Louis Monier Louis Monier is currently the Founder and CEO of Kyron. He is best known as the founder and spokesperson for AltaVista, the first large-scale search engine on the Internet. During his 4-year tenure he took the search engine through several firsts (very fast scalable Web crawler, support for many languages), while his colleague Mike Burrows (now at Google) built the first scalable search back-end. Louis also launched BabelFish, the first machine translation site. Louis got a Ph.D. in Mathematics and Computer Science from the University of Paris-Sud, Orsay, in 1980. After several years in research at Carnegie-Mellon, XEROX P.A.R.C. and Digital Western Research Lab, he devoted four years to AltaVista. He was then the CTO and VP of Engineering for a Kleiner-backed start-up in the Internet barter space (BigVine). After taking a year off he joined eBay as head of the Advanced Technology Group (the precursor to eBay Labs) and eBay's first Technical Fellow. See Less
Mapping Conspiracy | Cartographies of the Absolute In the end of his essay ‘Cognitive Mapping’ from 1988, Fredric Jameson makes what seems to be a disparaging remark about the ubiquity of the theme of paranoia in contemporary cultural production. ‘Conspiracy’, he writes, ‘one is tempted to say, is the poor person’s cognitive mapping in the postmodern age; it is a degraded figure of the total logic of late capital, a desperate attempt to represent the latter’s system, whose failure is marked by its slippage into sheer theme and content.’ With this statement Jameson seems to be in tune with the majority of conspiracy theory theory, for lack of a better term. The label ‘conspiracy theory’ is almost exclusively used in the pejorative. Belittled by Richard Hofstadter in 1964 in one of the groundbreaking essays in the field as a ‘political pathology’, conspiracy theory is often seen as at best a misguided and inadequate attempt to understand the functioning of power in an increasingly complex global society.
Grigori Perelman Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Perelman. Grigori Perelman Grigori Perelman en 1993. Grigori Iakovlevitch Perelman (en russe : Григорий Яковлевич Перельман) est un mathématicien russe né le 13 juin 1966 à Léningrad. Ancien chercheur à l'Institut de mathématiques Steklov de Saint-Pétersbourg, Grigori Perelman, par sa personnalité particulièrement discrète, a contribué à alimenter les débats sur ses travaux, qu'il a présentés à l'occasion d'une série de conférences données aux États-Unis en 2003. Sa démonstration de la conjecture de Poincaré a été officiellement reconnue par la communauté mathématique, qui lui a décerné la médaille Fields le 22 août 2006 lors du congrès international des mathématiciens, et par l'Institut de mathématiques Clay, qui lui a décerné le prix du millénaire le 18 mars 2010[1]. Perelman a refusé la médaille Fields[2],[3],[4] et le prix Clay[5]. Biographie[modifier | modifier le code] Annexes[modifier | modifier le code]
Serge Latouche Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Latouche. Serge Latouche Serge Latouche en 2011 Activités[modifier | modifier le code] Travaux[modifier | modifier le code] Influencé par les travaux de François Partant, Serge Latouche est membre fondateur et ancien président de l'association La ligne d'horizon, dont l'objectif est de poursuivre la réflexion que François Partant a exprimée dans ses livres et dans ses articles[4]. Dans le domaine des sciences humaines, il a développé une théorie critique envers l'orthodoxie économique[5], et dénoncé l'économisme[6], l'utilitarisme dans les sciences sociales et la notion de développement[7]. Les auteurs Jean-Marie Furt et Franck Michel relèvent que « Serge Latouche a dévoilé les dangers de l'uniformisation du monde sous prétexte d'universalisation du modèle politico-économique »[13]. Bibliographie[modifier | modifier le code] Écrits de Serge Latouche[modifier | modifier le code] ↑ « Antiutilitarisme et décroissance.
