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Contre la dictature de la finance : la bombe atomique suisse !

Contre la dictature de la finance : la bombe atomique suisse !
Avant-hier, en parcourant ce « cerveau collectif » qu’est Facebook, je suis tombé sur la publication d’un de mes amis et par la même occasion, je suis tombé des nues. Les médias « main stream », si prompts à sortir l’artillerie lourde contre les votations des Suisses sur les minarets ou l’immigration massive, se sont bien gardés de nous informer de cette initiative en cours, qui a recueilli à ce jour près de 50 000 signatures mais il lui en faudra le double pour déboucher sur un référendum. C’est de la bombe. J’en ai rêvé, et les Suisses sont peut-être en train de le faire. Il faut absolument qu’ils aboutissent. Coffres suisses (CC BY-NC-SA 2.0) photo par ork_dot_ch Voici donc de quoi il s’agit : J’ai traduit l’essentiel de l’article ci-après : Bien qu’il paraisse révolutionnaire, ce concept n’est pas nouveau. Related:  reflechir

Les idées fausses sur la dette publique (2/2) Pour rappel, voici les deux premières idées fausses sur la dette publique que nous avons abordées : celle-ci n’est pas un fardeau laissé à nos enfants et, seuls les pays émettant dans une monnaie "étrangère" ou imprimée par une Banque Centrale indépendante sont sujets au risque d’attaques sur leurs dettes. 1) Troisième idée fausse: notre niveau de dette publique est aujourd’hui « très élevé » L’Europe a aujourd’hui un niveau de dette plutôt moins élevé que les autres pays avancés. 2) Quatrième idée fausse : pour se désendetter, il est nécessaire pour l’Etat de « réduire ses déficits » On retrouve ici l’idée naïve assimilant l’Etat à un ménage, idée véhiculée également par nos leaders politiques[2]. En effet, la dynamique de ce ratio dépend en réalité de 4 facteurs interdépendants : On montre plus spécifiquement que la variation du ratio dette/PIB sur un an est égale à Delta (Dette/PIB) = Dette/PIB.

Comment jeter les banquiers voyous en prison, en dix leçons Imaginez en France 20 000 agents de l’Etat chargés d’enquêter sur les crimes économiques, cherchant des preuves, interrogeant des témoins, fouillant dans les moindres recoins des archives des banques, plaçant en détention provisoire PDG, dirigeants ou traders. Plus de secret bancaire, accès illimité à toutes les informations. Un seul objectif : faire condamner les responsables de la crise financière. Science-fiction ? C’est pourtant la voie choisie depuis quatre ans par l’Islande, avec des moyens à la mesure de ce petit pays de 320 000 habitants. Octobre 2008. Quatre ans et une Assemblée Constituante plus tard, l’Islande a retrouvé quelques couleurs. 1 - Enquêter sur les crimes financiers Première étape : établir les responsabilités. 2 - Donner à la justice des moyens conséquents 3 - Lever le secret bancaire 4 - Punir les délinquants en col blanc Une fois les enquêtes menées, reste à faire aboutir les procédures judiciaires. 5 - Faire le ménage dans l’oligarchie administrative et politique

Après l’Internet, l’Outernet : une société américaine travaille sur un Outernet est un projet d’accès gratuit à Internet pour tous les utilisateurs, basé sur l’envoi de données au travers d’ondes radio courtes depuis des satellites en orbite autour de la Terre. Selon ses développeurs, l’Outernet devrait être opérationnel dès 2015, rapporte le Daily Mail. Ce projet ambitieux consiste à lancer des centaines de satellites miniatures à faible coût, appelés « CubeSats », autour de la terre en juin 2015. Chaque satellite enverra des données aux smartphones et aux ordinateurs de milliards de personnes, leur donnant la possibilité d’une connexion WiFi gratuite. Derrière l’Outernet se trouve l’organisation Media Development Investment Fund (MDIF) dont le siège se trouve à New York. Cette organisation envisage de modifier complètement l’ère de l’informatique, ce qui permettrait à des pays tels que la Chine ou la Corée du Nord de se libérer de la censure d’Internet imposée par leur gouvernement.

