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La guerre de Frédéric. Les mémoires d'un poilu sur Twitter

La guerre de Frédéric. Les mémoires d'un poilu sur Twitter
Moi Frédéric B. C’est un magnifique projet pédagogique et une émouvante plongée dans l’histoire que nous proposent des lycéens de première du lycée Clémence Royer à Fonsorbes près de Toulouse. Moi Frédéric B, fait revivre à tous les passionnés d’histoire, la première guerre mondiale à travers les mémoires d’un soldat Français. Ce sont ces notes dactylographiées qui ont été confiées aux lycéens toulousains. Au cours d’un atelier hebdomadaire, les jeunes travaillent sur les carnets pour produire trois types de contenus. Il s’agit tout d’abord d’alimenter le compte Twitter de Frédéric B. Complément du compte Twitter, le blog crée pour l’occasion présente chaque semaine l’intégralité des carnets du soldat Français. Troisième type de publications, des billets explicatifs qui vont venir s’appuyer sur des extraits des carnets pour les enrichir avec des exposés sur tel ou tel point de cette période historique. Related:  Devoir de mémoireI GM

La lecture-spectacle « Ces inconnus chez moi » Proposée par la compagnie de Théâtre Dire d’étoile, cette lecture-spectacle raconte la Grande Guerre à partir des témoignages de ceux qui l'ont vécue. Ils sont Indiens, Canadiens, Néo-Zélandais, Australiens, Américains, Amérindiens, Africains, Annamites, Chinois, Egyptiens… soldats, réfugiés, prisonniers de guerre, infirmières, contingents de travailleurs, tous venus des quatre coins du monde et ils côtoient femmes, enfants, vieillards confrontés à leur quotidien douloureux. Présentée par deux artistes, une comédienne et une chanteuse-accordéoniste, cette lecture-spectacle propose d'entendre leurs témoignages, des lettres et des chansons racontant le quotidien à l'arrière et au front. Le spectacle est évolutif et intègre des témoignages locaux, comme à Saint-Etienne où, présenté dans le cadre de l'exposition Bénéfices de guerre, guère de bénéfices ? Informations pratiques Prochaines représentations à Saint-Etienne : 13 mars 2016, 15h, Musée d'art et d'industrie Séances scolaires :

Centenaire de Verdun : des ressources pour enseigner la Grande Guerre A l'occasion du centenaire de Verdun, des ressources sont à la disposition des profs. Notamment celles du Réseau Canopé, avec des dizaines de "pistes pédagogiques". soldat guerre mondiale © pict rider A l’occasion du centenaire de la Bataille de Verdun, qui a débuté le 21 février 1916, comment enseigner la guerre 14-18 ? De nombreuses ressources sont à la disposition des profs d’histoire, notamment sur Internet. « Plateforme 14 / 18 » : les archives d’une famille Nous avons déjà présenté Plateforme 14 / 18, une plateforme qui permet d’étudier la Grande Guerre d’une façon concrète et vivante, conçue par une équipe de profs d’Histoire-Géo, et qui propose de voyager à travers les photos et les milliers de lettres d’une famille bordelaise. « 50 activités autour de la Grande guerre » L’enseignant de cycle 3 peut aussi exploiter les ressources mises à disposition par le Réseau Canopé. « Enseigner 14-18 » « Les mémoires de la Grande Guerre » est destiné aux enseignants de collège et de lycée.

La blessure de Guillaume Apollinaire le 17 mars 1916 À la date du 17 mars 1916, le poète Guillaume Apollinaire a noté dans son carnet : « Bombardement. Je lisais à découvert au centre de ma section, je lisais le Mercure de France, à 4 heures un 150 éclate à 20 mètres, un éclat perce le casque et troue le crâne. » Celui qui au 96e régiment d’infanterie était le sous-lieutenant Kostrowitzsky venait d’arriver au Bois des Buttes, au pied du Chemin des Dames, trois jours plus tôt. Un poète dans la Grande Guerre Le 14 mars 1916, Guillaume Apollinaire apprend qu’il vient d’être naturalisé français. La naturalisation pour le poète né à Rome sous le nom de Guglielmo de Kostrowitzky et considéré comme « sujet russe » car sa mère est née en Pologne sous domination russe, c’est l’aboutissement d’une démarche faite le 5 août 1914 à Paris, en même temps qu’il déposait une première demande d’engagement dans l’armée qui n’avait pas été prise en compte. La mort devant soi Guillaume arrive le 18 novembre 1915 au 96e RI, avec le grade de sous-lieutenant.

