LE SPORT FEMININ EST-IL L’AVENIR DU SPORT ? (Deuxième partie) - SDPO : SDPO Pour la France et au niveau international, faire évoluer le sport féminin serait augmenter le nombre de licencié dans les fédérations sportives, le pouvoir d’achat… Par conséquent il aura un enjeu économique. Le sport féminin est devenu en quelque sorte un marché économique. Le marché des articles sportifs féminins (vêtements, chaussures…) augmente. Il représente 1/3 du marché. Pour les femmes elles-mêmes, le sport serait une opportunité d’évoluer dans la société et de s’émanciper. Dès que la femme cherche à atteindre le pouvoir, les responsabilités, c’est-à-dire de faire comme les hommes, elles sont souvent considérées comme des féministes ou des femmes qui veulent faire carrière. Enfin, les enjeux pour le sport seraient de renouveler l’image du sportif par la sportive, d’enrichir les fonctions du sport, et s’ouvrir à un public différent. (1) les freins liés à la pratique et à l’organisation, Tout d’abord les femmes rencontrent différentes contraintes pour pratiquer le sport.
Arabie Saoudite Le sport féminin, oeuvre du diable Djénane Kareh Tager Quand les femmes s’entichent de sport, c’est la porte ouverte au Malin. Tel est l’avis des plus hautes autorités religieuses saoudiennes, et c’est pourquoi, en Arabie saoudite, les femmes sont interdites de sport. Les théologiens du royaume ne manquent pas d’arguments. Des arguments médicaux : « Le sport perturbe le cycle menstruel et il est cause d’infertilité », assure un groupe de l’élite religieuse dans un communiqué de mars 2010. Des arguments dits naturels : « Si on autorise les femmes à jouer au foot, elles devront le faire en abaya [la longue cape noire que revêtent les Saoudiennes en public, ndlr]. Des arguments logiques : « Les clubs de sport pour femmes ne sont qu’une façade. Puis des arguments économiques : « Ce serait un lourd fardeau financier pour les familles. A la veille des JO, l’ONG Human Rights Watch s’est intéressée à ces femmes dont le sort n’émeut pas grand monde.
Fifa 16: Laure Boulleau répond à toutes les questions que vous vous posiez sur l’intégration des équipes féminines Publié le Mis à jour le « Il a voulu prendre l’aile, mais il s’est fait couper l’aile. » Désolé Hervé Mathoux et Franck Sauzée, mais il va falloir réenregistrer vos commentaires pour la nouvelle version de Fifa en y ajoutant quelques accords féminins. Le plus célèbre jeu vidéo de foot sort sa version « 2016 » jeudi et présente en effet une grande nouveauté : l’intégration, pour la première fois, d’équipe de filles. Laure Boulleau, latérale du PSG et de l’équipe de France, répond à toutes les questions que vous vous posiez sur ce que l’on peut considérer comme une petite révolution. Est-ce important pour le sport féminin ? Commençons par le commencement. L’avis de Laure Boulleau : « Je pense que c’est une grosse marche. Peut-on faire faire des matchs mixtes ? Nope. L’avis de Laure Boulleau : « C’est très bien car dans la vie ça ne se fera jamais. Comment les joueuses sont-elles notées ? Comme les équipes féminines sont donc « à part », les joueuses ont été notées comme les garçons.