This 20-Second Video Summarizes 35 Years of the World's Economy
A lot has happened to the global economy over the last 35 years. The forces of economic liberalization, globalization, and the rise of the multinational corporation have all left their mark. Many countries have benefited over this period, but some have suffered. Others have not really changed much in terms of their global economic position. Using data from the International Monetary Fund (IMF), we produced a dynamic Voronoi diagram showing the GDPs of the world’s largest countries from 1980 to 2015. In the diagram, the size of the countries and regions represent the relative size of their economies (in terms of nominal GDP). We have produced similar diagrams before — one comparing the level of economic activity in the various US states, and another comparing the GDP (by sector) of the world’s largest economies. Note: The area labeled "other" represents countries with a combined GDP that has been consistently lower than 11.5% of the global economy over the last 35 years. Key findings
Face à la régionalisation de Boko Haram. Géopolitique
26/07/2009 Insurrection de Boko Haram dans plusieurs Etats du Nigéria et exécution de Mohamed Yusuf. 24/08/2014 Aboubakar Shekau annonce l’instauration du « califat islamique » sur le nord-est du Nigéria. 30/05/2015 Entrée en fonction du président élu Muhammadu Buhari. 07/03/2015 Boko Haram fait allégeance à Daech. 22/08/2015 L’Union africaine finalise la création d’une force régionale mixte de 8700 soldats basés à N’Djamena. Carte. Copyright M. Grand producteur de pétrole, le Nigeria se présente comme l’Etat le plus peuplé du continent africain avec ses 181,8 millions d’habitants – et le septième pays le plus peuplé du monde. Apparu à Maiduguri en 2002 sous le nom de « Congrégation des Compagnons du Prophète pour la propagation de la tradition sunnite et la guerre sainte » (Jama’atu Ahlis-Sunnah Lidda’awati Wal Jihad), cette secte se rassemble autour de Mohammed Yusuf, admirateur des talibans afghans et de Oussama Ben Laden. Boko Haram, une famille élargie Boko Haram. . . . . Carte. Sources
Question touarègue : genèse, état des ...
Intervenant : Ladji Ouattara [1] Introduction : Les populations touarègues s’étendent du Sahel aux contreforts algériens, et de Tombouctou au désert libyen. Le massif d’Hoggar est rattaché à l’Algérie Le Tassili est divisé entre Libye et Algérie L’Adrar revient au Soudan français (Mali) L’Aïr est rattaché au Niger Ces régions ne seront jamais pacifiées, et resteront sujettes aux révoltes régulières [2]. A partir d’une approche socio-historique, Monsieur Ouattara veut traiter de la genèse du mouvement touareg, aborder les évolutions des révoltes, traiter des enjeux géopolitiques et aborder la questions des solutions. I, Genèse de la question touarègue : A, Colonisation française et destruction des structures traditionnelles Les touaregs, à l’arrivée des français sur le terrain, sont organisés en confédérations indépendantes, dirigées par un amenokal. L’organisation politique est pyramidale, allant de la noblesse aux captifs. B, De la « territorialisation ethno-politique » à l’OCRS :
Les Chinois, faiseurs de villes africaines
Le regard des enseignants Un article pour les niveaux quatrième ou terminale, sur l’Afrique ou sur la Chine (et même en histoire sur la Chine). Il montre un angle particulier des relations entre les deux, ce qu'on appelle parfois la « Chinafrique », souvent évoquées en classe à travers l’exploitation des ressources ou même du land grabbing. S. L’Afrique est devenue le premier foyer de croissance urbaine dans le monde. Face aux défis de l’urbanisation et du développement de manière plus générale, le renforcement massif de la présence chinoise en Afrique depuis les années 2000 constitue une évolution majeure et entraîne une redistribution des cartes mondiales. Le secteur de la construction occupe la troisième place des investissements chinois en Afrique (16,4 %) [2]. 1. La coopération chinoise en Afrique pour la construction de bâtiments est ancienne. 1.1. 1.2. À partir de 1995, le système chinois de coopération avec les pays en développement, notamment l’Afrique, est en place. 2. 2.1.
