Débat interprétatif et discussion à visée philosophique La littérature comme expérience de pensée En insistant sur la portée philosophique de la littérature (de jeunesse) en général et des œuvres de la liste, les programmes de littérature à l’école primaire ont ouvert la voie à des débats réflexifs dans laquelle tous ceux qui jugent nécessaire une initiation précoce à la philosophie ont pu s’engouffrer. Ces programmes visent absolument à éviter la dérive techniciste de l’approche des textes. Inspirés par les théories de la réception et les réflexions de Umberto Eco et Paul Ricœur, ils insistent pour que l’étude des œuvres ne soit jamais un prétexte à un décorticage formaliste mais l’occasion d’une rencontre poétique et intellectuelle. Ils centrent l’enseignement sur le plaisir de lire, sur le sens, la beauté et la complexité des œuvres, sur la constitution d’une bibliothèque mentale. Un exemple de dispositif. À mon sens, ce dispositif présente les avantages : Bibliographie Chirouter Edwige, Lire, réfléchir et débattre à l’école élémentaire.
Raymond Aron Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Aron. Raymond Aron Philosophe occidental XXe siècle Raymond Aron (à gauche) en 1966. Raymond Claude Ferdinand Aron, né le 14 mars 1905 à Paris et mort le 17 octobre 1983 à Paris, est un philosophe, sociologue, politologue, historien et journaliste français. Pendant trente ans, il est éditorialiste au quotidien Le Figaro. Il garde néanmoins tout au long de sa vie un ton modéré. Famille[modifier | modifier le code] Raymond Aron est issu d'une famille juive et d'un milieu plutôt aisé des deux côtés. Cette fortune a permis aux trois enfants Aron de mener une vie aisée et de faire des études. Études[modifier | modifier le code] En 1928, il est reçu 1er à l'agrégation de philosophie, alors que Sartre est recalé à l'écrit, avant d'être à son tour reçu 1er l'année suivante, et avec un total de points supérieur à Aron l'année précédente[13]. Carrière professionnelle[modifier | modifier le code]
Philosophie hors classe Forum mondial sur l'éducation, Dakar 2000 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Forum mondial sur l'éducation, qui s'est tenu à Dakar (Sénégal) du 26 au 28 avril 2000, sous l'égide de l'Unesco fut le premier et le plus important évènement en matière d'éducation à l'aube du nouveau siècle. Les délégués de 181 pays au Forum mondial sur l'éducation ont adopté un Cadre d'action qui engage leurs gouvernements à apporter une éducation de base de qualité pour tous, notamment pour les filles, et se fait l'écho du souhait des pays et des institutions bailleurs de fonds qu'« aucun pays sérieusement engagé dans l'universalisation de l'éducation de base ne voit ses efforts contrariés par le manque de ressources ». Selon le Président de la Banque mondiale, James Wolfensohn, l'éducation « est au cœur de toute politique de développement ». Objectifs[modifier | modifier le code] L'éducation a été clairement reconnue comme un droit fondamental de l'homme et comme la clé du développement et d'une paix durables entre et dans les pays.
OCCE 26 - Moment philo / AGSAS 9) Les mises en garde sont : · ne pas chercher à transmettre une connaissance : il s’agit d’une préparation à la pensée philosophique, non d’une initiation à la philosophie ; · ne pas essayer d’instrumentaliser les ateliers philo pour résoudre des questions autres (des actes de violence, des manifestations d’intolérance religieuse, des marques d’irrespect, un deuil qui ne passe pas…) ; · éviter au début les questions concernant la mort ou l’abandon, qui ne peuvent être débattues qu’après un temps de préparation ; · compte-tenu des situations locales, éviter les questions sur lesquelles les enfants ont déjà des certitudes (religion, racisme, etc.) et qui provoqueraient des confrontations d’opinion stériles ; · ne pas montrer les cassettes aux parents. Au contraire, les suggestions sont : · chercher des questions qui amènent à penser et à entendre la pensée des autres ; · chercher des questions qui amènent à prendre la position du tiers, à prendre de la distance ; Retour aux questions
Énonciation Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En linguistique, l’énonciation est l'acte individuel de production d'un énoncé, adressé à un destinataire, dans certaines circonstances. Dans toute communication, aussi bien orale qu'écrite, on trouve à la fois un énoncé et une énonciation. L'énoncé est le résultat linguistique, c'est-à-dire, la parole prononcée ou le texte écrit, tandis que l'énonciation est l'acte linguistique par lequel des éléments de langage sont orientés et rendus spécifiquement signifiants par l'énonciateur (et son co-énonciateur, qui n'est pas un simple destinataire) en vue de produire ledit énoncé : on dit généralement que l'énoncé est le « dit », tandis que l'énonciation est le « dire ». Pour résumer, « c'est l'énonciation qui fait l'énoncé ». L'énoncé est de nature matérielle. L'énonciation en revanche, est beaucoup moins matérielle, et partant, beaucoup plus difficile à cerner et à transcrire. Situation d'énonciation[modifier | modifier le code]
Animer une discussion a visée philosophique en classe | Philotozzi Michel TOZZI, professeur émérite en sciences de l’éducation à l’Université Montpellier 3 Didacticien du débat et de l’apprentissage du philosopher Les pratiques philosophiques se sont développées en France dans la cité depuis 1992 (cafés philo), et depuis 1996 dans le système scolaire, bien avant la terminale (maternelle, école primaire, Segpa etc.). On trouvera ci-dessous l’un des dispositifs qui s’est développé dans les classes depuis les années 2000 avec Alain Delsol, Sylvain Connac et Michel Tozzi : la « discussion à visée philosophique » (DVP). Il s’agit d’un dispositif avec une double visée : 1) démocratique par ses règles de prise de parole, sa répartition des fonctions entre élèves, inspirées de la pédagogie institutionnelle ; 2) philosophique, par trois exigences intellectuelles sur lesquelles veille, par son type d’animation, le professeur : a) le questionnement de l’élève et de la classe, l’autoquestionnement, qui permet de problématiser des notions (la justice est-elle juste ?)
Hannah Arendt Signature Hannah Arendt, née Johanna Arendt[1] le 14 octobre 1906 à Hanovre et morte le 4 décembre 1975 dans l'Upper West Side (New York), est une politologue, philosophe et journaliste allemande naturalisée américaine, connue pour ses travaux sur l’activité politique, le totalitarisme, la modernité et la philosophie de l'histoire. Elle soulignait toutefois que sa vocation n'était pas la philosophie mais la théorie politique (« Mein Beruf ist politische Theorie »)[2]. C'est pourquoi elle se disait « politologue » (« political scientist »)[3] plutôt que philosophe. Ses ouvrages sur le phénomène totalitaire sont étudiés dans le monde entier et sa pensée politique et philosophique occupe une place importante dans la réflexion contemporaine. Biographie[modifier | modifier le code] Vie et études en Allemagne[modifier | modifier le code] Hannah Arendt naît à Hanovre en 1906. Fuite hors d'Allemagne et exil aux États-Unis[modifier | modifier le code] Dernières années[modifier | modifier le code]
Revue interessante pour engager la reflexion sur la pratique philosophique car elle regorge d'importantes ressources pédagogiques dans le domaine by kalambelejonas Apr 14