The Database of Intentions
So nothing really new in the news today, I wanted to take a graf or two and explain what I mean by The Database of Intentions, referred to in this post. That way I can use it again and again and just link the phrase to this post. Hey, we love the web, Ted Nelson lives…. The Database of Intentions is an idea central to the book I’ve been working on for the past year or so, which is tentatively titled “The Search: Business and Culture in the Age of Google” (Penguin/Putnam/Portfolio 2004). As with many in this industry, it all started with the Macintosh. Back in the mid 80s I was an undergraduate in Cultural Antropology, and I had a class – taught by the late Jim Deetz,which focused on the idea of material culture – basically, interpreting the artifacts of everyday life. At the same time I was making extra money beta testing some software on a brand spanking new Mac, vintage 1984. Once I grokked this idea (late 2001/early 2002), my head began to hurt.
Un tutoriel pour sécuriser son compte sur Facebook
Le blog Passion-net.fr vient récemment de publier un article intitulé "Sécuriser Facebook : le guide". Ce tutoriel répondra aux attentes de nombreux internautes qui souhaitent savoir comment sécuriser leur compte sur le célèbre réseau social. Une démarche indispensable quand on sait qu'il n'est pas rare de voir des comptes piratés et des vies privées exposées au grand jour à cause de quelques cases décochées par défaut... Ce tutoriel s'article autour de 7 parties : Sécuriser la connexion à Facebook Régler les paramètres de confidentialité Régler les paramètres de prise de contact Désactiver la localisation Gérer les informations transmises aux applications Limiter l’audience des anciennes publications Gérer les diffusions des publicités Facebook Ce document propose un certain nombre de copies d'écran pour mieux guider le lecteur.
Why a hyper-personalized Web is bad for you (Q&A) | Geek Gestalt
We all like having things tailored to our specific needs and interests. But Eli Pariser thinks we should beware of the substantial risks inherent in the increasing personalization of the Internet. Better known (so far) as the executive director of the progressive political action committee MoveOn.org, Eli Pariser is making noise these days as the author of "The Filter Bubble: What the Internet is Hiding from You." First, of course, Pariser explains the dynamic we all face online today: that no two people's Web searches, even on the same topics, return the same results. But while the results are no doubt geared to what we're most interested in, they come at a price--in terms of lost privacy, more ads, and even being followed by certain types of ads no matter where we go online. Yesterday, Pariser sat down with CNET for a 45 Minutes on IM interview about his book and the problems that come with increasing personalization, and why people should care. Q: Thank you so much for doing this.
Google remet l’identité numérique au centre du Web et consacre le ".me"
Jusqu’où ira « Monsieur plus » ? Que signifie ce revirement ? Qu’est ce qui pousse Google à s’intéresser de si près à notre propre personne ? Explications. "Panda m’a tuer" - le grand nettoyage de printemps Le premier virage effectué par Google n’a pas touché directement les personnes mais tout l’éco-système du web. Le résultat a été spectaculaire : certains sites aux Etats-Unis ont perdu 90% de leur trafic du jour au lendemain. Pourquoi ce mouvement risqué ? Google, sous la pression de Facebook, a intégré la dimension « sociale » du web et tenté d’introduire une dimension plus qualitative à son moteur de recherche. Avec Panda, cette dimension à la fois temporelle et personnelle de l’information, que Google avait commencé à introduire avec Twitter, fait désormais partie intégrante de son service. « Google+ » : du réseau social à l’annuaire universel Google + est le deuxième volet de la riposte de Google à Facebook. « Pourquoi Google veut devenir l’annuaire du monde »
L'indexation est-elle soluble dans le(s) bouton(s) ?
Au commencement étaient les folksonomies. Il y a encore peu de temps, en gros depuis 2005 et malgré le scepticisme intial à leur encontre, les folksonomies (indexation collaborative) étaient partout présentes sur le web. Leur âge d'or culminant entre 2006 et 2008. La plupart des outils d'accès, de YouTube à Dailymotion en passant par Delicious ou FlickR leurs réservaient une place centrale comme mode d'accès à l'information. (Diapositive extraite de ma présentation au congrès de l'ABF en 2007, "Indexation sociale et bibliothéconomie de masse." Elles ont aujourd'hui presqu'entièrement disparu ou n'occupent plus qu'une portion congrue des modes d'accès et de recherche d'information. Un amorçage reposant sur l'étalement et le déploiement de signifiants, eux-mêmes déclencheurs de la construction d'une recherche de signifiés. Sur toutes ces questions, on pourra notamment relire l'article "Etude exploratoire des pratiques d'indexation sociale comme une renégociation des espaces documentaires.
Google vise à donner à toute requête effectuée sur le moteur de recherche un résultat qui corresponde au profil de la personne qui fait la recherche...Ce qui signifie qu’il n’est plus universel, mais idiosyncrasique et impératif. by nicoxbus Jun 20