Changer la finance Our first campaign marked #10yearsOn from the financial crash. On September 15, 2018, we came together to plan 135 actions and events across 17 countries. With citizens, civil society and policymakers, hundreds of people planned actions big and small, building up to this mobilisation. We know this: 10 years on from the financial crisis, finance is still not fundamentally transformed. We are sleepwalking into the next crash. Our governments have been failing to address the root problems of finance for decades. Finance Watch has initiated, together with more than 60 organisations, a movement to Change Finance. The momentum is building. We will make our messages ripple out more… in homes, colleges, streets, banks and meeting places around the world. Be a part of our efforts in whatever way you can: join the coalition, or spread this message to relevant folks! Join the coalition

Les pays européens ont dépensé 4.589 milliards d'euros pour sauver les banques Sauver un secteur financier en crise coûte cher. Au total, les Etats européens ont ainsi dépensé 4.589 milliards d'euros d'aides publiques depuis octobre 2008, selon un état des lieux publié mercredi par la Commission européenne. Et encore, il ne s’agit que des aides autorisées par Bruxelles. Montant considérable «La crise financière a poussé les États membres à octroyer des montants considérables afin de préserver la stabilité financière», analyse ainsi Joaquín Almunia, vice-président de la Commission chargé de la concurrence Cette somme astronomique ne correspond pas cependant pas au montant des aides publiques effectivement utilisé par les banques. Car le secteur financier a bénéficié d’injection de liquidités ou de prêts préférentielles mais aussi de plans nationaux qui n’ont pas forcément été activés. 76% des aides publiques accordées correspondent ainsi à des garanties pour aider les banques si elles se retrouvaient dans l’incapacité de rembourser leurs dettes. 0,62% du PIB

Crise finale du capitalisme ou 3e Guerre Mondiale ? Françaises, Français, réveillez-vous Ce que nous vivons, ce n’est pas une crise, c’est la plus grande escroquerie de l’histoire de l’humanité ! Il est plus que temps de nous réveiller et de foutre un bon « coup de pied au cul » aux banksters, aux multinationales et aux psychopathes qui dirigent le monde ! Ces fous veulent nous amener à une confrontation planétaire juste pour ne pas perdre le pouvoir. Le point de basculement (the Tipping Point), "si seulement 10% d’une population donnée s’accrochait à une idée ancrée, cette idée était éventuellement reprise par la majorité de ladite population." Et aux USA, « Qui est propriétaire des médias classiques ? Les spéculateurs criminels et sans scrupule, ont infiltré la Fed (ils sont la Fed !) Ils sont prêts à tout, puisqu’ils ont essayé de tuer le président des USA : Andrew Jackson, ont fait tuer Abraham Lincoln et JF Kennedy, le secrétaire au trésor de Thomas Jefferson, parce qu’ils voulaient que les USA reprennent leur indépendance monétaire. Cette merde doit cesser !

Israël: le rapport de l'ONU qui gêne Dexia et la France Dans son édition de ce mardi, l'Humanité dévoile le rapport de l’ONU pour les territoires palestiniens occupés, de Richard Falk, qui accuse la banque Dexia et ses actionnaires, la France et la Belgique, de soutenir les colonies israéliennes. Au Parlement français, les ministres esquivent. Un document à consulter ici C’est une affaire qui dure depuis cinq ans et qui met aux prises régulièrement les militants d’ONG pour les droits des Palestiniens, d’un côté, et la direction de la banque des collectivités publiques Dexia et les gouvernements belge et français, de l’autre. "Violation du droit international" L’affaire a pris subitement une autre dimension après la présentation, en octobre, d’un rapport à l’Assemblée générale des Nations unies par le rapporteur spécial sur la situation des droits de l’homme dans les territoires palestiniens occupés depuis 1967, Richard Falk. Lire la suite de notre enquête dans l'Humanité de ce mardi A lire sur le sujet: A découvrir aussi dans notre édition:

