are shared through open licenses in a community, and those designs can then be used by manufacturers, who can make and sell the product, eventually making a profit, but they cannot rely on any rents deriving from intellectual property. The first reason that open hardware is a sustainable practice is that innovation cannot be privatized and taken away from the benefit of collective humanity. The second reason that open hardware contributes to sustainability, and actually is “inherently” sustainable, lies in the motivation behind the research, innovation, and production. Challenges The main issues center around the funding mechanism.
Le dessin de presse, entre liberté d'expression et censure : exposition à imprimer - Depuis 1830, le dessin de presse et la caricature commentent l’actualité, défendent des opinions, accompagnent les polémiques, les crises politiques et les luttes sociales. Avant comme après la grande loi sur la presse de 1881, nombreuses ont été les entraves à la liberté d’expression, jusqu'au terrible drame du mercredi 7 janvier 2015. Quelles ont été les conséquences des différents types de contraintes juridiques, politiques, administratives ou économiques, sur le dessin de presse et les dessinateurs ? Exposition proposée en deux versions permettant d'explorer l'histoire de la caricature politique dans ses confrontations aux différents types de censures juridique, politique, administrative, économique et de poser la question de la liberté d'expression, de sa définition, de ses limites. La question du "choc des cultures" et le rôle d'internet dans ces tensions. Vous pouvez choisir de présenter TOUT ou PARTIE de l'exposition. NOUS CONTACTER : caricadoc@ymail.com ou 06 17 20 52 57