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Mobilité partagée : bienvenue dans "l'âge de l'accès"

Mobilité partagée : bienvenue dans "l'âge de l'accès"
Il y a dix ans était publié l’âge de l’accès de Jérémie Rifkin, dans lequel l’auteur Américain annonçait l’arrivée imminente d’un nouvel âge du capitalisme et d’une société fondée sur l’accès aux biens : « Le rôle de la propriété est en train de subir une transformation radicale. Les conséquences de cette révolution sont d’une conséquence et d’une portée fondamentales pour notre société. […] D’ici à 25 ans, l’idée même de propriété paraîtra singulièrement limitée, voire complètement démodée. […] C’est de l’accès plus que de la propriété que dépendra désormais notre statut social. » Symbole de ce mouvement : la mobilité partagée Parmi les statistiques les plus marquantes de cette nouvelle économie, la mobilité tient le haut du pavé. Le vélo partagé est aujourd’hui la forme de transport qui connait la plus forte croissance dans le monde et la voiture partagée devrait rapidement lui emboiter le pas. «Un million d’utilisateurs, c’est très peu par rapport à leur nombre potentiel.

TOUT ALLANT VERT: Le blog L’intelligence collective des mobilités : de nouveaux enjeux pour le véhicule individuel Date de publication : 24/10/2012 Les usagers des transports sont aujourd’hui pleinement acteurs de leur mobilité. Ils produisent, réutilisent et partagent des informations, contribuant à l’émergence de nouveaux services, à la fois personnalisés, contextualisés et transversaux à différentes infrastructures. Les sociologues et prospectivistes Bruno Marzloff et Daniel Kaplan parlent ainsi d’ « intelligence collective des mobilités » pour désigner ce phénomène. Cette participation des usagers à la construction et à la régulation des services de mobilité urbaine déborde les seuls transports en commun, et tend à devenir un enjeu majeur du futur du véhicule individuel. De nouvelles pratiques émanant des automobilistes eux-mêmes Vers une intelligence collective des mobilités

La confiance, monnaie de la consommation colaborative* Dans les pays riches, l'argument du "bouleversement de nos modes de vie" est fréquemment mis en avant par les producteurs industriels, les politiques, les économistes... pour dissuader les citoyens d'écouter les alter-tout, ceux qui veulent changer les modes de production, de consommation et de répartition des richesses, dans une perspective de développement durable. Or, si l'on s'intéresse au commerce électronique, on constate que certes, le e-commerce contrôlé par les marchands professionnels se porte très bien, mais qu'une autre forme de commerce, cette fois établie entre particuliers, se développe à grande vitesse. Sur celle-ci, les économistes ont peu à nous dire, à la fois parce que les chiffres globaux sont bien difficiles à obtenir, et parce qu'elle n'alimente pas le système économique et financier mondial. Quatre façons de consommer autrement Le commerce pair-à-pair prend sur Internet trois formes principales : La location de services associés à des biens. A lire : A voir :

Consommer Durable L’économie du partage dans le secteur du transport et de la mobilité Le 1er juin dernier se tenait à La Cantine, un colloque sur l’économie du partage appliquée au secteur du transport et de la mobilité. Animé par Silicon Sentier et Chronos, le débat a tourné autour de la question de la viabilité de cette activité en pleine expansion. L’auto-partage : solution d’avenirThe Guardian s’y intéressait dernièrement et outre-Atlantique, le phénomène fait fureur. Présentant le concept, Robin Chase, CEO de buzzcar.com, n’a pas mâché ses mots. « Dans les grandes villes, l’idée de l’auto-partage doit devenir une évidence pour tous » martèle-t-elle. Le covoiturage en pleine expansionCôté covoiturage, la France n’est pas en reste. La SNCF suit le mouvementEn tant qu’opérateur de mobilité, la SNCF faisait partie de la discussion, par l’intermédiaire de Jean-Louis Jourdan, son directeur du développement durable. En progression permanente, l’économie du partage dans le secteur du transport et de la mobilité ne semble pouvoir être compromise. Lire aussi