Jean-Marie Pelt Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Pelt. Jean-Marie Pelt Biographie[modifier | modifier le code] Carrière universitaire[modifier | modifier le code] Jean-Marie Pelt est diplômé en Biologie en 1958 et commence en 1962 une carrière de professeur de botanique, de biologie végétale et de cryptogamie à la Faculté de pharmacie de Nancy[3]. Il effectue de nombreuses missions scientifiques à l’étranger. Il est président d’honneur de la Société Française d'Ethnopharmacologie[1] (SFE, président actuel : Jacques Fleurentin[1]). Il est professeur honoraire de l’Université Paul-Verlaine (Metz). Convictions et engagements[modifier | modifier le code] Pour sa commune[modifier | modifier le code] Entre 1971 et 1983, il occupe le poste de maire adjoint de la ville de Metz. En faveur de l'environnement[modifier | modifier le code] — Jean-Marie Pelt, L’homme re-naturé, 1977 L'environnement le préoccupe depuis longtemps. Foi et sciences[modifier | modifier le code]
Pierre Rabhi Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pierre Rabhi Pierre Rabhi en 2009. Pierre Rabhi, né en 1938 à Kenadsa, en Algérie[1], Rabah Rabhi de son vrai nom (en arabe رابح رابحي le vainqueur)[2],[3], est un essayiste, agriculteur biologiste, romancier et poète français, d'origine algérienne, inventeur du concept « Oasis en tous lieux ». Il défend un mode de société plus respectueux de l'homme et de la terre et soutient le développement de pratiques agricoles respectueuses de l'environnement et préservant les ressources naturelles, l'agroécologie, notamment dans les pays arides[4]. Il est le père de l'ingénieur Vianney Rabhi[5] (l'inventeur du procédé du moteur MCE-5, un dispositif permettant de rendre le taux de compression variable dans les moteurs à pistons) et de Sophie Rabhi-Bouquet (présidente de l'écovillage du Hameau des Buis[6]). Jeunesse algérienne[modifier | modifier le code] Pierre quitte Kenadsa pour Oran avec sa famille d'adoption et y suit deux années d'études secondaires.
Satprem Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Satprem Portrait de Satprem Satprem, de son vrai nom Bernard Enginger, né à Paris le 30 octobre 1923 et mort le 9 avril 2007[1], est un écrivain français proche de Aurobindo Ghose et Mirra Alfassa. Biographie[modifier | modifier le code] Avant l'Inde[modifier | modifier le code] Bernard Enginger est d'abord élève au collège de Jésuites d'Amiens, d'où il est renvoyé. Auprès de Mirra Alfassa[modifier | modifier le code] Il se retrouve ensuite en Haute-Égypte, puis en Inde, au gouvernement de Pondichéry[4]. En 1953, à l'âge de trente ans, il revient définitivement en Inde auprès de Mirra Alfassa, dont il devient le confident et le témoin pendant près de vingt ans. Le 3 mars 1957, Mirra Alfassa lui donne son nom, Satprem (« vérité et amour » ou « celui qui aime vraiment » en Sanskrit)[6]. En 1959, Satprem quitte à nouveau l'ashram de Pondicherry. Après Auroville[modifier | modifier le code] Satprem est mort le 9 avril 2007. Mère - Une trilogie (1977)
Marcian Hoff Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Après quelques années passées en tant que chercheur de l'université Stanford, il est le 12e ingénieur recruté par la société Intel (INTegrated ELectronics) en 1968, une toute jeune startup qui vient d'être crée la même année par Robert Noyce et Gordon Moore très vite rejoint par Andrew Grove (1 milliard de dollars de chiffre d'affaires en 1983). En 1969, la société japonaise Busicom, premier gros client d'Intel, désire développer une gamme de calculateurs programmables de calculatrices de « grande puissance » (pour l’époque), et demande à Intel de fabriquer un jeu de douze circuits intégrés qui leur sont nécessaires. Idée révolutionnaire développée et commercialisée sous le nom de « microprocesseur » « Intel 4004 » dès novembre 1971. Processeur Intel 4004 Intel vend le microprocesseur et les droits exclusif du Intel 4004 à son client Japonais Busicom pour 60 000 dollars. Galerie Photo de Marcian Hoff