Textes sur la Première Guerre mondiale Un fichier destiné à une classe de 3° sur la grande Guerre: il s'agit d'extraits sélectionnés des "Paroles de Poilus". L'élève doit, après les avoir lus, trouver un titre à chaque période chronologique présentée sur la fiche de travail en décrivant au mieux les sentiments dominants chez les Poilus. II - B - La souffrance des soldats II - B - 1: 1914 et le départ en guerre:. Texte 1 : 3 août 1914. "Je pars avec de bons souliers et des habits superbes, je n'ai que moi à défendre, je ferai de mon mieux." Etienne TANTY, 129° Régiment d'Infanterie, 24 ans, professeur de lettres. Texte 2 : 10 août 1914. Maurice MARECHAL, matricule 4684, classe 1912, 2° classe, 22 ans, violoncelliste. II - B - 2: 1915-1916, la vie dans les tranchées: Texte 3 : lettre aux soldats du chef des armées, le Maréchal Joffre (6 septembre 1914): "Aux armées". Texte 4: 17 mars 1915. La goujaterie et l'ordure! Etienne TANTY. Texte 5 : 3 mai 1916. Joseph GILLES. Texte 6 : 16 août 1916. Karl FRITZ, armée allemande.

Le site Monuments1418 - Prim à bord Le réseau Canopé de l’académie de Nancy-Metz propose en collaboration de la Communauté urbaine du Grand Nancy et la Direction des services de l’Éducation nationale de Meurthe-et-Moselle, le site Monuments1418 afin de valoriser les monuments aux morts, véritables lieux de mémoire auprès des élèves et de la communauté éducative. Il participe à la formation citoyenne des élèves, en les sensibilisant à l’action collective de mémoire et aux valeurs fondamentales de la République. Il constitue un support précieux pour un enseignement de l’histoire, des arts et de la littérature. Le site Monuments1418 propose : un jeu sérieux en support à l’apprentissage de la symbolique des monuments aux morts et qui permet de construire son propre monument avec une définition de chaque symbole.

Première guerre mondiale, 3° I) Une guerre de plus de quatre ans. 1) Les principaux belligérants et les causes de la guerre Quelles sont les causes de la guerre ? p. 16 questions n°1, 2, 3, 4 et 5 doc n°1 et 3 18-19 -> Les causes lointaines: * rivalités économiques, coloniales. * le système des alliances : Triple Entente : France, R.U., Russie Triple Alliance( ou Empire centraux) : Empire allemand, Empire austro-hongrois, Italie * le problème des minorités en Europe centrale : notamment dans l' Empire austro-hongrois * les territoires revendiqués notamment l'Alsace-Lorraine * la course aux armements. -> le facteur déclenchant : l'assassinat de l'archiduc François Ferdinand d'Autriche à Sarajevo le 28 juin 1914 l'engrenage des alliances Emp. austro-hongrois poussé par l' Emp. Serbie défendue par la Russie, entraînant la France et le R.U. avec elle. (A la maison : faire la carte de l'Europe en 1914 : indiquez nom des États, capitales et les système d'alliances) 2) Les trois phases de la guerre. 3) Une guerre totale

Les perquisitions de locaux du Parti communiste clandestin de 1941 à 1944 : un essai de géolocalisation – PAPRIK@2F Depuis avril dernier, l’instrument de recherche du fonds de la section spéciale auprès de la cour d’appel de Paris (Z/4) est disponible sur la Salle des inventaires virtuelles des Archives nationales. Nous avons fait le choix dans l’élaboration de cet instrument de recherche de retranscrire les informations présentes sur les cartons de scellés dans la mesure du possible dans leur intégralité. Des adresses des locaux et domiciles perquisitionnés ont ainsi pu être collectées. À partir de ce recensement des scellés nous vous proposons ici un travail de géolocalisation des locaux utilisés par les militants communistes perquisitionnés par les autorités françaises durant la période 1939-1944. Trois types de lieux apparaissent sur cette carte : les dépôts clandestins (vert), les domiciles des militants communistes (orange), et enfin les locaux des autorités policières chargées de la répression des communistes (bleu).

Fin de los Imperios | Primera Guerra Mundial En un sentido estricto, los imperios borrados del mapa de un plumazo tras la Gran Guerra fueron los de los perdedores: el Imperio Alemán, el Austro-Húngaro y el Otomano, además de la Rusia zarista, que ni siquiera terminó la guerra Los sueños imperiales cercenaron los laureles de las cabezas de los monarcas europeos, acabaron con un viejo régimen y frustraron la hegemonía colonial que tanto persiguieron. Todo se originó en sus patios traseros, lejos de los extensos dominios de ultramar que acariciaban como preciada posesión y de donde se nutrían para hacer crecer su economía y progreso de la era industrial y los avances tecnológicos. Los grandes imperios se lanzaron entre mediados del siglo XIX y 1914 a una búsqueda de lo que se denominó entonces el estatus de gran potencia: y lo que consiguieron fue dilapidarlo, abocando a la muerte y a la miseria a millones de sus ciudadanos. Ambición Tratado de Paz en Inglés Juan C.

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