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Le néolibéralisme est un fascisme

Le néolibéralisme est un fascisme
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Why do people think economists are charlatans? A couple posts back, I talked about the AEA panel called "What do economists think about major public policy issues?". Actually, I only talked about one of the two papers that was presented there; the other was by Luigi Zingales, and was entitled "Comparing Beliefs of Economists and the Public." Unfortunately, I can't find this paper anywhere online, which is a shame, because it was actually the more interesting of the two. Here is a download link to the working paper. Zingales either performed a survey or reviewed a survey (I can't remember which) that compared economists' and non-economists' positions on policy issues. Update: Ryan Avent of The Economist has a great summary of the findings here, complete with a fun chart, which I will now steal: What on Earth??... Now, maybe this was just an expression of good old American anti-intellectualism, like Insane Clown Posse's views on magnetism, or the Republican party's denial of evolution. I have to say, I have encountered that view a lot.

Vivre en troupeau en se pensant libres, par Dany-Robert Dufour (Le Monde diplomatique, janvier 2008) L’individualisme n’est pas la maladie de notre époque, c’est l’égoïsme, ce self love, cher à Adam Smith, chanté par toute la pensée libérale. L’époque est à la promotion de l’égoïsme, la production d’ego d’autant plus aveugles ou aveuglés qu’ils ne s’aperçoivent pas combien ils peuvent être enrôlés dans des ensembles massifiés. Et c’est bien d’ego qu’il s’agit, puisque les gens se croient égaux alors qu’en réalité ils sont passés sous le contrôle de ce qu’il faut bien appeler le « troupeau ». Vivre en troupeau en affectant d’être libre ne témoigne de rien d’autre que d’un rapport à soi catastrophiquement aliéné, dans la mesure où cela suppose d’avoir érigé en règle de vie un rapport mensonger à soi-même. Mais quelle est la nécessité de ce mensonge ? Notre société est en train d’inventer un nouveau type d’agrégat social mettant en jeu une étrange combinaison d’égoïsme et de grégarité que j’épinglerai du nom d’« égo-grégaire ». Ces aspects sont connus.

L'Ur-Fascismo (Il Fascismo Eterno) | Asiablog Charlie Chaplin nei panni di Adenoid Hynkel, Il Grande Dittatore (1940). Foto Wikipedia Umberto Eco, da Cinque scritti morali, Ed. 1) La prima caratteristica di un Ur-Fascismo è il culto della tradizione. Il tradizionalismo è più vecchio del fascismo. 2) Il tradizionalismo implica il rifiuto del modernismo. Sia i fascisti che i nazisti adoravano la tecnologia, mentre i pensatori tradizionalisti di solito rifiutano la tecnologia come negazione dei valori spirituali tradizionali. 3) L’irrazionalismo dipende anche dal culto dell’azione per l’azione. L’azione è bella di per sé, e dunque deve essere attuata prima di e senza una qualunque riflessione. 4) Nessuna forma di sincretismo può accettare la critica. Lo spirito critico opera distinzioni, e distinguere è un segno di modernità. 5) Il disaccordo è inoltre un segno di diversità. L’Ur-Fascismo cresce e cerca il consenso sfruttando ed esacerbando la naturale paura della differenza. 14) L’Ur-Fascismo parla la “neolingua”. Fonte immagine: Wikipedia

La grande mistificazione del concetto di felicità - Linkiesta.it Il 28 giugno del 1776, Thomas Jefferson finì di scrivere la prima bozza del testo che, qualche giorno dopo, divenne la Dichiarazione di Indipendenza degli Stati Uniti d'America. Nel secondo paragrafo di quella lettera, scritta su carta olandese di canapa e fitta di correzioni e appunti, Jefferson appuntò una serie di verità che ritenne inappellabili, self-evident, scrisse. Due le verità sopra tutte: che tutti gli uomini sono creati uguali, e che Dio ci concede tra i diritti inalienabili la vita, la libertà e the pursuit of Happiness. Scrivendo quella frase Jefferson si sbagliò, confuse l'ideale con il reale. Difficile dire se l'America di Trump e Clinton sia molto diversa da quella che aveva in mente Jefferson. La felicità è sbagliata per due motivi. Secondo l'economista americano, che insegnava in California, il sistema economico basato sull'accumulo del capitale generava una curva della felicità che aveva forma di una U rovesciata.

