Le Social Business.fr « Des idées qui changent le monde Social entrepreneurship Social entrepreneurship is the process of pursuing innovative solutions to social problems. More specifically, social entrepreneurs adopt a mission to create and sustain social value. They pursue opportunities to serve this mission, while continuously adapting and learning. They draw upon appropriate thinking in both the business and nonprofit worlds and operate in all kinds of organizations: large and small; new and old; religious and secular; nonprofit, for-profit, and hybrid.[1] Business entrepreneurs typically measure performance in profit and return, but social entrepreneurs also take into account a positive return to society. Social entrepreneurship practiced in a world or international context is called international social entrepreneurship.[3] Modern definition[edit] There are continuing arguments over precisely who counts as a social entrepreneur. History[edit] Although the terms are relatively new, social entrepreneurs and social entrepreneurship can be found throughout history.
Dans le Social Business, le bisounours c’est peut être l’entreprise ! Résumé : Que ce soit en interne avec ses collaborateurs ou en externe avec ses clients, un des piliers des projets “sociaux” ou “2.0″ de l’entreprise est le besoin des collaborateurs et clients pour davantage de proximité voire d’intimité avec elle et entre eux. Ce qu’on traduit en termes d’engagement et, bien sur de communautés. Mais ce ressort est il si pertinent ? Il semble que, si communauté il doit y avoir, entreprises et clients ne se comprennent pas sur le rôle que chacun doit y tenir, voire sur la légitimité de la présence des premières dans le dispositif. Idem chez les collaborateurs qui semblent manifester davantage de désir pour des outils de travail efficaces que pour ces dispositifs de rapprochement voire de fraternisation. Au final, les plus pragmatiques et réalistes semblent être non pas les organisations mais les individus. On aurait pu croire que l’entreprise, rationnelle et froide, aller camper sur ses positions…mais il n’en est rien. 5/5 ( 100% )based on 1 rating
Interviews of Entrepreneus At Under30CEO we think big. We recently published a list of our Top 50 Most Motivational People on the web and things got a little nuts. The article created incredible buzz all over the web and most importantly we fired up our audience to go out and make something happen. As young entrepreneurs it’s important that we keep swinging for the fences. Super successful investors like Ron Conway say they’d rather invest in an 18 year old Mark Zuckerberg than a 31 year old seasoned entrepreneur because the young Sean Parker types truly think the sky is the limit. At Under30CEO we’re going to carry that mentality into the interviews that we conduct on the site. The list below is the most incredible people to learn from as entrepreneurs and we intend to interview them all…somehow. Introducing our Top 100 Entrepreneurs to Learn from and their best interviews from around the web…1.) 2.) 3.) 4.) 5.) 6.) 7.) 8.) 9.) 10.) 11.) 12.) 13.) 14.) 15.) 16.) 17.) 18.) 19.) 20.) 21.) 22.) 23.) 24.) 25.) 26.)
Le Social Business selon le Pr Yunus Le Social Business selon le Pr Yunus Le réseau de social businesses que danone.communities soutient est directement inspiré de l’action du professeur Muhammad Yunus, Prix Nobel de la Paix 2006. Créateur de la première banque de micro-crédit capable d’agir à grande échelle et de soutenir près de 2,5 millions de personnes pauvres, Muhammad Yunus a très clairement défini ce qu’est le social business et en quoi il se distingue d’une entreprise classique : son activité répond à une cause sociale son activité doit être économiquement rentable pour être durable. Elle doit réussir à couvrir tous ces coûts et ne pas générer de pertes (« non-loss company ») son développement doit permettre aux investisseurs de récupérer leur capital initial et, si possible, dégager des bénéfices. Mais ces bénéfices ne leur sont pas destinés, ils sont réinvestis dans l’activité, afin d’avoir un plus grand impact social. « Le Social business est mu par une « cause » plutôt que par le profit.
