Diigo Premium account holders can perform full-text searches of cached copies of bookmarks. A full-text search also searches page URLs, tags and annotations.[3] This means that premium account holders can choose to omit tags that already appear in the text of a page to be bookmarked (although text inside images cannot be searched). The launch of Diigo met with mixed responses, from the unimpressed[4] to the enthusiastic.[5] Diigo beta was listed as one of the top ten research tools by CNET in 2006.[6] Outside the website, Diigo's graphical user interface includes an optional bookmarklet, or a customizable toolbar, with various search capabilities. Highlight is enabled by a menu, that can either appear automatically when content is selected, or be embedded into the context menu. In March 2009, Diigo acquired web-clipping service Furl from Looksmart for an undisclosed price.[7][8] The site also has an extension available on the Chrome Web Store.[9] See also[edit]
Structure d'un document HTML Avril 2014 Notion de document HTML Une page HTML est un simple fichier contenant du texte formatté avec des balises HTML. Par convention l'extension donnée au fichier est .htm ou .html, mais une page web peut potentiellement porter n'importe quelle extension. Une page web peut être construite à partir du plus basique des éditeurs de texte (une application bloc-note par exemple), mais il existe des éditeurs beaucoup plus évolués. Les éditeurs WYSIWYG («What You See Is What You Get», littéralement «ce que vous voyez est ce que vous obtenez») sont des éditeurs graphiques permettant de travailler sur une page web telle qu'elle sera affichée sur un navigateur à quelques détails près. Il existe également des éditeurs permettant d'éditer le code HTML en affichant les balises, les attributs et leurs valeurs avec différentes couleurs pour une meilleure lecture et proposant parfois des outils pour vérifier la validité du code HTML. Structure du document HTML <BODY> Contenu de la page </BODY></HTML> <!
Serious game : comment faire baisser la note... Lors du dernier salon Serious Game Expo de Lyon, j'ai particulièrement apprécié l'intervention de Laurent Auneau de la société Succubus qui s'est frotté à la question, épineuse, du véritable tarif des serious games aujourd'hui. Je rejoins complètement l'analyse du conférencier lorsqu'il annonce qu'il n'est plus nécessaire aujourd'hui de dépenser 100 ou 200 000 euros pour développer un serious game de bonne facture. Cela fait quelque temps déjà que je tiens ce discours, et me voilà ravie de constater que certains éditeurs commencent à l'affirmer, chiffres à l'appui et à s'engager devant témoins à pratiquer des tarifs de plus en plus raisonnables. Je ne détaillerai pas ici les calculs présentés par l'orateur ce jour-là (je laisse à César...) En revanche, mais je vais vous expliquer : Etape 1 : apprendre en marchant... Il fallait que les éditeurs aient les reins solides (ou des actionnaires très patients...) pour tenir la distance dans ces conditions ! 3 grandes stratégies de développement