Une économie moins capitalistique... mais pas moins innovante | Consommation Collaborative L’économie du partage est-elle un retour au troc, au système D, à l’âge de pierre ou représente-t-elle la dernière avancée (en date) de l’économie numérique, source d’optimisation des ressources ? Paulin Dementhon, fondateur de Drivy (ex-Voiturelib) défend son point de vue dans un témoignage intéressant initialement publié sur le blog de Drivy. Depuis le lancement de Drivy, on me demande très souvent le rôle que joue la crise dans notre success story : « Votre système D de la location de voiture, ça doit cartonner en ces temps difficiles, non ? ». L’actualité est un beau prétexte pour approfondir la question. OUI, on gagne assez rapidement de l’argent en louant sa voiture, et même pour les plus assidus, l’équivalent d’un 13è mois. Sans surprise, la recherche de revenus annexes se fait plus pressante en temps de crise. Bref, la crise accélère le décollage de Drivy, et souffle plus généralement dans les voiles toutes neuves de la consommation collaborative. Crédit Flickr : Monique Kooijmans

Blog Green Monkeys L'énergie en Nord-Pas de Calais - Pôle d'Excellence Régional Energie 2020 Le Nord-Pas de Calais est la 3ème région française en termes d’emplois liés à l’énergie et possède sur son territoire, à Dunkerque, la première plateforme énergétique d’Europe. La prise de conscience des conséquences concernant le changement climatique, la raréfaction des ressources fossiles, l’augmentation du prix des énergies… bouleversent aujourd’hui les modèles énergétiques, économiques et sociétaux. Réduire les besoins en énergie est devenu une priorité mais cette consommation responsable doit également préserver la croissance et le bien-être social. Ces changements de modèles impactent directement le tissu industriel et l’activité économique de notre région. Cette transition énergétique est balisée par l’objectif des 3x20 pour 2020 adopté par l’Europe (+20% d’énergies renouvelables, -20% de consommation énergétique, 20% de réduction de gaz à effet de serre) et par la déclinaison régionale des politiques publiques (Plan Climat Régional, Schéma Régional Climat Air Energie).

Echangez votre temps à l'accorderie Echangez votre temps à l'accorderie La toute première accorderie française vient d'ouvrir, rue de Crimée, au coeur du 19e. Elle propose aux habitants du quartier d’échanger entre eux des services en fonction de leurs savoirs-faire. Une heure de cours de dessin contre une heure de bricolage, soutien scolaire… sans contrepartie financière. Témoignagnes des premiers "accordeurs". Elle est née au Québec en 2002. Une bourse de temps Une accorderie vise à lutter contre la pauvreté et l’exclusion en renforçant les solidarités entre des personnes d’âges, de classes sociales, de nationalités et de sexes différents. L'expérience québécoise en vidéo L'Accorderie par DeclencheurEs Débuts prometteurs pour l'accorderie de le rue de Crimée Cela démarre fort à l'accorderie du 19e . Il peut aussi rédiger un CV ou accompagner une personne à la recherche d'un emploi. Bruno accordeurCrédits photo : Déborah Lesage "On n'est pas dans l'assistanat" Pourquoi a-t-il choisi de tester cet échange de services innovant ?

YOUPHIL Quand l’économie collaborative réinvente de nouveaux business Crédits photo : OuiShare Fest AirBnB, fablabs, Blablacar, crowdfunding : qu'il s'agisse de start-up au succès fulgurant ou de tendances phare dans le domaine du business, l'économie collaborative redessine les contours du monde de l'entreprise. Et, une fois n'est pas coutume, la France est à la manœuvre en ce domaine. A tel point que le pays accueille la première semaine dédiée à l'économie collaborative du 1er au 7 mai 2014. Organisée par OuiShare, collectif d'acteurs de cet écosystème, cet événement se décline en plusieurs temps forts : le OuiShare Village à la Foire de Paris du 1 au 4 mai, la OuiShare Fest du 5 au 7 mai, rassemblant les professionnels, le tout se clôturant par les OuiShare Awards, récompensant les projets collaboratifs les plus innovants. Faciliter l'accès aux marchés La partie la plus visible du phénomène, c'est la consommation collaborative. Le phénomène prend de l'ampleur, même s'il reste difficile à mesurer. Des signes de maturité du secteur

Accorderie | Echanger et Coopérer Ripe Green Ideas (faisons mûrir les idées vertes)

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