Pour Yunus, le social business ne remplacera pas le business | Rue89 « Quinze minutes, pas une de plus », m’a annoncé Léa, ma co-réalisatrice, folle de joie. Quinze minutes que nous attendions depuis deux ans, quinze minutes qui représentent presque l’aboutissement de notre documentaire « Le Printemps des bonzaïs », quinze minutes d’interview exclusive avec le professeur Muhammad Yunus, Prix Nobel de la paix 2006 et inventeur du microcrédit. Cela fait près de deux ans maintenant que nous courons après une interview du professeur, depuis la sortie de son livre « Vers un nouveau capitalisme », dans lequel il théorise une nouvelle forme de business, le « social business ». L’objectif : maximiser l’impact social, le profit n’y est plus une fin, mais une contrainte. Le sujet même de notre film. Jusqu’ici, toutes nos requêtes sont tombées à l’eau, ou se sont perdues dans les couloirs de la Grameen Bank. Pourquoi comparer les pauvres aux bonzaïs ? L’interview se poursuit. « Les patrons ne sont pas des monstres assoiffés de profits » Une usine de yahourts ‘sociale’
Informations - Le Social Business ou l'oxymore heureuse La naissance du social business : l'idée du prix Nobel de la paix Muhammad Yunus L'idée est simple, encore fallait-il l'avoir ! C'est Muhammad Yunus, économiste, entrepreneur et prix Nobel de la paix 2006 qui en est à l'origine. Muhammad Yunus est parti d'un constat simple. Bengali d'origine, il a observé que nombre de ses compatriotes étaient exclus du système bancaire, et par extension, d'un vaste pan de l'économie. Depuis surnommé « le banquier des pauvres », Muhammad Yunus a eu l'idée brillante de promouvoir un modèle économique permettant à des acteurs modestes de développer une activité économique et d'échapper ainsi au fatalisme d'un endettement progressif. Il ne faut pas confondre charity business et social business. A l'heure de la mondialisation, ce modèle économique présente un avantage de premier plan : il est participatif. La Grameen* Bank : du concept social à la réalité économique L'application Nord/ Sud du modèle Social Business et son équivalent en France : l'ADIE
Are all charity websites bad? A recent post at the Chronicle of Philanthropy's page by Saundra Schimmelpfennig has an interesting title -Does Your Charity’s Web Site Keep Donors in the Dark? I think the general premise of the title is a good one for nonprofits to be asking, but the content of the article is too general - it assumes that nonprofits are all in need of the same type of site. While I do think there are key components of a good nonprofit website - see the 10 Pages Every Charity Website post - it doesn't mean that these will take the same form for each nonprofit. Schimmelpfennig notes that most nonprofit sites "feature success stories with photos of happy people, information on how little money is spent on administration costs, and a 'click here to donate' button. I'm torn by Schimmelpfennig's comments. Schimmelpfennig also notes that the primary source of information for prospective donors is a nonprofit's website. Frankly, all of the statements in bold are inaccurate for the reasons I mention above.
Les deux visages du social business La co-évolution a toujours joué un rôle important dans l’histoire de l’humanité, spécialement lorsque l’on évoque les relations complexes entretechnologie et comportements sociaux. Les outils sociaux envahissant le web et s’invitant de plus en plus vite dans nos organisations ne font pas exception. Mais l’évolution n’est ni linéaire, ni toujours un jeu à somme positive. Le social business, dans l’acceptation actuelle de définition d’une nouvelle manière d’effectuer le travail, arrive sans doute à une croisée des chemins. «Donnez-moi un levier suffisamment long et un point d’appui, et je soulèverai le monde». Toute médaille a son revers Les technologies 2.0 ne font pas exception à cette règle. Il est temps de s’y mettre Une évolution tangible de la nature du travail, et une réelle transformation de la structure des organisations, tout cela n’existe pour l’instant essentiellement que dans le baratin marketing. La «tâchisation» de la conversation
Veolia et le Social Business - Borin PIN sur LePost.fr (11:42) Publié parBorin PIN post non vérifié par la rédaction 11/03/2011 à 09h46 - mis à jour le 12/09/2011 à 23h54 | vues | réactions Le 31 Mars 2008, la Grameen Bank et Veolia Water se sont mis d’accord pour créer une nouvelle compagnie, Grameen-Veolia Water Ltd, dont le but est de distribuer de l’eau potable pour les personnes les plus défavorisés du Bangladesh. Le Bangladesh regorge d’eaux souterraines très accessibles qui comptent par ailleurs des taux élevés d’arsenic. La contamination est telle que l’eau représente un danger pour la santé de la population. « No loss, no dividend.» Le partenariat tourne autour d’un nouveau « Social-Business-Model » développé par le Professeur Muhammad Yunus, fondateur de la Grameen Bank (dont il a été renvoyé le 2 Mars dernier), première institution de microcrédit, et prix Nobel de la paix en 2006. La nouvelle compagnie appartient à 50% à Veolia Water AMI (Africa, Middle East, India) et à 50% à Grameen Healthcare. blogEAUsphere Sources:
L’économie sociale et solidaire : social business ou démocratisation de l’économie Jean-Louis Laville publie en juin 2011 un ouvrage Agir à gauche. L’économie sociale et solidaire chez Desclée de Brouwer qui a un double objectif : présenter de façon synthétique l’économie sociale et solidaire d’une part, montrer en quoi elle constitue un enjeu politique d’autre part. Le texte ci-dessous en présente un extrait. En France l’économie sociale et solidaire a gagné 380 000 emplois depuis 2000, elle est plus créatrice d’emplois que le secteur privé, 77 % de ses salariés étant employés dans des associations. Plusieurs sensibilités se regroupent dans l’économie sociale et solidaire : les entreprises de l’économie sociale, les initiatives de l’économie solidaire qui ont une forte dimension citoyenne et celles qui mettent plus l’accent sur l’entrepreneuriat social. A cet égard, il convient d’identifier une évolution repérable au niveau international qui pourrait convertir l’économie sociale et solidaire en un simple appendice d’un système dominant inchangé.