Andrew Grove Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Grove. Biographie[modifier | modifier le code] Il naît le 2 septembre 1936 à Budapest en Hongrie dans une famille juive d'origine modeste. En 1956 il est âgé de 20 ans lors de l'insurrection de Budapest et de l'intervention des chars soviétiques pour réprimer la révolte. En 1958, il se marie avec Eva Grove avec qui il a eu deux filles. Il travaille d'abord chez Fairchild Semiconductor (première société de fabrication de circuits intégrés). Il devient président de cette société en 1979 puis son PDG en 1987. Il a trouvé Robert Noyce trop "bon garçon", attitude qui l'irritait profondément. Il est choisi comme personnalité de l'année selon Time Magazine en 1997 Bibliographie[modifier | modifier le code] Seuls les paranoïaques survivent, biographie de Andrew Grove Annexes[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code]
Robert Noyce Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Robert Noyce Robert Noyce (12 décembre 1927 - 3 juin 1990) surnommé « le maire de la Silicon Valley », cofondateur de la société Intel en 1968 avec Gordon Moore et Andrew Grove. Biographie[modifier | modifier le code] Il poursuit des études à Grinnell College d'Iowa d'où il sort diplômé d'un bachelor of Science en physique en 1949 puis d'un doctorat en physique du Massachusetts Institute of Technology de Boston en 1953. Il rejoint William Shockley (un des pères du transistor) au laboratoire Shockley Semiconductor Laboratory de la société Beckman Instruments, puis la quitte pour fonder la société Fairchild Semiconductor avec sept collaborateurs : Gordon Moore, Sheldon Roberts, Eugene Kleiner, Victor Grinich, Julius Blank, Jean Hoerni et Jay Last. En 1958, il devient la figure la plus éminente de toute la Silicon Valley en inventant les circuits intégrés (puces) en silicium qui ont révolutionné l'électronique moderne et la Silicon Valley. Intel
Jack Kilby Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Vivant à Great Bend au Kansas, il est diplômé de l'école Great Bend High School. En 1947, il a reçu un Bachelor of Science en génie électrique de l'université de l'Illinois. Pendant l'été de 1958, travaillant pour Texas Instruments, il s'attaqua au problème de la « tyrannie des nombres » et conclut que la solution proviendrait de circuits intégrés. De 1978 à 1985, il enseigne, en tant que professeur émérite, à l'Université Texas A&M. Inventions[modifier | modifier le code] En plus du circuit intégré, Kilby est l'inventeur de la calculatrice de poche, commercialisée par Texas en 1972 et de l'imprimante thermique utilisée dans les caisses enregistreuses. Le Prix Kilby (en) est un prix qui a été créé en l'honneur des héros et héroïnes méconnus et qui ont fait d'importantes contributions à la société grâce à la science, la technologie, l'innovation, l'invention, et à l'éducation.
Yves Michaud (philosophe) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Yves Michaud, né le à Lyon, est un philosophe français. Il est également Directeur de l'École nationale supérieure des beaux-arts de 1989 à 1997. À nouveau professeur à Rouen, et membre de l'Institut universitaire de France de 2003 à 2009. Concepteur de l'Université de tous les savoirs (UTLS) et des forums de la démocratie et du savoir. Il est le rédacteur en chef des Cahiers du Musée national d'art moderne du centre Georges-Pompidou de 1986 à 1990. Ses domaines de prédilection sont l'esthétique (en particulier l'art contemporain) et la philosophie politique anglaise (Locke, Hume), sa spécialité étant la question de la violence sociale. Il est le concepteur et l'organisateur de l'Université de tous les savoirs depuis 1998 ainsi que des forums de la démocratie et du savoir. Il affirme au cours d'un interview en 2009[2] qu'il il en aurait été congédié le 7 octobre 2009 en raison de ses prises de position dans l'affaire Polanski.