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Mark Lombardi

Mark Lombardi
Houston, le nœud gordien[modifier | modifier le code] Mark Lombardi a obtenu un diplôme en histoire de l'art à l'Université de Syracuse en 1974. Puis, il a été invité par Jim Harithas, venant d'être nommé directeur du musée d'art contemporain de Houston, à travailler à ses côtés, en tant qu'assistant au commissariat d'exposition, bibliothécaire au fonds d'art de la bibliothèque municipale, et assistant galeriste. À partir de 1994, il abandonne la peinture néo-géo pour se lancer dans une voie toute personnelle, et radicalement originale : sur de grandes feuilles de papier, il commence à dresser les imbroglios politico-financiers de grandes "affaires" marquant la société industrielle moderne, où se croisent le Vatican et la mafia sicilienne, par exemple, mais surtout un certain James Reynolds Bath, en voisinage stratégique avec les familles Bush et Ben Laden. Un artiste d'investigation[modifier | modifier le code] Un Icare post-moderne[modifier | modifier le code] art conceptuel Related:  PEOPLE

Mapping Conspiracy | Cartographies of the Absolute In the end of his essay ‘Cognitive Mapping’ from 1988, Fredric Jameson makes what seems to be a disparaging remark about the ubiquity of the theme of paranoia in contemporary cultural production. ‘Conspiracy’, he writes, ‘one is tempted to say, is the poor person’s cognitive mapping in the postmodern age; it is a degraded figure of the total logic of late capital, a desperate attempt to represent the latter’s system, whose failure is marked by its slippage into sheer theme and content.’ With this statement Jameson seems to be in tune with the majority of conspiracy theory theory, for lack of a better term. The label ‘conspiracy theory’ is almost exclusively used in the pejorative. Belittled by Richard Hofstadter in 1964 in one of the groundbreaking essays in the field as a ‘political pathology’, conspiracy theory is often seen as at best a misguided and inadequate attempt to understand the functioning of power in an increasingly complex global society.

interfaces: visualisation de données. Le traitement et la compréhension d'innombrables flux d'information est un des défis cruciaux posés par l'Internet et les bases de données. La gestion graphique et l'affichage des informations est une préoccupation croissante des métiers du web, du graphisme numérique et des développeurs. On pourra parler ici de "Design de l'information" : hiérarchiser, donner à voir, et surtout accéder à l'information. Un accès intelligent à cette montagne d'infos souvent abstraites se fera désormais par l'intermédiaire d'un outil numérique intégré : un moteur de recherche associé à une interface de visualisation. Historiquement, la cartographie est la vénérable ancêtre de la visualisation de données : montrer non pas ce que l'on voit, mais bien ce que l'on peut déduire de mesures et des calculs. Les technologies numériques ont accru la flexibilité et l'instabilité du texte (dans ses diverses composantes : typographie, livre, construction narrative), et de nombreuses oeuvres explorent ce phénomène. Liens.

Peter Fischli & David Weiss Peter Fischli and David Weiss, film still from The Way Things Go, 1987, mixed media, dimensions variable. Peter Fischli (born 8 June 1952) and David Weiss (21 June 1946 – 27 April 2012), often shortened to Fischli/Weiss, were an artist duo that had been collaborating since 1979. They were among the most renowned contemporary artists of Switzerland. Education and early career[edit] Peter Fischli (born Zurich, 8 June 1952) studied at the Accademia di Belle Arti, Urbino (1975–6) and the Accademia di Belle Arti, Bologna (1976–7). David Weiss (born Zurich, 21 June 1946, died 27 April 2012) grew up as the son of a parish priest and a teacher. Works[edit] Art critics often see parallels to Marcel Duchamp, Dieter Roth or Jean Tinguely in Fischli and Weiss' parody bearing work.[6] For their art, the duo made use of a large bandwidth of artistic forms of expression: film and photography, art books, sculptures made out of different materials, and multimedia installations. Suddenly This Overview[edit]

Louis Monier Louis Monier is currently the Founder and CEO of Kyron. He is best known as the founder and spokesperson for AltaVista, the first large-scale search engine on the Internet. During his 4-year tenure he took the search engine through several firsts (very fast scalable Web crawler, support for many languages), while his colleague Mike Burrows (now at Google) built the first scalable search back-end. Louis also launched BabelFish, the first machine translation site. Louis got a Ph.D. in Mathematics and Computer Science from the University of Paris-Sud, Orsay, in 1980. After several years in research at Carnegie-Mellon, XEROX P.A.R.C. and Digital Western Research Lab, he devoted four years to AltaVista. He was then the CTO and VP of Engineering for a Kleiner-backed start-up in the Internet barter space (BigVine). After taking a year off he joined eBay as head of the Advanced Technology Group (the precursor to eBay Labs) and eBay's first Technical Fellow. See Less