Salariés acrobates pour travail sans filet, par Noëlle Burgi (Le Monde diplomatique, mars 2009) «J’aime les prédateurs. Je les aime parce qu’ils vivent d’expédients. » Nous sommes en août 1994. L’homme qui s’exprime, Albert J. Dunlap, est un grand expert en restructurations industrielles. Dans son espace de travail, quelques objets en bronze intriguent : deux requins décrivant un cercle, posés sur son bureau ; un lion bondissant, sur une table de conférence ; un aigle attaquant sa proie, dans la salle de réception. Dunlap a 52 ans. Dans les semaines qui suivent son recrutement, il annonce la suppression imminente de près de onze mille emplois, soit le tiers des effectifs. Hier glorifiés, les prédateurs commencent néanmoins à être dénoncés en tant que tels aux Etats-Unis, le pays qui, à partir du début des années 1980, a donné l’exemple d’une déconstruction systématique du contrat social. La « révolution » reaganienne et ses suites ? Cette violence est aujourd’hui extrême aux Etats-Unis. Le système américain de protection sociale repose sur trois ensembles de prestations.

La religion des quinze pour cent, par Isabelle Pivert (Le Monde diplomatique, mars 2009) C’est vers la fin des années 1980 qu’a commencé à s’imposer le diktat de la création de valeur pour l’actionnaire, ou shareholder value (initialement shareholder value creation). Ce concept a non seulement bouleversé l’organisation et le fonctionnement traditionnels des entreprises, mais aussi la cohésion sociale de la quasi-totalité des pays industrialisés. Issue des départements « fusions et acquisitions » des banques d’affaires anglo-saxonnes, la shareholder value visait initialement à déterminer le gain pour l’actionnaire d’une opération de fusion ou de rachat entre deux entreprises. Elle est peu à peu devenue l’étalon des performances financières de l’entreprise, au détriment de toute logique économique et industrielle. Les entreprises, jusqu’alors sommées de grossir, fusionner, s’avaler ou disparaître au nom des économies d’échelle et de la course à la taille critique, ne le furent plus désormais qu’en vue de servir une rémunération maximale à leurs actionnaires.

Economy & Barter Systems | Worldbuilding Workshop Intro It can be easy to think that money and a free market exchange system is the main method of how an economy runs, but for most of history, this was not the case. And so it doesn’t have to be in your world either. In this post I will talk about different methods of barter system. Primitive Communism (Pre-Marxist) Communism is probably the original system, which would have worked well in small communities where everyone knows each other, such as in nomadic tribes. For example, one of the women (who is probably a less skilled hunter then the men) may look after the young children, which frees up the other adults to gather food, but they wouldn’t be bringing in any themselves. It is only when they began to produce a surplus that private property comes in and the tribe may move onto another system. You might like to apply this to a settled country and see if you can make it work. Informal Exchange Honour Exchange I’ve done this with one of my cultures, Mesit. Free Market Mixed Economy

To Save The Economy, We Have To Break Its One Sacred Rule Scholars are still trying to figure out why the society on Easter Island collapsed, ending the people famed for their construction of towering stone heads. One interesting theory holds that it had to do with the heads themselves. Somehow, the islanders decided that the giant heads represented power and success, so different groups competed to build as many heads as possible. But because there was only one quarry, to move the stones around the island required felling trees to use as rollers. The islanders must have realized that their obsession with heads would quickly spell their doom. Humans are strange creatures. We tend to take the GDP measure for granted as though it has always existed. In the end Keynes won, and his version of GDP came into use. Of course, there’s nothing inherently wrong with measuring some things and not others. The imperative for growth is incredibly powerful; probably the most powerful force in our world. What does this pressure look like in the real world?

Toujours plus de millionnaires dans le monde LE MONDE | • Mis à jour le | Par Anne Michel et Marie Charrel En dépit de la crise, les riches sont toujours plus riches – même si leur fortune a crû un peu moins vite en 2015 que les années précédentes –, et le nombre de millionnaires continue de progresser. Telles sont, en substance, les conclusions du rapport 2016 sur la richesse mondiale des ménages, publié mardi 7 juin par le Boston Consulting Group (BCG), un cabinet américain de conseil en stratégie. Ce rapport révèle que « la richesse mondiale privée », c’est-à-dire les actifs financiers des ménages hors immobilier – épargne bancaire (comptes, livrets, etc.), épargne financière (actions, obligations, etc.) et assurances-vie – s’est établie à 167 800 milliards de dollars (147 720 milliards d’euros) en 2015, en hausse de 5,2 % sur un an. Dans le détail, et sans surprise, la hausse la plus forte a été enregistrée en Asie-Pacifique (+ 13,4 % en 2015), une zone économique en plein développement.

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