Où sont passés les 1000 milliards prêtés par la BCE aux banques? L'heure des comptes a enfin sonné: la Commission européenne s'apprête à demander aux banques ce qu'elles ont fait des 1000 milliards d'euros libérés par la BCE en décembre et février, à l'occasion des deux opérations de refinancement à trois ans. Ces dernières, qui avaient pour but de relancer l'économie et d'inciter les banques à continuer à financer les Etats en achetant de la dette, n'ont visiblement pas eu l'effet escompté. Le président de la Banque centrale européenne Mario Draghi a en effet affiché sa déception mercredi dernier, reconnaissant qu'il espérait voir l'opération profiter davantage à l'économie réelle. Et selon Le Monde, Michel Barnier, le commissaire au marché intérieur, aurait demandé au président de l'Autorité bancaire européenne, Andrea Enria, de s'intéresser à l'usage qu'ont fait les établissements financiers de ces prêts bonifiés. Encore plus récemment, c'est l'équipe du nouveau président, François Hollande, qui s'est intéressée sérieusement à la question.

Stop capitalisme, que faire ? "On a aucune raison de ne pas faire confiance aux banques et aux gouvernements" disent-ils. De l'ordre de la théorie du complot hier, notre réalité demain. Pendant que quelques monnaies locales résistent, banques et gouvernements tentent de faire disparaî Classement des 500 plus grandes fortunes de France: les revenus du capital dominent ceux du travail Il est toutefois particulièrement intéressant de noter que ces revenus du capital sont nettement plus élevés que les rémunérations des dirigeants du CAC 40. Ainsi un individu comme Bernard Arnault perçoit une rémunération de 3 457 075 euros en tant que dirigeant de LVMH alors que les revenus de son patrimoine lui offre une rémunération de 972 000 000 d'euros par an. A l'arrivée, son salaire de dirigeant de LVMH ne lui apporte que 0,4 % des revenus de son patrimoine. Même pour le dirigeant le mieux payé du CAC 40, Maurice Lévy, le rapport reste favorable au capital par rapport au travail. A titre d'illustration, le footballeur Zlatan Ibrahimovic, qui avec un salaire de 18 millions d'euros bruts par an est probablement le salarié le mieux payé de France, n'intègrerait pas le top 100 des plus gros revenus du capital. De façon plus globale, la somme des 500 plus grandes fortunes de France correspond à un montant total de plus de 329 milliards d'euros.

Un bon algo peut-il moraliser la vie politique ? Création d’un Comité de moralité publique (CMP), transparence totale de la vie des élus, gouvernance algorithmique… Dans un scénario prospectif, Usbek & Rica explore la capacité de la technologie à restaurer, au cours des prochaines décennies, la confiance des Français dans leurs élus. Et si l’élection d’Emmanuel Macron n’avait finalement été qu’une parenthèse ? Depuis la démission forcée de François Bayrou, son super ministre de la moralisation politique, pour une sombre affaire de trafic d’assistants parlementaires, on a le sentiment que le « tous pourris » reprend du poil de la bête. Et que les scandales qui ont émaillé les précédentes mandatures, de Jérôme Cahuzac à François Fillon, pourraient resurgir à tout moment. Soyons francs : on ne peut pas vraiment compter sur les humains pour autoréguler leurs mœurs. Ne faudrait-il pas confier à des machines, a priori incorruptibles et irréprochables, la gestion de la moralisation de la vie politique ? Épisode 1/ 2025 : La République du bien

La création monétaire L'arnaque de la création monétaire Sources: [A] Maurice Allais (Prix Nobel de Sciences Économiques, en 1988), 1977: L'Impôt sur le Capital et la réforme monétaire (Hermann). [] Pascal Roussel: Un nouveau Bretton Woods pour une monnaie mondiale basée sur les DTS? Les banques eurent d'abord comme fonction de garder la monnaie (métallique) et de faciliter les paiements en évitant de coûteux transferts de monnaie d'un lieu à un autre. Les banquiers ont constaté que les déposants ne retiraient qu'un dixième de leur monnaie (métallique) [A:177]. Ces intérêts les enrichissaient tant qu'afin d'attirer le maximum de dépôts, les banquiers ont moins exigé de rémunération pour les dépôts ou ont même versé des intérêts aux déposants [A:177]. Dans une troisième étape (au dix-septième siècle aux Pays-Bas puis en Angleterre), les banques se sont permises de prêter plus de monnaie que la quantité déposée chez elles, ce qu'ignoraient les déposants et la population en général. Montesquieu, L’esprit des lois

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