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Questionnaire de KARASEK

Questionnaire de KARASEK

Communication non violente Un article de Ékopédia, l'encyclopédie pratique. La Communication NonViolente ou CNV ("Nonviolent Communication" en anglais) est un ensemble de concepts et d'outils destinés, selon ses promoteurs, à aider les gens à établir des relations bienveillantes en eux-mêmes et avec les autres[1]. Ce processus de communication a été initié par Marshall B. Rosenberg dans les années 1970 qui s'est inspiré notamment des travaux du psychologue Carl Rogers et d'Abraham Maslow, ainsi que des religions orientales. Pour le Centre pour la Communication NonViolente (The Center for Nonviolent Communication ou CNVC), promoteur de la méthode, l'objectif est également de développer une éthique de vie fondée sur l'empathie et la compassion, et un projet pour une société pacifiée[2]. Enjeux La girafe est le symbole de la communication non violente Le modèle de société actuel repose sur la domination, la prédation et la compétition et il n’est ni viable, ni épanouissant. Résultats et impacts Mise en oeuvre Témoignages

Le mal insidieux des incivilités au travail Une requête lancée avec un air méprisant, un tutoiement à sens unique, ni bonjour ni au revoir, voire des menaces et des coups... 42% des salariés seraient exposés à des "incivilités" dans leur travail, d'après une étude menée auprès d'un millier d'actifs français par le cabinet de prévention des risques psycho-sociaux Eléas. Le terme couvre un large champ de désagréments: quand les deux-tiers relèveraient d'un manque de courtoisie ou de savoir-vivre, d'autres sont punis par la loi. Le premier coupable des incivilités semble être le public -clients, usagers, patients - mais 48% des salariés désignent aussi leurs collègues. Où que l'on place le curseur des incivilités et quelle que soit leur origine, elles agissent pourtant avec la même violence, estime Xavier Alas Luquetas, directeur d'Eléas, qui a fait le choix "d'un spectre très large" pour son étude. Motivation au plus bas A la clé, stress, mal-être, mais aussi chute de la motivation et de l'engagement. Le courroux des clients

S'émerveiller d'un rien - Un antidote au désenchantement Autant la vie blesse, autant elle nous pourfend chaque jour, autant elle nous tend la perche, nous fournit d'occasions de s'émerveiller malgré les malgré. Une vitrine de Noël, une chorale de centre commercial, une nappe blanche se posant en surprise par milliards de flocons duveteux, un «pestacle de Nowel» d'enfants rempli de maladresses et de nervosité, une mitaine orpheline oubliée derrière, dernier témoin du pêle-mêle, autant d'occasions de s'attendrir encore et de décrocher une étoile à la cime du sapin. Le mot «encore» n'est pas vain devant le désenchantement du monde qui s'offre à nous à chaque Cancún (Copenhague, Bali...), à chaque conflit qui s'éternise, à chaque enfant-soldat qu'on recrute, à chaque anniversaire de Polytechnique remémoré. Tiens, ce matin, j'apprends qu'un enfant de 13 ans et un ado de 16 ans ont choisi la mort la semaine dernière, chacun de son côté et sans explications. «Il faut aimer la vie pour s'émerveiller. Honte à celui qui va bien cherejoblo@ledevoir.com

Stress : 20 conseils scientifiquement prouvés pour déstresser instantanément SANTÉ - Comment se manifeste votre stress? Pour certains, un battement de cœur qui s’accélère ou un léger sentiment de malaise suffisent à leur faire savoir qu’ils commencent à être angoissés ou dépassés. Mais de la même façon qu’une petite vexation de la part de votre chef ou une mauvaise nouvelle familiale peut faire monter vos hormones de stress et augmenter rapidement votre tension artérielle, vous avez le pouvoir de tout remettre à zéro presque instantanément. Quand nous sommes stressés, les hormones comme le cortisol inondent notre système, produisant une réaction de "survie" pendant laquelle notre rythme cardiaque augmente, notre respiration se fait plus lourde (nécessitant donc plus d’oxygène) et nos vaisseaux sanguins se resserrent. Lire aussi:» Bien-être: la première chose que font au réveil ces personnes qui réussissent » 5 conseils pour se sentir mieux sur son lieu de travail La bonne nouvelle ? Marchez pendant 10 minutes Respirez profondément La visualisation Tendez les lèvres

Marisol Touraine reçoit le premier rapport annuel de l’Observatoire national du suicide Résolument engagée en faveur de la prévention du suicide, Marisol TOURAINE a installé cet Observatoire en septembre 2013 pour donner les moyens aux pouvoirs publics d’agir le plus en amont possible et de prévenir le suicide, avec l’ensemble des acteurs concernés. Le suicide constitue un enjeu majeur de santé publique : le rapport de l’Observatoire rappelle que plus de 11 000 personnes décèdent chaque année en France par suicide (le suicide est la cause d’un décès sur cinquante) et que près de 200 000 personnes sont prises en charge chaque année par les urgences hospitalières après une tentative de suicide. Le rapport met en évidence des inégalités sociales très marquées : les agriculteurs exploitants sont deux à trois fois plus touchés par le suicide que les cadres ; le suicide touche davantage les ouvriers que les cadres. Les personnes sans activité salariée sont les plus touchées.

Risques psychosociaux. Ce qu’il faut retenir - Risques - INRS Sous l’effet des mutations du monde du travail telles que la complexité grandissante des tâches, la réduction des temps de repos, l’individualisation du travail ou encore les exigences accrues de la clientèle, la prise en compte des risques psychosociaux est devenue incontournable. Les risques psychosociaux (RPS) correspondent à des situations de travail où sont présents, combinés ou non : du stress : déséquilibre entre la perception qu’une personne a des contraintes de son environnement de travail et la perception qu’elle a de ses propres ressources pour y faire face ; des violences internes commises au sein de l’entreprise par des salariés : harcèlement moral ou sexuel, conflits exacerbés entre des personnes ou entre des équipes ; des violences externes commises sur des salariés par des personnes externes à l’entreprise (insultes, menaces, agressions…). Ce sont des risques qui peuvent être induits par l’activité elle-même ou générés par l’organisation et les relations de travail.

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