Dead Drops | Un-cloud your files in cement! 'Dead Drops’ is an anonymous, offline, peer to peer file-sharing network in public space. Carte heuristique Carte heuristique dessinée pendant un exposé. Une carte heuristique[1], carte cognitive, carte mentale[2], carte des idées ou encore schéma heuristique, est un schéma supposé refléter le fonctionnement de la pensée, qui permet de représenter visuellement et de suivre le cheminement associatif de la pensée. Le terme anglais mind map est également parfois utilisé en français. Cela permet de mettre en lumière les liens qui existent entre un concept ou une idée, et les informations qui leur sont associées. La structure même d'une carte heuristique est en fait un diagramme qui représente l'organisation des liens sémantiques entre différentes idées ou des liens hiérarchiques entre différents concepts. À l'inverse du schéma conceptuel (ou « carte conceptuelle »[3]), les cartes heuristiques offrent une représentation arborescente de données imitant ainsi le cheminement et le développement de la pensée. Origine[modifier | modifier le code] Mise en œuvre[modifier | modifier le code]

Royal Pingdom » Awesome visualizations of internet and web tech Posted in Tech blog on November 25th, 2010 by Pingdom Text and numbers are all good and well, but sometimes it’s nice to just be presented with a nice visual. This post is full of videos of just that, interesting visualizations of data. Being the geeks we are, they’re of course all related to the Web and the Internet. Enjoy! The work done by a web server Someone put this great video together using the website access log visualizer Logstalgia. More website traffic Once again, a high-traffic website access log visualization, this time using another tool, Gource (which we’ll show more from later). Website traffic… bubbles? Interesting website access log visualization using glTail. 24 hours of traffic to the New York Times website A pretty cool visualization, mapping the location of the site’s visitors as the hours change. Web traffic meets genetics Here’s another interesting visualization, creating an “organism” based on the access pattern to a website. 11 seconds of Twitter Tag clouds on Twitter

Solweig von Kleist Grigori Perelman Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Perelman. Grigori Perelman Grigori Perelman en 1993. Grigori Iakovlevitch Perelman (en russe : Григорий Яковлевич Перельман) est un mathématicien russe né le 13 juin 1966 à Léningrad. Ancien chercheur à l'Institut de mathématiques Steklov de Saint-Pétersbourg, Grigori Perelman, par sa personnalité particulièrement discrète, a contribué à alimenter les débats sur ses travaux, qu'il a présentés à l'occasion d'une série de conférences données aux États-Unis en 2003. Sa démonstration de la conjecture de Poincaré a été officiellement reconnue par la communauté mathématique, qui lui a décerné la médaille Fields le 22 août 2006 lors du congrès international des mathématiciens, et par l'Institut de mathématiques Clay, qui lui a décerné le prix du millénaire le 18 mars 2010[1]. Perelman a refusé la médaille Fields[2],[3],[4] et le prix Clay[5]. Biographie[modifier | modifier le code] Annexes[modifier | modifier le code]

Jean Lauxerois Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean Lauxerois est un philosophe et traducteur français. Biographie[modifier | modifier le code] Ancien élève de Jean Beaufret, ancien directeur de programme au Collège international de philosophie, il a traduit (de l'allemand et du grec ancien) des ouvrages de Martin Heidegger, Theodor W. Publications[modifier | modifier le code] Ouvrages[modifier | modifier le code] L'Utopie Beaubourg, vingt ans après, Paris, Bibliothèque publique d'information, Centre Georges-Pompidou, 1996.De l'art à l'œuvre I. En collectif ou en revue[modifier | modifier le code] (notamment) Traductions[modifier | modifier le code] Martin Heidegger, Question IV, Paris, Gallimard, 1976.Theodor W. Lien interne[modifier | modifier le code] Portail de la philosophie

La carte et le r?seau social ? Article ? OWNI, Digital Journalism Avec l'apparition des réseaux sociaux, un nouveau type de carte est apparu, le graphe social. Ce nouveau territoire est un enjeu de pouvoir selon Thierry Crouzet. Ce n’est pas tous les jours que nous découvrons une nouvelle carte. Au IIIe siècle avant Jésus-Christ en Alexandrie, Ératosthène dessina le premier planisphère. Cette innovation ne fut digérée que 1800 ans plus tard par Christophe Colomb. Depuis quelques années, nous avons découvert un autre type de carte : le graphe social. C’est à ma connaissance l’écrivain hongrois Frigyes Karinthy qui le premier supposa que nous étions tous connectés les uns avec les autres par l’intermédiaire des amis de nos amis. L’expérience de Milgram Cette idée resta d’ordre poétique jusqu’à ce que le sociologue Stanley Milgram se demande combien d’intermédiaires séparaient effectivement deux personnes choisies au hasard. Mais en 1967, Milgram avait une toute autre idée. Voilà où nous en sommes avec les réseaux sociaux. Je fais mon coming out.

Joseph Kosuth - Art After Philosophy The fact that it has recently become fashionable for physicists themselves to be sympathetic toward religion . . . marks the physicists’ own lack of confidence in the validity of their hypotheses, which is a reaction on their part from the antireligious dogmatism of nineteenth-century scientists, and a natural outcome of the crisis through which physics has just passed. –A. J. Ayer. . . . once one has understood the Tractatus there will be no temptation to concern oneself anymore with philosophy, which is neither empirical like science nor tautological like mathematics; one will, like Wittgenstein in 1918, abandon philosophy, which, as traditionally understood, is rooted in confusion. –J. Traditional philosophy, almost by definition, has concerned itself with the unsaid. The result of Hegel’s influence has been that a great majority of contemporary philosophers are really little more than historians of philosophy, Librarians of the Truth, so to speak. . . . He continues: A. . . .

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