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Le centième singe

Le centième singe
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les macaques japonais de l'expérimentation Le centième singe est une expression désignant, à l'origine, un phénomène supposé par lequel un apprentissage se serait répandu depuis un petit groupe de singes à toute la population des singes de la même espèce, une fois qu’un certain nombre d’entre eux aurait été atteint (masse critique ou transition de phase). Dans le courant New Age, l'expression se rapporte à une propagation paranormale d’une idée, d’un savoir ou d’une capacité au sein d'une population humaine (comme dans le concept de résonance morphique de Rupert Sheldrake) sans qu’il y ait de transmission visible et une fois qu’un nombre clé de personnes aurait acquis ce savoir ou cette capacité. Le phénomène est généralement considéré dans la communauté scientifique comme une légende urbaine. Origine de la théorie[modifier | modifier le code] L’expérimentation examinée[modifier | modifier le code] Critiques[modifier | modifier le code] Related:  Se déconditionner

Résistance au changement Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le conservatisme au sens générique est un phénomène psychologique relativement courant, appelé aussi résistance (ou aversion) au changement ou immobilisme, consistant à désirer, et tenter d'obtenir par diverses formes de comportements d'opposition ou de préservation, le maintien du statu quo par aversion à l'incertitude. Le terme vient de conserver; du latin conservare, «maintenir, observer (une loi, une coutume)» composé de servare «préserver, garder». Domaines où ce phénomène est répandu[modifier | modifier le code] Informatique : la résistance au changement est particulièrement fréquente dans ce domaine. Biais conservateur et psychologie du travail[modifier | modifier le code] La résistance au changement est particulièrement étudiée en psychologie du travail. Ainsi, les résistances au changement traduisent ce besoin de repères, que l'importation rapide d'une nouvelle façon de travailler, non comprise par les sujets, risque de brouiller.

Langue des Oiseaux Aversion à l'incertitude Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En psychologie, l'aversion à l'incertitude est une forme d'aversion au risque se traduisant par la crainte, assez répandue, qu'en cas d'incertitude (situation pourtant générale dans la vie et dans la société, comme dans tout système dynamique) il y ait plus à perdre qu'à gagner. On constate dans la pratique qu'en ce qui concerne les enjeux importants un individu est disposé à engager des ressources pour réduire son incertitude (par exemple : achat de portes blindées, souscription de contrats d'assurance). En ce qui concerne les enjeux plus modestes, au contraire, il se montre prêt à en dépenser pour augmenter cette même incertitude : si un changement de vie, même de probabilité très faible, peut en être espéré (ex: loterie et jeu de hasard)ou tout simplement pour échapper à l'ennui (ex; jeu de cartes, réussites, patiences...) En économie[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Portail de la psychologie

ludo Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Espéranto[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] (Date à préciser) Du latin ludus. Nom commun[modifier | modifier le wikicode] ludo /ˈlu.do/ Jeu. Expressions[modifier | modifier le wikicode] Olimpiaj ludoj Ido[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] (Date à préciser) De l’espéranto ludo. Nom commun[modifier | modifier le wikicode] ludo /ˈlu.dɔ/ Jeu. Latin[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] (Date à préciser) Julius Pokorny [1], s’appuyant sur la forme archaïque loedus de ludus, l’apparente au grec ancien λοίδορος, loídoros (« injurieux ») → voir « se jouer (= se moquer) de quelqu’un ». Pour Lewis & Short [2], du radical sanskrit *krīd- avec la même chute du /k/ qu’entre laus et clueo. Verbe[modifier | modifier le wikicode] Jouer. lūdō transitif Employer à s’amuser. jocor, nugor loué.

Conformisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Emprunté de l’anglais « conformist », le mot est dérivé du français, « conforme » et fait référence, au XVIIe siècle, à la personne qui menait une conduite traditionaliste et qui était en accord avec le contexte et le milieu où elle vivait, celui qui professait la religion officielle [1]. Ce processus très largement étudié en psychologie sociale correspond à un changement d'opinion, de comportement ou même de perception des individus, que l'on observe dans des situations de pression sociale ou d'influence sociale. Il existe différentes formes de conformisme, qui impliquent les individus de manière plus ou moins forte[2]. Celui-ci a des implications dans plusieurs secteurs comme dans la consommation, les goûts musicaux, la mode, l'économie, ... Enfin, ce phénomène reste important pour le fonctionnement de la société car sans lui, elle ne pourrait fonctionner[3]. Terminologie[modifier | modifier le code] Le conformisme par complaisance Antonyme :

Les mudrâ je rajoute ce que j'ai fait sur le sujet Les Mudrâs Des gestes sacrés originaires de l'Inde.Les Mudrâs sont des poses ou gestes des mains, vraisemblablement originaires de l'Inde qui ont été et sont encore employées dans de multiples pratiques à caractère religieux. C'est ce qui leur vaut d'être nommés par les chercheurs de différentes disciplines comme " gestes sacrés " ou " gestes mystiques "ou encore "gestes magiques " leur appellation étant bien entendu liée au rôle qu'elles détiennent dans ces différentes pratiques.On les retrouve dans des arts de représentation, tels que la danse, mais également la peinture et la sculpture aussi bien que dans des pratiques spirituelles, cultes, rites, méditations. L'index est selon l'ostéopathie crânienne, lié à la lèvre supérieure. Cette image représente les deux premiers Mudrâs à faire en début de séance, en fonction de ce que l'on recherche. Les oreilles:

Normopathie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En psychodynamique, la normopathie désigne la tendance à se conformer excessivement à des normes sociales de comportement sans parvenir à exprimer sa propre subjectivité. Histoire[modifier | modifier le code] Cette personnalité a été décrite par Joyce McDougall (normopath)[1]. Christopher Bollas la décrit (normotic personality), après un long séjour en Chine, comme « l'atténuation et finalement la disparition de la subjectivité, en faveur d'un moi conçu comme un objet matériel parmi les autres produits humains[2]. » Le psychanalyste Christophe Dejours rapproche la notion de normopathie de celle de « banalité du mal » développée par la philosophe Hannah Arendt à propos d'Adolf Eichmann, l'organisateur de la déportation des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale[3]. Diagnostic[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia :

illusion Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Français[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] Du latin illusio (« ironie », « illusion, tromperie ») dérivé de illudere (« jouer avec, se jouer », « railler »). Nom commun[modifier | modifier le wikicode] illusion /i.ly.zjɔ̃/ féminin Fausse apparence matérielle ou morale qui, en nous faisant voir les choses autrement qu’elles ne sont, semble se jouer de nos sens ou de notre esprit. Synonymes[modifier | modifier le wikicode] fausse apparence Antonymes[modifier | modifier le wikicode] Dérivés[modifier | modifier le wikicode] Expressions[modifier | modifier le wikicode] faire illusion, paraître, à quelqu’un, autre que l’on n’est réellement.Se faire illusion à soi-même, S’abuser soi- même et à son avantage. Traductions[modifier | modifier le wikicode] Prononciation[modifier | modifier le wikicode] France : écouter « illusion [i.ly.zjɔ̃] » illusion sur Wikipédia

Paradoxe d'Abilene Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le paradoxe exposé par le sociologue Jerry Harvey concerne la relation à la prise de décision au sein d'un groupe. C'est le résultat d'un phénomène de pensée de groupe. Dans la fable moderne que propose Jerry Harvey, aucun des 4 membres d'un groupe ne souhaitait se rendre à Abilene mais, par crainte de s’offenser et de se contredire mutuellement, ils y finissent tous ! L'histoire[modifier | modifier le code] Quatre adultes, un couple marié et les parents de la femme, sont assis sous un porche dans une chaleur abrutissante dans la petite ville de Coleman, au Texas, à environ 53 miles d'Abilene. Cette anecdote sert de base à des enseignements sur les dynamiques de groupe, ainsi que sur le management décisionnel. Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ San Francisco : Jossey-Bass, 1988 Voir aussi[modifier | modifier le code] Lien interne[modifier | modifier le code] Pensée de groupe Portail de la sociologie

Le Centre de Recherches sur l'Ordre Mondial Expérience de Asch Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'expérience de Asch, publiée en 1951, est une expérience du psychologue Solomon Asch qui démontre le pouvoir du conformisme sur les décisions d'un individu au sein d'un groupe[1]. Description de l'expérience[modifier | modifier le code] Exemple : la ligne de gauche est la ligne de référence ; les trois lignes de droite sont les lignes de comparaison. Solomon Asch invita un groupe d'étudiants (entre 7 et 9) de 17 à 25 ans à participer à un prétendu test de vision auquel avaient auparavant été soumis des sujets témoins qui n'eurent aucun mal à donner toujours la bonne réponse. Les complices et le sujet furent assis dans une pièce et on leur demanda de juger la longueur de plusieurs lignes tracées sur une série d'affiches. Après l'annonce des résultats, le sujet attribuait généralement sa piètre performance à sa propre « mauvaise vue ». Variantes[modifier | modifier le code] L’expérience de Asch comprend différents facteurs.

maya Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Français[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] (Nom 1, adjectif) (1877) Mot d’origine mexicaine. (Nom 2) Transcription du mot bulgare мая. Adjectif[modifier | modifier le wikicode] maya /ma.ja/ masculin et féminin identiques Variantes orthographiques[modifier | modifier le wikicode] (rare avec majuscule initiale avec valeur adjectivale) Cette forme naturelle dans le principe a dû être exagérée par l’habitude qu’avaient quelques-uns de ces peuples de déformer le crâne des nouveaux-nés par des moyens artificiels. Note[modifier | modifier le wikicode] Certains considèrent maya comme invariable ; l’usage courant autorise le pluriel. Les coutumes maya ou (plus courant) Les coutumes mayas. Nom commun 1[modifier | modifier le wikicode] maya /ma.ja/ masculin (Linguistique) Langue parlée par les Mayas et leurs descendants. Dérivés[modifier | modifier le wikicode] maya Un.

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