The often overlooked link between drug profits and terror
Terrorists are in it as much for the loot as for the ideology. The Islamic State, or ISIS, could hardly exist, whatever its Islamist fervor, without hard cash from sales of pilfered petroleum, taxes on its subject population and kidnappings for ransom. Likewise ISIS- and al-Qaida-linked groups in Africa prosper by trafficking drugs across the Sahara and by offering “protection” to smugglers who have long been trading illicit goods throughout the continent. Although Westerners tend to think of these groups as driven by ideology, new recruits may be more attracted by opportunities to make money. Terror is big business, especially in the weak and fragile parts of the world. A growing market The market for narcotic substances is growing substantially within Africa itself. Until recently, the majority of powerful drugs in Africa passed through only on their way to Europe and North America. Drugs and militancy Nigeria and its neighbors Making trafficking more costly Former U.N.
Sahara occidental : un territoire, une multitude d'appellations - Philippe Rekacewicz
Cette esquisse a fait l’objet d’une numérisation, laquelle a été un peu simplifiée par rapport à l’esquisse originale : En complément, on peut aussi considérer cette carte qui montre comment cette ancienne colonie espagnole a été lentement « recolonisée » par le Maroc. Au tout début du mois de mars 2016, lors de sa visite dans la zone contrôlée par le Front Polisario, le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki Moon, a utilisé le mot « occupation » pour décrire la situation, ce qui a déclenché une très grosse fâcherie avec les autorités marocaines. Tous les États membres des Nations unies, y compris le Maroc, ont accepté de déterminer le statut final [à l’issue d’un référendum d’autodétermination] des territoires sahraouis en vertu des résolutions de l’Assemblée générale adoptées sans vote ». En attendant, le Sahara occidental figure toujours sur la liste des territoires non-autonomes, l’ancienne « liste des territoires encore colonisés ».
Le Sahara dans la mondialisation : ...
Introduction Le Sahara a longtemps eu l’image d’un espace à part, vide où il ne se passe pas grand-chose et mis à l’écart du processus de mondialisation. Hors depuis une soixantaine d’années, le Sahara sort de son isolement et connait de nombreuses mutations qui ont permis son intégration dans la mondialisation (découvertes de ressources naturelles, nouvelles formes de conflits, territoire peuplé aux nombreuses mobilités, trafics divers). Ses limites sont par contre encore floues et souvent confondues avec celles du Sahel. En quoi le territoire saharien s’inscrit-il dans une logique à la fois de permanences et de ruptures ? Le djihadisme saharien : le précédent de la 1ere GM Le djihadisme actuel n’est pas une situation absolument nouvelle et un précédent existe déjà dans l’histoire. Les racines du djihadisme saharien contemporain La grave crise interne qui touche l’Algérie entre 1992 et 2002 a des répercussions dans les régions frontalières des États sahariens. Migrations transsahariennes
Le « made in Ethiopia » sur la voie du Bangladesh ?
Des chaînes de production chinoises ou turques, devenues trop chères, se délocalisent en Ethiopie, où les salaires sont jusqu’à dix fois moins élevés. Dans la pénombre de l’arrière-salle du restaurant familial où sont entassées les cagettes de bières, Birhanu Gessesse* tire nerveusement sur sa barbiche. Il a prétexté un rendez-vous pour s’échapper de son usine. « Si j’ai du retard, je risque d’être licencié », lâche-t-il avec un sourire pincé. Lire aussi En Ethiopie, le « miracle » économique masque les fragilités du régime Quand le groupe Huajian s’est installé en 2012 dans cette ville sans charme proche de la capitale, le gouvernement éthiopien n’avait qu’un mot à la bouche : « industrialisation ». « Mentalité industrielle » « En quatre ans, nous sommes passés de deux à six chaînes de production, de 600 employés à 4 500. Selon la Banque mondiale, la Chine devrait délocaliser 85 millions d’emplois industriels dans les prochaines années. Réprimandes, coups et salaires amputés