JournalBase. Comparer les bases de données scientifiques internationales en sciences humaines et sociales (SHS) Nous remercions Marc Guichard (CNRS-INIST) pour son intervention auprès de Thomson Reuters qui nous a permis d’obtenir les index en fichiers excel, Elsevier qui met à disposition sur son site l’index général de Scopus en fichier excel, Sonia Christon (documentaliste, stagiaire INTD) et Gilles Liévin (informaticien) pour leur collaboration 1En 1964, Eugène Garfield, fondateur de l’Institut for Scientific Information à Philadelphie (ISI), créait la célèbre base de données Science Citation Index (SCI). Cet instrument, au départ strictement destiné à l’analyse et à l’information documentaires des articles scientifiques des sciences de la matière et de la vie (SMV), a progressivement évolué vers la bibliométrie. Dans les années 2000, E. 1 Pritchard A., 1969, “Statistical Bibliography or Bibliometrics”. 3Par bibliométrie, on entend l’application des mathématiques et des méthodes statistiques aux livres, articles et autres moyens de communication1. 5 (...)
bibliometrie.wordpress.com Le projet Qualinca Avec Qualinca, l’ABES est engagée dans un projet de recherche d’envergure, par la durée, l’enjeu et les partenaires. Qualinca est un projet de recherche financé par l’Agence Nationale de la Recherche, sur la période 2012-2015 (36 mois). La qualité des catalogues avant tout Qualinca s’intéresse à la "qualité et [l']interopérabilité de grands catalogues documentaires", comme le Sudoc ou le catalogue de l’Institut national de l’audiovisuel (INA), autre partenaire du projet. Selon les termes mêmes du site web du projet, "les objectifs scientifiques du projet sont de : 1/développer un cadre logique pour qualifier la qualité d’une base de connaissances documentaires vis-à-vis de l’identification des entités individuelles et des liens entre entités individuelles. 2/proposer des principes/méthodes/outils pour passer d’un certain niveau de qualité à un meilleur niveau". Les partenaires Le rôle de l’ABES Plus d’information sur le site web de Qualinca. Like this: J'aime chargement…
HistSciencesTech A l’initiative de M. Pietro Corsi, professeur d'Histoire des Sciences (Paris-I Sorbonne, EHESS), et avec l’appui de l’Espace Mendès-France de Poitiers, un projet de recherche collectif et international a été mis en place afin d’étudier un document unique en son genre : il s’agit du registre dans lequel se sont inscrits, année après année, les élèves ayant assisté au cours de zoologie de Jean-Baptiste Lamarck au Muséum national d’Histoire naturelle de 1795 à 1820, puis par son suppléant Pierre-André Latreille de 1821 à 1823. Les personnages qui composent cet auditoire proviennent d’horizons fort variés : les Parisiens sont minoritaires face aux fils de notables provinciaux, et l’on remarque aussi un impressionnant contingent d’étrangers (près d’un cinquième de l’effectif), venus d’une vingtaine de pays différents. Amateurs éclairés et jeunes étudiants côtoient des personnalités reconnues du monde scientifique. contact : Pietro Corsi www : Accès au site
OpenEdition JFM Avertissement : Martin Andler est président d’Animath et la deuxième partie de cet article est parue dans Le Monde daté du 13 décembre 2013, dans un dossier intitulé « L’Ecole française est-elle vraiment à la traîne ». A-t-on déjà tout dit sur les leçons de l’étude Pisa ? Les analyses ont porté, à raison, sur la manière dont notre système scolaire laissait plus de 20% des élèves sur le côté, sur son caractère très socialement inégalitaire, et sur la dégradation continue des résultats de la France depuis 2003. Mais a-t-on suffisamment prêté attention à trois aspects qui ne sont pas moins essentiels ? I. Rappelons que Pisa classe, dans chaque domaine étudié (mathématiques, sciences, maîtrise de la langue) les élèves en 7 niveaux, allant du niveau <1 (les moins bons) au niveau 6 (les meilleurs). 2° Globalement, les garçons sont légèrement meilleurs que les filles en mathématiques, et la différence entre les deux sexes est comparable en France à ce qu’elle est dans les pays de l’OCDE.
Mir@bel OpenDOAR Commission citoyenne de la recherche scientifique du Québec